L'homme qui a tout détruit en Tunisie, ne regrette rien du tout. Il trouve toujours les mots pour coller tous ses maux aux autres.
Il n'a qu'à passer en revue mes écritures dans ce même journal de BN. Depuis au moins trois ans que je prédis la fin de Hafedh Caïd Essebsi sous verrous. Tout Tunisien ayant un seul iota d'intelligence politique, pourrait imaginer l'atrocité qui attendait Hafedh Caïd Essebsi après le décès de son père Béji. Tellement il a abusé à fond, de la vie de son père.
On me raconte qu'il arrose gratuitement et avec du méchoui, toute inauguration de l'un de ses multiples points de vente de son commerce avec les boissons alcoolisées.
Les pauvres ont fait la Révolution du 14 janvier 2011, et les riches des anciens régimes reviennent s'enrichir, en les appauvrissant davantage.