Le député d’Attayar, Hichem Ajbouni, est revenu, samedi 11 juillet 2020, sur les évènements qui ont chamboulé l’hémicycle, vendredi, après que le député d’Al Karama, Seif Eddine Makhlouf a laissé entrer de force au Parlement son invité, pourtant interdit d’accès.
Fiché S17, le membre fondateur d’Al Karama (ne faisant pas partie des élus du parti au Parlement) a été interdit d’entrer à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) par la Garde présidentielle.
L’individu a, ensuite, pu accéder à l’hémicycle après une intervention du chef de cabinet du président du Parlement, Habib Khedher, auprès de la Garde présidentielle. Pourtant, les agents de la Garde présidentielle reçoivent leurs ordres directement du directeur de cabinet du président de la République et du chef de l’Etat lui-même.
En réaction, le député d’Attayar a fait porter la responsabilité de ces évènements au président du Parlement, Rached Ghannouchi, soulignant que ce dernier agissait en tant que chef du parti d’Ennahdha et non en tant que président de l’ARP.
« Le président du Parlement assume toute la responsabilité de par sa gestion catastrophique de l’Assemblée », a-t-il écrit sur Facebook.
« Il tolère les infractions au règlement intérieur de façon évidente et orchestrée et cela ne peut continuer. Il en est hors de question », a-t-il ajouté.
Le député de Machrouû Tounes, Hsouna Nasfi, a, lui aussi, accusé la présidence du Parlement d’avoir appuyé l’élu d’Al Karama, Seif Eddine Makhlouf, dans l’introduction de force de son invité à l’hémicycle.
Il a qualifié l’incident d’ingérence dans les questions sécuritaires et de violation contre le Parlement et les députés.
N.J.
Mais bon, c'est bien, Ettayar commence à prendre son envol ; c'est comme le premier vol d'une "tayara" des frères Wright hhhh
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention
Plus opportunistes que ces hyènes, tu meurs.
Ce groupe de "tamaa" n'est intéressé que par le pouvoir, et rien que le pouvoir.
Les péripéties politiques de ces dernières semaines, ont révélé au grand jour, leur soif d'opportunisme ainsi que leur leur couardise.
Ils ne bougeront pas d'un poil.
Ils se doutent probablement que c'est la dernière fois, un tant soit peu qu'ils feront parti d'un gouvernement.
Ne nous inquiétons pas.
La mise à mort définitive de ce parti de ramassis de lécheurs de fonds de bols affamés, sera pour bientôt.
Chay mé i-doume.