Les professionnels de la santé ont répondu présents à la journée de colère, décrétée par tous les syndicats du secteur de la santé dans les hôpitaux publics, ce jeudi 28 mai 2020. Nombreux, ils se sont rassemblés dans divers hôpitaux à travers la République pour exprimer leur mécontentement. Certains ont protesté au siège du ministère de la Santé, notamment le secrétaire général de la fédération de la Santé, Othman Jellouli, qui s’est adressé aux adhérents et aux responsables et réaffirmé les positions du secteur sur diverses problématiques.
M. Jellouli a remercié l’initiative du ministre de la Santé Abdellatif Mekki appelant au dialogue. Une position qui n’a pas été partagée par tous les syndicalistes, dont certains ont souligné que la fédération est plus forte aujourd’hui que lors de son ancien mandat et qu’elle ne se laissera pas faire.
Les syndicats dénoncent l’ingratitude des autorités envers les professionnels de la santé en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 ainsi que l’atermoiement du gouvernement concernant le projet de décret-loi visant à accorder un statut particulier au corps soignant en ajoutant que le gouvernement a retiré l’article 2.
Ils ont également exprimé leur refus de la circulaire n°16 du gouvernement qui annonce des mesures exceptionnelles pour la fonction publique y compris le gel des recrutements et la réduction de 50% des primes.
Quelques jours auparavant, M. Mekki aavit exprimé sa compréhension des revendications des agents de la santé. Commentant cette décision, il avait indiqué : «ne soyez pas en colère. (…) Tous comme j’ai eu un rôle en 2012 dans la mise en place de l’article 2 du statut, j’aurais un rôle au sein de ce gouvernement dans l’application de cet article, donc il ne faut pas se mettre en colère !».
I.N
ZORRO est à l'oeuvre mes amis « ne soyez pas en colère » dit-il il a tout prévu lui quand il était au pouvoir , les gouvernements successifs ont supprimé ses bienfaits prémonitoires pour la médecine et le peuple.
Ah ! ces gouvernements sans lui , ils ne veulent pas du bien à leurs citoyens. A ma connaissance les siens n'ont jamais quitté le gouvernement. De qui parle t-il alors ? en fait il s'agit d'une convulsion de plus pour caresser son nombrilisme. Il se fout de nous comme à son habitude.
Il visite l'hôpital de JENDOUBA avec des gens d'ENNAHDHA en occultant les autres composantes de la société , c'est normal il fait sa campagne électorale. De la situation de l'hôpital, de la santé des citoyens il s'en fout.
Moi et moi et moi d'abord , je suis le meilleur, aucune considération ni pour la situation désastreuse des hôpitaux, ni pour les doléances du personnel soignant,. Ces hommes et femmes qui avec les moyens du bord se sont battus et se battent au quotidien en prenant tous les risques pour alléger les souffrances sans aucune autre considération ..
Le comble du ridicule et de la foutaise, il s'est fait offrir par un de ses amis islamistes un drone pour dit-il mesurer la température des gens dans la rue à partir de l'espace .
Comme quoi la performance et l'originalité c'est lui pour frapper les esprits crédules . Qu'en est il depuis ? rien. il continue à nous bluffer comme à son habitude.
Il distribue des masques dans la rue en blouse blanche avec une caméra pour l'accompagner,moi médecin et ministre ( populisme primaire ) il n'a qu'une seule obsession , gravir les échelons du pouvoir même par la tromperie et le m'as tu vu , arrogant et méprisant convaincu de son idéologie islamiste qui l'anime, il marche sur les cadavres avec insousiance.
Maintenant qu'il est revenu aux affaires , vous allez voir ; il va tordre la main du nouveau gouvernement et le secouer , tout le monde doit être à son écoute. Il est le maitre incontesté
Un peu de patience il va tout chambouler en votre faveur, lui l'homme de la situation. il va mettre de l'ordre dans l'esprit de FAKHFAKH un homme ligoté et apeuré qui ne peut se soustraire à la volonté d'Ennahdha qui le tient par le bout de la barbichette .
A jendouba ou la structure médicale est des plus démunies ou les médecins assistent passivement à une situation de soins dramatique ,ici on meurt dans le silence et la résignation MEKKI s'en balance allègrement .
Pour Ennahdha, ces montagnards du nord manquent à la noblesse islamiste , des paysans que la société bien-pensante les assimile « AUX INTOUCHABLES INDIENS » ,(JENDOUBI HACHEKOM) ça en dit long .
Il faut peut- être rappeler à MEKKI et ses acolytes et les aider à faire preuve de plus de modestie ce vieil adage de la sagesse de la terre « un paysan n'est pas suffisamment intelligent pour avoir des raisonnements déformés » comme ceux de la secte islamiste.
...
Si - par contre - l'intention première est d'ensuite spéculer, obtenir des faveurs, c'est purement dégueulasse.
...
Le Covid-19 à très fortement impacté notre économie et conséquemment, les finances de l'état sont au plus mal.
L'absence de recrutement et la réduction des primes à été orientée vers TOUS les secteurs ; pas uniquement la santé.
...
IL est vrai - il faut le reconnaître - que le personnel médical était longuement en première ligne et fortement exposé durant cette lutte sanitaire (qui continue toujours), mais ces manifestants doivent comprendre qu'actuellement, l'Etat n'a - financièrement parlant - pas du tout les moyens d'y faire face ; recrutement et / ou primes !
...
La saison touristique est presque cramée ; les rentrées de devises sont extrêmement limitées ...
...
Obliger à satisfaire ses revendications, reviendrait à - volontairement - vouloir enfoncer encore plus notre pays dans les gros problèmes financiers.
Autre exemple celui de Médenine ou les employés syndicalisés ont refusé la présence d'un patient d'une agglomération du gouvernorat. Toujours on nous parle d'enquête pour faire avaler la pilule aux ânes parlants qui finiront par oublier.
Vive le couple batard islamo-anarchiste responsable du calvaires des vrais Tunisiens patriotes qui payent leurs impots
