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Inauguration du bureau de TABC Sfax
17/12/2015 | 13:07
10 min
Inauguration du bureau de TABC Sfax

Tunisia Africa Business Council-TABC a ouvert son deuxième bureau en Tunisie, à Sfax, dans les locaux de l’Union des PME industries de Tunisie-UPMI.

 

L’inauguration s’est déroulée, mercredi 16 décembre 2015, en présence du président de TABC Bassem Loukil, du président de l’UPMI Khalil Krichen ainsi que du vice-président UPMI et membre du bureau exécutif de TABC Ameur Abdennahdher, ainsi que plusieurs membres des bureaux exécutifs des deux organisations. A cette occasion, un accord de partenariat a été signé entre les deux parties.

Dans son allocution, M. Loukil a expliqué que le rôle de TABC est de faire du lobbying, influencer la politique gouvernementale et ses orientations, notamment en ce qui concerne la diplomatie économique (seulement 7 représentations en Afrique) et l’ouverture de nouvelles lignes aérienne ou maritimes qui doivent répondre aux besoins des hommes d’affaires tunisiens et de leurs marchés cibles.

En effet, l’environnement des affaires à Sfax s’apprête à la conquête de nouveaux marchés, et TABC fournit conseil et appui aux PME désirant se lancer dans l’aventure africaine.

M. Krichen a noté que l’expérience des Tunisiens en Afrique sera transmise aux décideurs pour qu’ils soient conscients de l’orientation stratégique que doit prendre l’Etat pour faciliter les opérations économiques avec le continent africain.

 

Plus tard dans la journée, une cérémonie s’est tenue à l’hôtel Golden Tulip Sfax, pour célébrer l’événement. Au groupe initial s’est joint le député de la ville, de Afek Tounes au sein de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Anouar Laâdhar, le fondateur et président du groupe Loukil, Mohammed Loukil, le président d'honneur du Conseil, Jalloul Ayed, ainsi que plusieurs invités hommes d’affaires et industriels de la région de Sfax.

 

Tunisia Africa Business Council est un conseil d’affaires visant à renforcer davantage la coopération économique entre la Tunisie et le continent africain et promouvoir les relations entre les investisseurs tunisiens et africains, a précisé Bassem Loukil.

Pour lui, ce nouveau bureau confirme leur volonté d’étendre le champ d’action de ce conseil d’affaires pour rayonner sur toute la Tunisie, notant que le choix de Sfax est justifié, en grande partie, par son potentiel économique, sa position géographique et sa force démographique.

«Le gouvernorat de Sfax contient environ 700 PME, qui représentent pour nous la tranche d’entreprises la plus visée pour améliorer la coopération de ses composantes avec le continent Africain. En outre, Sfax est la seconde ville la plus habitée, qui compte 1 million de Tunisiens ; elle représente l’entrée du sud tunisien et sa capitale et elle joue le rôle de porte d’accès du marché Africain», a-t-il expliqué. Et d’ajouter : «Le lancement de ce nouveau bureau coïncide heureusement avec la signature de notre convention avec UPMI, cette organisation dont l’objectif principal est la contribution au développement économique du pays et ses entreprises. Elle sera, par conséquent,  un partenaire de premier ordre pour notre conseil d’affaires dans la réalisation de nos objectifs».

Le président de TABC a indiqué que le continent Africain recèle des gisements les plus importants de développement et de progrès pour les 50 prochaines années. Il s’agit pour lui du nouveau "Eldorado" du monde. En effet, l’Afrique représente 14% des réserves mondiales de pétrole et de gaz, 36% des ressources mondiales en hydroélectricité, 60% de la surface mondiale de terres arables non cultivées. Le continent  possède un taux d’épargne plus élevé après l’Asie et il représentera 25% de la population active mondiale en 2050. Il s’urbanise à un rythme accéléré et sa croissance de 5% par an est tirée au trois-quarts par la consommation des ménages.

 

M. Loukil a précisé que le conseil aura pour mission d’ouvrir la voix pour les PME en créant une plate-forme et un réseau d’entrepreneurs tunisiens désirant se développer en Afrique ; de fournir aux décideurs des informations et des services permettant d’identifier les opportunités qui s'y trouvent et les transformer en projets ; de mettre en relation les entrepreneurs et investisseurs et réunir des compétences pour l’assistance technique et l’accompagnement à l’implémentation de projets innovants et intégrateurs en Afrique.

Le conseil devra peser sur les politiques gouvernementales pour améliorer les échanges entre la Tunisie et les pays africains, moyennant une réglementation plus souple, des réformes et un climat d’affaire approprié ; mener des études et organiser des forums pour améliorer la visibilité, le positionnement sur certains marchés et niches, l’évaluation du risque et un partage des idées, de la technologie et des projets innovants ; et apporter un soutien et des solutions pragmatiques aux difficultés liées au développement des entreprises tunisiennes sur un marché africain porteur mais complexe à appréhender.

 

Pour conclure Bassem Loukil a souligné que TABC vise un développement durable et soutenable ainsi qu’une prospérité partagée en faveur des populations africaines. «Nous allons tous s’engager pour faire de TABC une ONG qui compte en Afrique et qui réunit déjà des personnalités influentes, au service de la coopération tuniso-africaine, pour un essor Africain, par des Africains, pour les Africains !», a-t-il affirmé.

 

Jalloul Ayed a évoqué, pour sa part, les grands chantiers en Afrique qui touchent pratiquement tous les secteurs et les opportunités que les Tunisiens peuvent saisir «Les entreprises tunisiennes ont l’expertise, pourquoi perdre cette opportunité? L’opportunité est réelle, les fonds son bloquées et par conséquent il faut se positionner. Mais comment se positionner et quelles sont les conditions de réussite ? Ce n’est pas simple mais c’est à nous, c’est à vous, c’est au secteur privé de monter le chemin !»

Pour lui, la logistique orientée Afrique est nécessaire, évoquant l’exemple marocain :

Tunisia Africa Business Council-TABC a ouvert son deuxième bureau en Tunisie, à Sfax, dans les locaux de l’Union des PME industries de Tunisie-UPMI.

 

L’inauguration s’est déroulée, mercredi 16 décembre 2015, en présence du président de TABC Bassem Loukil, du président de l’UPMI Khalil Krichen ainsi que du vice-président UPMI et membre du bureau exécutif de TABC Ameur Abdennahdher, ainsi que plusieurs membres des bureaux exécutifs des deux organisations. A cette occasion, un accord de partenariat a été signé entre les deux parties.

Dans son allocution, M. Loukil a expliqué que le rôle de TABC est de faire du lobbying, influencer la politique gouvernementale et ses orientations, notamment en ce qui concerne la diplomatie économique (seulement 7 représentations en Afrique) et l’ouverture de nouvelles lignes aérienne ou maritimes qui doivent répondre aux besoins des hommes d’affaires tunisiens et de leurs marchés cibles.

En effet, l’environnement des affaires à Sfax s’apprête à la conquête de nouveaux marchés, et TABC fournit conseil et appui aux PME désirant se lancer dans l’aventure africaine.

M. Krichen a noté que l’expérience des Tunisiens en Afrique sera transmise aux décideurs pour qu’ils soient conscients de l’orientation stratégique que doit prendre l’Etat pour faciliter les opérations économiques avec le continent africain.

 

Plus tard dans la journée, une cérémonie s’est tenue à l’hôtel Golden Tulip Sfax, pour célébrer l’événement. Au groupe initial s’est joint le député de la ville, de Afek Tounes au sein de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Anouar Laâdhar, le fondateur et président du groupe Loukil, Mohammed Loukil, le président d'honneur du Conseil, Jalloul Ayed, ainsi que plusieurs invités hommes d’affaires et industriels de la région de Sfax.

 

Tunisia Africa Business Council est un conseil d’affaires visant à renforcer davantage la coopération économique entre la Tunisie et le continent africain et promouvoir les relations entre les investisseurs tunisiens et africains, a précisé Bassem Loukil.

Pour lui, ce nouveau bureau confirme leur volonté d’étendre le champ d’action de ce conseil d’affaires pour rayonner sur toute la Tunisie, notant que le choix de Sfax est justifié, en grande partie, par son potentiel économique, sa position géographique et sa force démographique.

«Le gouvernorat de Sfax contient environ 700 PME, qui représentent pour nous la tranche d’entreprises la plus visée pour améliorer la coopération de ses composantes avec le continent Africain. En outre, Sfax est la seconde ville la plus habitée, qui compte 1 million de Tunisiens ; elle représente l’entrée du sud tunisien et sa capitale et elle joue le rôle de porte d’accès du marché Africain», a-t-il expliqué. Et d’ajouter : «Le lancement de ce nouveau bureau coïncide heureusement avec la signature de notre convention avec UPMI, cette organisation dont l’objectif principal est la contribution au développement économique du pays et ses entreprises. Elle sera, par conséquent,  un partenaire de premier ordre pour notre conseil d’affaires dans la réalisation de nos objectifs».

Le président de TABC a indiqué que le continent Africain recèle des gisements les plus importants de développement et de progrès pour les 50 prochaines années. Il s’agit pour lui du nouveau "Eldorado" du monde. En effet, l’Afrique représente 14% des réserves mondiales de pétrole et de gaz, 36% des ressources mondiales en hydroélectricité, 60% de la surface mondiale de terres arables non cultivées. Le continent  possède un taux d’épargne plus élevé après l’Asie et il représentera 25% de la population active mondiale en 2050. Il s’urbanise à un rythme accéléré et sa croissance de 5% par an est tirée au trois-quarts par la consommation des ménages.

 

M. Loukil a précisé que le conseil aura pour mission d’ouvrir la voix pour les PME en créant une plate-forme et un réseau d’entrepreneurs tunisiens désirant se développer en Afrique ; de fournir aux décideurs des informations et des services permettant d’identifier les opportunités qui s'y trouvent et les transformer en projets ; de mettre en relation les entrepreneurs et investisseurs et réunir des compétences pour l’assistance technique et l’accompagnement à l’implémentation de projets innovants et intégrateurs en Afrique.

Le conseil devra peser sur les politiques gouvernementales pour améliorer les échanges entre la Tunisie et les pays africains, moyennant une réglementation plus souple, des réformes et un climat d’affaire approprié ; mener des études et organiser des forums pour améliorer la visibilité, le positionnement sur certains marchés et niches, l’évaluation du risque et un partage des idées, de la technologie et des projets innovants ; et apporter un soutien et des solutions pragmatiques aux difficultés liées au développement des entreprises tunisiennes sur un marché africain porteur mais complexe à appréhender.

 

Pour conclure Bassem Loukil a souligné que TABC vise un développement durable et soutenable ainsi qu’une prospérité partagée en faveur des populations africaines. «Nous allons tous s’engager pour faire de TABC une ONG qui compte en Afrique et qui réunit déjà des personnalités influentes, au service de la coopération tuniso-africaine, pour un essor Africain, par des Africains, pour les Africains !», a-t-il affirmé.

 

 

Jalloul Ayed a évoqué, pour sa part, les grands chantiers en Afrique qui touchent pratiquement à tous les secteurs et les opportunités que les Tunisiens peuvent saisir «Les entreprises tunisiennes ont l’expertise pourquoi perdre cette opportunité. L’opportunité est réelle, les fonds son bloquées et par conséquent il faut se positionner. Mais comment se positionner et quelles sont les conditions de réussite ? Ce n’est pas simple mais c’est à nous, c’est à vous, c’est au secteur privé de monter le chemin !»

Pour lui, la logistique orientée Afrique est nécessaire, évoquant l’exemple marocain : «pour partir vers les pays de l’Ouest africain, il faut passer par Casablanca !». «Il faut aussi qu’y ait aussi un appui financier (banque tunisienne en Afrique) et un appui politique», a-t-il souligné.

«Le rôle du conseil c’est d’être une force de proposition, il faut absolument qu’on aille défendre notre cause auprès des autorités, du gouverneur de la Banque Centrale, au ministre des Finances, parler et convaincre nos dirigeants que c’est le chemin à prendre, surtout en ce moment», a-t-il précisé.

Pour lui, il faut créer des fonds d’investissement. M. Ayed a indiqué, dans ce contexte, que TABC est en train de songer à la création d’un fond d’investissement très important, en allouant 20% pour accompagner les entreprises tunisiennes pour investir à l’étranger, en Afrique, en Europe et partout, en mettant en relief nos compétences, des muscles en terme de compétence, de connaissance, d’expertise qui dépassent notre marché exigü.

«Notre objectif c’est d’avoir 400, 500, 600 membres ; et je vous demande à tous non seulement d’être membre mais d’inviter d’autres personnes à venir avec nous pour être la force financière pour vous servir afin de pouvoir fournir à une entreprise qui veut s’implanter en Afrique les conseils, les données nécessaires, les gens à aller voir et les risques à éviter : l’accompagnement qu’il faut», a-t-il conclut.

 

Interrogé par Business News, Bassem Loukil a précisé que, depuis son lancement officiel, plus de 160 membres ont rejoint Tunisia Africa Business Council. Le conseil fournit aux entreprises membres informations, conseil et accompagnement nécessaires. Il met aussi à leur disposition gratuitement des études de marché. L’adhésion est à 1.000 dinars et 500 dinars pour les start-up. Les membres bénéficient aussi de prix préférentiels pour les activités et les missions à l’étranger.

 

Imen Nouira

 

 

17/12/2015 | 13:07
10 min
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Commentaires (3)

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MDO
| 17-12-2015 15:42
C'est bien de voir le secteur privé pallier aux insuffisances de notre diplomatie économique et cette Initiative est louable si...les organisations constituées à cet effet fonctionnent selon les principes de la bonne gouvernance concernant surtout le choix de leurs comités directeurs et dont le rôle du président ne sera pas d'apparaitre dans les médias et faire l'auto promo de ses affaires. Un autre problème c'est le coût d'adhésion du lancement qui peut être prohibitif surtout si on sait l'attitude des tunisiens à l'égard des organisations et associations dont la plupart restent des coquilles vides s'ils n'arrivent pas à rassembler des adhérents intéressants et intéressés.

JOHN WAYNE
| 17-12-2015 14:07
Attentats terroristes, faillite économique, effondrement des institutions étatiques, justice de type Qatarie, islamisation rampante et irréversible de la société, prêches de haines, mosquées bondées de gueux et de salafistes, jardins d'enfants ou l'on endoctrine au jihad.
Qui aurait dit que votre révolution qui a débuté avec l'immolation d'un repris de justice au casier judiciaire comprenant même des actes de violences envers sa propre mère, se transformerait en pire cauchemar ?
Vous êtes les grands perdants de cette révolution et j'en suis le grand gagnant.
Cinq années après le début d'une révolte populaire qui a vu des millions de gueux se soulever contre un leader juste et serein en Tunisie et dans le monde, je suis encore là, debout, fort, Patriote, et plus déterminé que jamais dans mes écrits qui ont été lus et relus par des millions de citoyens éclairés.
Mes écrits sont caustiques comme de l'acide sulfurique, et tranchants comme la pointe d'une baïonnette. Ils vous dissèquent, vous pénètrent, vous brulent, vous secouent, vous paralysent, et vous neutralisent.
Car cette révolution nauséabonde m'a permis de classer en classes et en sous-classes le sous peuple de hordes de Huns et de Chouans que vous avez toujours été.
Beurres haineux et nuisibles des banlieues insalubres d'Europe, islamistes financés par le Qatar et son régime dégoutant, laïques se disant prêt pour la démocratie sans jamais avoir contemplé leur facies dans un miroir, et droit de l'hommistes dont les déclarations aux medias quant à Ben Ali le dictateur sont accompagnées de grimaces et de rictus tant elles sont cousues de mensonges.
Mais il y a pire :
La Syrie et son patrimoine historique et culturel sont en ruines et ses décombres cachent des millions de morts.
La Libye est une terre maudite et chaotique ou des islamistes s'affrontent en permanence sous les yeux larmoyants d'un gouvernement aussi fantoche que celui qui siège somnolant à Carthage.
Ce pays dont vous avez en peuple d'odieux lâches et d'ingrats applaudi la mort héroïque du Colonel Kadhafi, sera bientôt la cible de bombardements aussi interminables qu'inutiles.
Mais surtout, la Russie a dégainé ses ogives nucléaires et menace de raser de la mappemonde des cités entières car exaspérée par l'Islam et sa barbarie, et l'OTAN qui le soutient.
Mais ce qui est le plus divertissant est ce qui attend le peuple méprisable que vous êtes car les djihadistes de DAECH et leurs sponsors de la CIA et du Qatar ont de l'imagination.
Pendant que des homosexuels inoffensifs dont les anus ont été inspectés a plusieurs reprises en présence de huissiers notaires sont interdits de séjour dans de fausses villes saintes souillées d'ordures et de prédicateurs, des djihadistes du sexe féminin planifient des attentats de grande envergure qui toucheront des institutions comme la Banque Centrale ou des ports comme celui de La Goulette.
Car l'effondrement de l'état est ce que votre révolution garantira et non vos droits et libertés tels qu'écrits dans une constitution rédigée par des femmes en hijab bénies de mauvaises haleines sous les yeux fourbes de sionistes répugnants.
La révolution Tunisienne est le pur produit du peuple. Elle vous incarne, vous représente, vos caractérise, et vous symbolise.
Elle est ce que vous êtes : ignorance, bassesse coloniale, fanatisme religieux, arrogance, et cupidité car il s'agit non pas d'une quête glorieuse de liberté et de justice, mais un idéal vermoulu et putride composé de matérialisme, de complexe colonial, et de manque de patriotisme indécent.
Je suis ce matin et en ce jour sombre qui a vu le début d'une insurrection coloniale funeste, aussi fort et heureux que jamais.
Mais surtout mon mépris pour vous le peuple et sa fausse intelligentsia est encore plus fort, encore plus vigoureux, et encore plus robuste.
Je suis JOHN WAYNE l'orphelin de Bourguiba et le flic de Ben Ali qui vous connait si bien et qui vous méprise tant car vous êtes des traitres.
Les révolutions sont toujours suivies de guerres, de misère, de famine, et de souffrance.
DAECH est à vos frontières mais aussi dans vos cités qui dorment mal la nuit, et dans vos quartiers qui ne vivent plus.
A moi le paradis, a vous l'enfer !

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

DHEJ
| 17-12-2015 13:56
Hihihi...

Je vais continuer à bouffer l'ane!