| 20-07-2019 18:59
Un "professeur universitaire" de Monastir, m'a raconté de lui-même, qu'il était "Meddeb" dans un "Kottèb" (école coranique) à Monastir. Le défunt dictateur déchu le promulgua au poste d'instituteur dans une école primaire. Après trois années, Bourguiba le haussa au poste de "professeur" dans un lycée. Deux ans après, il le nomma "Professeur universitaire". Il ne m'a pas dit dans quelle spécialité, mais il n'a respiré que Bourguiba, là où tout le monde l'expire.
Il suffit de trouver quelqu'un de niveau désolant, au poste de "Délégué", de "gouverneur" ou de responsable dans un ministère quelconque, pour que tu sois sûr et certain de son appartenance régionaliste aux deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Notre dilemme en Tunisie, c'est que les "Swahliyas" sont d'une vraie bonté humaine, qu'il est impossible de leur tenir rancune. Sans pour autant qu'on ne puisse leur permettre de nous revenir de nouveau, avec leurs contes mythologiques au sujet de leurs deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Un de prévenu vaut tout le peuple tunisien, de moins de dix millions d'habitants.
Il suffit de trouver quelqu'un de niveau désolant, au poste de "Délégué", de "gouverneur" ou de responsable dans un ministère quelconque, pour que tu sois sûr et certain de son appartenance régionaliste aux deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Notre dilemme en Tunisie, c'est que les "Swahliyas" sont d'une vraie bonté humaine, qu'il est impossible de leur tenir rancune. Sans pour autant qu'on ne puisse leur permettre de nous revenir de nouveau, avec leurs contes mythologiques au sujet de leurs deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali.
Un de prévenu vaut tout le peuple tunisien, de moins de dix millions d'habitants.
