Le député d'Ennahdha, Moez Belhaj Rhouma a proposé la création d'un fonds pour la Zakat (aumône institutionnelle islamique) dans le cadre de la Loi de finances de 2020. L'annonce a été faite sur la page Facebook du parti islamiste, ce lundi 9 décembre 2019.
Ce fonds Zakat fait, en effet, partie su programme gouvernemental d'Ennahdha qui comporte un point concernant l’éradication de la pauvreté et l’aide aux catégories démunies.
Une mesure qui s'effectue à travers le renforcement du pouvoir d’achat, la réforme des circuits de distribution et le contrôle de la contrebande, en plus de l'instauration d'un fonds Zakat et du crowdfunding.
Selon la proposition de M. Belhaj Rhouma, ce fonds Zakat, financé par des dons ainsi que des montants de zakat des individus et des sociétés privées, est destiné aux familles nécessiteuses. Il contribue, également, à financer les projets des jeunes chômeurs notamment ceux provenant des régions marginalisées. Ce fonds servira ainsi à octroyer des bourses annuelles aux étudiants nécessiteux aussi bien qu'à couvrir les dettes des petits agriculteurs et artisans.
Il contribuera, par ailleurs, à construire et à développer des établissements dans les secteurs de la santé, de l'éducation, de la recherche scientifique et des affaires religieuses.
Une commission nationale de gestion de ce fonds sera, dans ce sens, mise en place.
Elle sera constituée, essentiellement, des représentants de la présidence du gouvernement, des ministères des Finances, des Affaires sociales et des Affaires religieuses, de l'université Zitouna, de l'Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC) ainsi que de la Cour des comptes.
B.L
Commentaires (58)
CommenterC'est une aubaine pour gannouchi et ses mercenaires
Absolument @AMAZIGH : c'est pour leur société secrète des Frères musulmans.
C'est bel et bien le point central : l'alimentation en argent frais de cette organisation secrète internationale, qui a des ramifications sous forme de "partis politiques" comme en Tunisie/Turquie/Egypte (détruite par le dictateur Sissi), etc.
le reste c'est des "associations caritatives" pour islamiser davantages les peuples aux wahhabisme, et construires écoles coraniques et mosquées.
ATTENTION PEUPLE TUNISIEN de ne pas tomber dans ce piège tendu par l'Organisation secrète des Frères musulmans.
Dites NON et faites le savoir haut et fort, il y va non seulement de votre argent, mais surtout de vos enfants : ne FINANCEZ PAS LE TERRORISME.
le vrai fond de ce fonds de l'empire islamique
Ils sont en place par le financement de cette société, maintenant il va falloir qu'ils sucent les ressources de la Tunisie jusqu'au moindre millime possible. Pour eux tout est bon à prendre
Yakooulouna Mala yafaloun
Cette terre est sous le nom d'allah allatif.
Wassalamou Ala man ittabaa AL houda.
Zakat
non, je paye déjà mes impots
la zakat ne me concerna pas
NON NON ET NON : NOUS REFUSONS LE FONDS ZAKAT OU AUTRE NOM
Le Chef de groupe de la secte au parlement nous dit aussi « l'Etat est responsable d'assurer les besoins des Tunisiens (éducation, santé, infrastructure) ainsi qu'une vie digne à tous les citoyens ». C'est à l'Etat par le moyen de l'impôt et de la TVA qui doit remplir ces fonctions. Faut-il encore que les ressources de l'Etat ne soit pas détourné par les islamistes qui ont créé une administration pléthorique qui grève le budget de l'Etat. Sans parler du fait que le meilleur moyen de lutter la pauvreté, c'est d'abord de lutter la corruption et les détournements de l'argent public et de ce point de vue, les islamistes en savent quelque chose. Il faut également libérer les énergies et laisser les gens travailler et entreprendre et arrêter de les entretenir à ne rien faire comme c'est la politique des islamistes.
Par conséquent, nous disons mille fois non au Fonds Zakat et s'il faut abroger la loi qui l'a créé, faisons-le. Evidemment, les islamistes s'y opposeront. Dans ce cas, posons la question au peuple par le moyen du référendum.
MERCI A TOUS CEUX QUI ONT EXPRIME LEUR REFUS
26 26 wahhabites voleurs menteurs.
Je vais finir par regretter le Dictateur Ben Ali, celui que je combattais.