L'ambassadeur permanent de Tunisie auprès de l’Unesco, Ghazi Ghrairi, est intervenu ce matin du jeudi 21 novembre 2019, sur Express FM pour revenir sur l’élection de la Tunisie en tant que membre du conseil exécutif de l’Unesco.
« Nous avons œuvré pour remettre la Tunisie sur orbite et maintenant c’est fait. Notre pays fait aujourd’hui partie de l’organe décisionnel de l’Unesco et il y a de quoi être fier. Cela va non seulement participer au rayonnement de la Tunisie mais aussi au renforcement des relations bilatérales avec les autres pays membres de l’organisation » a déclaré Ghazi Ghrairi.
« Nous avons retrouvé une place que nous avions quittée depuis des années et l’objectif est aujourd’hui d’atteindre les hauts rangs mais aussi d’y demeurer. Nous avons de quoi aspirer à conquérir de telles positions à l’Unesco car notre culture, notre patrimoine et la dynamique de notre jeunesse sont un capital certain pour la Tunisie. D’ailleurs en étant en vitrine nous œuvrerons à faire avancer les dossiers qui sont au nombre de douze, et qui ont été déposés pour inscrire le patrimoine tunisien dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Il y a par exemple le dossier de l’île de Djerba qui va être examiné en premier et qui est un excellent exemple de patrimoine culturel, ou encore les poteries des femmes de Sejnane dans la liste du patrimoine immatériel. Nous avons aussi déposé un dossier maghrébin pour classer le couscous dans le patrimoine immatériel de l’Unesco. Un grand travail nous attend et de grandes responsabilités aussi. Ce poste augmente également notre influence car le conseil examine tous les dossiers et la délégation tunisienne doit être prête à étudier tous types de sujets. La Tunisie sera ainsi dans un poste d’arbitrage et de sollicitation et cela ne peut qu’être bénéfique pour nos relations avec les autres pays » a-t-il ajouté.
M.B.Z
Ghazi Ghrairi : notre pays refait aujourd’hui partie de l’organe décisionnel de l’Unesco
L'ambassadeur permanent de Tunisie auprès de l’Unesco, Ghazi Ghrairi, est intervenu ce matin du jeudi 21 novembre 2019, sur Express FM pour revenir sur l’élection de la Tunisie en tant que membre du conseil exécutif de l’Unesco.
« Nous avons œuvré pour remettre la Tunisie sur orbite et maintenant c’est fait. Notre pays fait aujourd’hui partie de l’organe décisionnel de l’Unesco et il y a de quoi être fier. Cela va non seulement participer au rayonnement de la Tunisie mais aussi au renforcement des relations bilatérales avec les autres pays membres de l’organisation » a déclaré Ghazi Ghrairi.
« Nous avons retrouvé une place que nous avions quittée depuis des années et l’objectif est aujourd’hui d’atteindre les hauts rangs mais aussi d’y demeurer. Nous avons de quoi aspirer à conquérir de telles positions à l’Unesco car notre culture, notre patrimoine et la dynamique de notre jeunesse sont un capital certain pour la Tunisie. D’ailleurs en étant en vitrine nous œuvrerons à faire avancer les dossiers qui sont au nombre de douze, et qui ont été déposés pour inscrire le patrimoine tunisien dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Il y a par exemple le dossier de l’île de Djerba qui va être examiné en premier et qui est un excellent exemple de patrimoine culturel, ou encore les poteries des femmes de Sejnane dans la liste du patrimoine immatériel. Nous avons aussi déposé un dossier maghrébin pour classer le couscous dans le patrimoine immatériel de l’Unesco. Un grand travail nous attend et de grandes responsabilités aussi. Ce poste augmente également notre influence car le conseil examine tous les dossiers et la délégation tunisienne doit être prête à étudier tous types de sujets. La Tunisie sera ainsi dans un poste d’arbitrage et de sollicitation et cela ne peut qu’être bénéfique pour nos relations avec les autres pays » a-t-il ajouté.
Il n'y a AUCUNE fierté à avoir en étant dans l'organe décisionnel de l'UNESCO. C'est de l'enfumage.
Cela fait juste un opportuniste de plus. C'est tout.
Vos histoires de l'Unesco ne peuvent cacher la réalité d'un pays plongé dans la crise la plus profonde.
Des trucs tournants dont certains tirent une fausse gloire. Dans ce genre de poste l'essentiel c'est ce que nous pouvons rapporter au pays.le bilan doit être fait à la fin du mandat de la tunisie. L'époque où la tunisie jouait un rôle à l'international est révolue, et on se souviendra longtemps du rapport établi par lfmi du temps de la troïka qui brossait un tableau sombre de la situation du pays et d'ajouter "...à côté de la faiblesse du négociateur tunisien "
