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Habib Belhaj Gouider : les objectifs de la BNA pour 2020 ont été largement dépassés !
26/06/2019 | 10:29
1 min
Habib Belhaj Gouider : les objectifs de la BNA pour 2020 ont été largement dépassés !

Habib Belhaj Gouider, directeur général de la Banque nationale agricole (BNA), a expliqué que cette banque publique a choisi de faire une opération de levée de capitaux (170 millions de dinars tunisiens, MDT) avec BNA Capitaux et MAC SA et mis en place la dynamique du réseau et des clients de la BNA.  Résultat : le capital de la BNA a augmenté de 38% passant de 176.000.000 à 320.000.000 DT.

« La banque est en train de créer de la richesse et nous avons préparé un business plan 2016-2020. En 2018, nous avons dépassé les objectifs de 2020. (…) A fin 2015, le résultat sur la partie récurrente était à -68 et est passé en 2018 à 142. Le business plan était en 2018 à 178 MDT », a expliqué l’invité de Wassim Ben Larbi lors de son passage à « Expresso » sur Express FM ce mercredi 26 juin 2019.

Par ailleurs, M. Belhaj Gouider a indiqué qu’actuellement la BNA présente des indicateurs sains et des ratios de solvabilité qui dépassent 13% grâce au travail et à la culture de l’entreprise et à la confiance du conseil d’administration.

« Au bout de 3 ans d’assainissement de la banque et de performance, la BNA est entrée à la bourse et a fait une levée de fonds auprès du public. Aujourd’hui, la BNA peut faire une levée de 150 MDT  auprès de ses clients privés. Actuellement, nous avons 5600 actionnaires dont 3800 sont de nouveaux investisseurs. Nous avons donc contribué à la dynamisation de la bourse de Tunis », a-t-il aussi expliqué.

  E.B.A.

 

26/06/2019 | 10:29
1 min
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Commentaires (3)

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Léon
| 26-06-2019 12:34
Quand le bon sens populaire se substitue aux études des incultes-à-hauts-diplômes, certaines questions surgissent.
Il va de soi que je ne fait pas l'éloge du bon sens car, comme le disait Descartes: "Le bon sens est la chose la mieux partagée car chacun pense en être si bien pourvu, que même ceux qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont".
Il va de soi que le bon sens qui dictait à la horde diplômée tunisienne, ainsi qu'au populo (ce sont les deux mains d'une même entité), le bienfondé de leur révolution, n'a jamais été mon option et je ne l'ai jamais partagée. Les tristes résultats de leurs choix montrent qui avait tort et qui avait raison.
Mais revenons aux finances. Le deuxième Dieu des tunisiens après la football, deux domaines où la Tunisie brille par sa médiocrité; miroir du peuple qui la constitue. Leur troisième Dieu étant bien sûr la trahison à tout vent, domaine où ils excellent et demeureront toujours les premiers et les précurseurs.
Remarquez mes chers compatriotes que, plus vous allez mal, plus les banques se portent bien. Plus vous quittez en masse le pays que vous avez trahi, laissant la misère à ceux qui vous ont jadis écouté et suivi, plus les banques jubilent. C'est le seul secteur dont les résultats sont positifs, depuis la toute première année qui a suivi la trahison collective de 2011. Alors se posent naturellement des questions de bon sens populaire.
Venons-en donc au pourquoi, au comment, aux conséquences de cette constatation car, ce ne sont pas les spécialistes qui pourront vous répondre: Ils sont médiocres et n'ont pas la maitrise de la chose.
L'argent injecté dans vos banques par les prêts de la honte, par les dons de l'aumône (bien que je ne crois jamais aux dons désintéressés), est aussi important que l'argent que transportait Lénine dans le wagon plombé de Zurich à St Pétersbroug en 1917.
Dans les deux cas, il s'agit de l'argent qui se substitue à une guerre sur le terrain, évitant au pays ce qui s'est passé en Libye et en Syrie. C'est l'argent avec lequel on achète la souveraineté d'un pays, sans livrer bataille.
Je commencerai mon propos par un reproche. Dans mes "j'accuse" précédents,et dès 2012, je reprochais aux politiques tunisiens de ne pas dire les vérités au peuple, et de les mener dans l'erreur, leur promettant monts et merveilles, histoire qu'ils ne lâchent pas l'entreprise révolutionnaire, si chère aux traitres et à leurs sous-fifres mis au pouvoir.
Ce n'est pas pour la vérité en elle-même que je lançais jadis ces "j'accuse", mais pour les conséquentes évidentes d'un peuple trompé et laissé à son ignorance. En effet, ce dernier pensera que la Tunisie est inépuisable et continuera à revendiquer tout et n'importe quoi, contre vents et marées. Mettre le Peuple en face de ses responsabilités en lui narrant les vérités est une mesure de salubrité souverainiste.

Léon
| 26-06-2019 12:34
Aujourd'hui, non seulement on tait au peuple les anciennes vérités (il n'est jamais facile de reconnaitre sa trahison et sa défaite), mais on enfonce le clou. On renfloue les caisses de l'état par les "wagons blindés" (aujourd'hui de simple mouvements d'argent) venant d'Orient et d'autres horizons, juste par fierté, car les chiffres ne pardonnent pas. En effet, on renfloue les caisses d'argent de la Honte pour maintenir un dinar moribond en respiration artificielles, engouffrant de la sorte la souveraineté du pays vers un point de non retour.
Pendant que la banque mondiale prête des sommes monstrueuses à la STEG, le dinar est en train de se refaire une santé. Cela porte un nom: L'irresponsabilité et le manque manifeste de conscience souveraine.
Si vous voulez rigoler ouvrez une page:
https://www.boursorama.com/bourse/devises/taux-de-change-euro-dinartunisien-EUR-TND/
et admirez la courbe.
Des paliers sous forme de plateau, sans aucune continuité depuis quelques mois. à chaque fois que çà chute, çà remonte à un instant T sans courbe. Juste un saut. Un Dirac pour les mathématiciens. Cela veut dire qu'à cet instant T un "bienfaiteur" a injecté de l'argent pour remettre le dinar à la valeur décidée. Juste pour vous faire croire que le dinar se porte miraculeusement bien malgré toute les dettes cumulées; pendant que l'on achète le remboursement des intérêts qui devait démarrer depuis 2017.
Une honte en termes de souveraineté. Mais aussi une constatation: Il faut être fou pour prendre le pouvoir aujourd'hui. Je m'adresse en particulier à ABIR MOUSSI.
Il faut les laisser patauger dans leur propre merde? Ce serait trop facile qu'ils redonnent le pays qu'ils ont ruiné aux destouriens. Qu'ils lavent d'abord leur merde jusqu'au moment où le peuple le leur fera payer.
En effet, dès que les "pourvoyeurs" d'argent auront une gouvernance qui ne leur convient pas (ils sont en train de tout faire pour garder les islamistes et leurs ouailles "démocrates" au pouvoir), ils cesseront d'alimenter et fermeront la manne.
Que feras-tu Abir? Moi, je jette l'éponge. Sur ce, je te propose une solution: Avertir le Peuple de ce qui les attend si les merdolutionnaires de tout bord devaient continuer à exercer le pouvoir. Leur faire un état des lieus, leur dire ce qui les attend s'ils votent pour les autres, et leur dire expressément que s'ils attendent à ce que tu continues cette politique d'emprunts et de soumission, alors qu'ils votent pour les autres. Il faut les responsabiliser et les mettre au courant que recouvrer leur souveraineté a un coût et suppose des sacrifices.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

momo
| 26-06-2019 12:26
vous avez surtout falsifié pas mal de contrat et pompé de l'argent des comptes de vos clients sans leur consentement