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Deux soldats morts des suites de leurs blessures à Mghila
18/08/2015 | 09:25 , mis à jour à 11:27
1 min
Deux soldats morts des suites de leurs blessures à Mghila

Un des soldats blessés lors de l’explosion d’une mine au mont Mghila, le 17 août 2015, a succombé à ses blessures dans la nuit du même jour.

 

Le soldat décédé aurait 25 ans et serait originaire du gouvernorat de Sidi Bouzid.

 

Mise à jour : Un deuxième soldat a succombé à ses blessures dans la matinée du 18 août 2015. Il est décédé à l'hôpital régional de Kasserine et est originaire du gouvernorat de Béjà.

R.B.H

18/08/2015 | 09:25 , mis à jour à 11:27
1 min
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Commentaires (9)

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Léon
| 18-08-2015 18:40
Quand je vous lis, et même si je ne partage pas toutes vos idées (mais la plupart), je me sens moins seul et moins isolé dans mon combat.
Merci encore.
Pour revenir à l'objet de l'article, je dirai que deux nouvelles victimes ajoutent du sang dans les mains des tunisiens qui ont dit "Dégage".
Encore du sang dans les mains du peuple de la trahison collective, du régionalisme, de la haine, de la jalousie, de l'agressivité, de l'absence de valeurs, de la prétention, de la paresse......
Je ne sais pas comment Dieu va vous le faire payer. Il est le SEUL à le savoir, mais j'ai la conviction que vous le payerez cher, très cher, peuplade de traîtres!
A BAS LES TRAITRES!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Bourguibiste
| 18-08-2015 17:46
Cher John Wayne,

Il n est pas nécessaire de vous dire combien vous êtes incroyable ni même combien votre savoir est exceptionnel!

Je souhaitais uniquement vous transmettre mes sincères salutations et au passage vous dire que j ai eu une pensée pour vous aujourd hui suite à l information relative à la Syrie et le fait que la communauté internationale recherche une solution pérenne. Il me semble que vous aviez déjà prédit ce qui arrive dans un de vos commentaires de la semaine dernière! Encore Bravo!

Cordialement.

Foufa
| 18-08-2015 14:10
Si ces terroristes ne se sentent pas coupables et se plaignent parce qu'on les a torturés, c'est qu'ils ne sont pas normaux ni eux ni leurs avocats qui leurs réclament les droits de l'homme. Alors que dit on des martyrs qui sont morts de leur faute?

Mohra
| 18-08-2015 10:25
allah yarhmou et ysabbar ahlou
le pauvre victime de la pourriture

JOHN WAYNE
| 18-08-2015 10:16
Q-1 : Vous dites souvent que Bourguiba a commis une erreur fatale en fondant le développement de la Tunisie sur l'éducation. Expliquez-vous.
JW : J'ai dans le temps participé à la surveillance et même à la répression des mouvements politiques étudiants. J'étais par exemple en charge des dossiers concernant les étudiants communistes bien avant l'arrivée des mouvements islamistes. Déjà et moins de vingt années après l'indépendance, les étudiants Tunisiens étaient plus préoccupés a créer du grabuge qu'a étudier. Le système d'éducation était un système à la portée de tous ce qui l'a dévalorisé aux yeux d'une jeunesse qui très tôt s'est détachée d'une mentalité de patriotisme pour se diriger vers une comportement de criticisme du régime de Bourguiba. Le tout sur un fond de soi-disant recherche de repères politiques. La réalité est que la jeunesse Tunisienne avait déjà dix années après l'indépendance fait preuve d'irresponsabilité en cherchant plus à faire de la politique et de l'opposition a Bourguiba, qu'à étudier. Ce comportement irresponsable de générations qui devaient représenter le futur et l'espoir d'un pays pauvre et qui s'est même endetté pour éduquer ses jeunes, a prouvé d'ores et déjà que le système ne fonctionnait pas et qu'il était une arme à double tranchant et même un danger pour la Tunisie. Tous les hommes et les femmes qui aujourd'hui font de la politique et même gouvernent, sont ces mêmes personnes que jadis je traquais et surveillais dans les universités. Il s'agit non pas de patriotes et d'éléments valables, mais de mauvaises graines qui ont toujours nui au pays.

Q-2 : En quoi faire de la politique chez les générations étudiantes constitue-t-il un danger pour la Tunisie ?
JW : Les générations qui ont fait des études tout en faisant de la politique et en s'attaquant à Bourguiba, sont les mêmes qui plus tard et a un âge adulte se sont attaquées au régime de Ben Ali en enrichissant leur opposition politique par des mouvements prônant les droits de l'homme et en dénonçant le régime Tunisien au monde comme étant un régime de tortionnaires. C'est cette même mentalité de dissension permanente sans comprendre le contexte économique et géopolitique sévère dans lequel la Tunisie a survécu, qui a fait que des hommes et des femmes politiques Tunisiens ont vendu leur pays pour essayer de le changer. Bourguiba a privilégié les études supérieures dans sa stratégie de développer le pays. Il était donc obligé de laisser des générations entières terminer leurs études puisque le pays avait investi en eux. L'éducation supérieure a été un alibi pour ces générations qui ont développé un sens critique excessif vis-à-vis d'un pays qui survivait comme par miracle. Il s'agissait de jeunes n'ayant aucun sens du patriotisme, mais plutôt affligés d'un besoin constant de déstabiliser un système et même de le détruire. Leurs réactions étaient celles de jeunes et de jeunes bédouins très sous-développés passés soudainement des gourbis, aux bancs des facultés de Sciences. Leurs besoins d'éducation et d'obtenir un diplôme étaient secondaires et moins importants que de ne pas étudier et de nuire au pays. Ces étudiants savaient tous que les répressions de Bourguiba et de Ben Ali envers leurs générations étaient limitées. Il n'y a jamais eu d'étudiants emprisonnés à vie dans des goulags ou éliminés physiquement comme ce fut le cas pour l'ancienne URSS. Les étudiants Tunisiens qui tentaient de déstabiliser le pays ont toujours été libérés. Ils subissaient une répression plus physique que judicaire et finissaient toujours par rejoindre les campus pour reprendre leurs activités subversives. Cette situation a permis à des générations entières composées exclusivement de sociopathes et de traitres, de prendre à un moment donné les rennes des structures du pays. Ce qui constitue en lui-même une tragédie et la raison pour laquelle les Tunisiens ont vendu leur pays aujourd'hui.



JOHN WAYNE
| 18-08-2015 10:13
Q-3 : Je ne comprends toujours pas.
JW : Bourguiba qui était un homme très brillant a commis l'erreur élémentaire de croire que les Tunisiens étaient un peuple mure que l'éducation pousserait au développement dans un contexte de patriotisme. La réalité est que très tôt, les générations étudiantes ont développé un esprit critique qui a rejeté le sacrifice que Bourguiba et ses militants Nationalistes ont offert à la libération et a l'édification de la nation Tunisienne. Les étudiants Tunisiens qui étaient d'une génération plus jeune, ont toujours tourné en dérision les discours de Bourguiba et rejeté les efforts que le pays faisait pour les éduquer. Les étudiants Tunisiens en ont fait un droit absolu et légitime alors que très peu de pays éduquent leurs jeunes gratuitement. Le système des études à la portée de tous a créé des générations entières d'ingrats et de traitres.

Q-4 : Quel aurait été le système idéal d'éducation d'après vous ?
JW : L'endoctrinement des jeunes en ce qui concerne la loyauté à la Nation doit se faire avant la fin des études secondaires. Cet endoctrinement ne peut réussir que si les jeunes sont soumis à un système d'éducation de type militaire. Leur enseigner l'éducation Nationaliste ne suffit pas. La lecture de textes doit être accompagnée d'un système d'effort physique de type militaire pour être gravée à jamais dans les esprits. Lire un livre portant sur la Tarbiya Wataniya le soir à la maison ou en cours ne suffit pas, surtout si les parents sont critiques vis-à-vis de Bourguiba car ils sont originaires d'une région qui hait les Sahéliens. L'éducation secondaire aurait du être suivie obligatoirement par un service militaire de trois années qui servirait de sélection a des études supérieures limitées a ceux qui ont démontré l'esprit de patriotisme le plus fort et le plus tenace. C'est ce qui a caractérisé le système Soviétique. Les académies scientifiques Russes ne sont remplies que par les jeunes les plus patriotes et les plus disciplinés. C'est pour cette raison que la Russie est aujourd'hui une puissance nucléaire et qu'elle a comme Président Poutine, et que la Tunisie est un pays recolonisé par des agents de la CIA ignares et par l'émir du Qatar.








JOHN WAYNE
| 18-08-2015 10:12
Q-5 : Quelles sont vos solutions ?
JW : Mes solutions demeurent les mêmes. La Tunisie d'aujourd'hui est vouée a l'effondrement. Il s'agit d'une Nation qui est plongée dans le chaos car elle est justement gouvernée par ces générations entières qui ont critiqué Bourguiba à l'âge étudiant pour ensuite se convertir dans le droit de l'hommisme et la revente de la Nation Tunisienne a ses anciens colons. Mais il y a pire encore. Cette mentalité de dissension politique a moitié réprimée par Bourguiba et par Ben Ali, a créé un lit propice à l'éclosion du mouvement islamiste au niveau des générations étudiantes suite à la révolution Iranienne. Les générations d'étudiants islamistes sont celles qui aujourd'hui gouvernent la Tunisie à travers le parti Enahdha et qui tentent de faire basculer une Nation chancelante vers le Califat et la Chariaa. Un des plus grands professeurs de physique Tunisien était un islamiste dont j'ai géré le dossier personnellement. Mis à part son aspect scientifique, il s'agissait d'un homme odieux, profondément sociopathe, bourré de tics, et vouant aux femmes une haine montreuse. Cet homme plutôt solitaire, écrivait entre deux théorèmes de physique et d'énergie solaire, le futur d'une Tunisie qui serait gérée par le Coran.
L'autre exemple d'échec de l'éducation supérieure est le Professeur Moncef M. qui alla même jusqu'à recevoir des prix scientifiques de Bourguiba lui-même. Derrière ce côté intellectuel qui parle de médecine et de droits de l'homme, se cache un bédouin profondément complexé, haineux, dépourvu de tout patriotisme, et qui ne respecte que les blancs et les Européens d'où son choix de mariage mixte. Le mal fait à la Nation Tunisienne par le Professeur Moncef M. est incommensurable et sera ressenti sur les décennies à venir, surtout si l'on tient compte des crimes commis en Irak et en Syrie par les jeunes djihadistes Tunisiens que Moncef M. à protégé. La Tunisie n'a plus d'étudiants paresseux et faisant du grabuge, mais des générations entières de jeunes spécialisés dans les génocides et les pogroms.
La Nation Tunisienne doit devenir une Nation militaire ou l'autorité de l'état ne peut être bafouée sous peine de loi martiale et de peine de mort appliquée sur le champ. C'est en imposant au peuple et surtout aux jeunes générations, une mentalité de patriotisme de type militaire, que la Tunisie deviendra de nouveau indépendante. Le cas de l'Egypte est très convaincant. C'est parce que l'Egypte a fondé sa nation sur le militarisme et l'éducation militaire qu'elle peut aujourd'hui combattre les frères musulmans aisément et sauver la Nation du complot Sionisme-Islam. Le Marechal Al Sissi est un pur produit de Nasser qui lui-même a pris le pouvoir par le coup d'état des généraux libres. Il y a aujourd'hui en Tunisie et après le départ de Ben Ali, aucun héritier véritable de Bourguiba, mais que des traitres et des imposteurs. La théorie de Bourguiba qui prônait un état solide soutenu par un peuple éduqué a échouée lamentablement. L'éducation a la portée de tous a créé des traitres qui vendent la Tunisie d'une main signant des ententes avec l'OTAN, et qui utilisent l'autre main sale pour réciter la Fatiha tout en touchant le tombeau de Bourguiba.
Les Tunisiens sont un peuple corrompu, paresseux, et sale. Ils ne méritaient pas d'être éduqués gratuitement mais de passer d'abord par la bastonnade.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

MFH
| 18-08-2015 10:10
Un deuil de plus dans nos familles et une victoire supplémentaire chez les terroristes. Des juges qui libèrent, la conscience tranquille, des terroristes arrêtés preuve à l'appui. Des avocats, sans la moindre honte, pour défendre bec et ongles les égorgeurs de nos soldats. Et enfin des imbéciles, ramasseurs de merdes, sur les réseaux pour glorifier les opérations des assassins. Si en démocratie les choses doivent se passer ainsi, aucun peuple de la planète ne voudra de cette démocratie.

Hamedmeg
| 18-08-2015 10:06
Allah yarhmou et Si Yakoubi syndicaliste, nationaliste, patriote de l'UGTT promet une nouvelle année scolaire chaude avec des grèves à gogo si SES revendications financières ne seront pas acceptées, quel gâchis cette THAWRA, je ne cesserai jamais de penser à l'ère de ZABA.