Mais notre élu aux élections présidentielles de 2019, le retraité de l'enseignement supérieur, Kaïs Saïed, a fermé même le parlement ARP. Il a chassé ses députés, devant lesquels il fut assermenté la main sur le livre saint le Coran, pour qu'il respecte et pour qu'il protège la Constitution tunisienne de 2014. Cette même Constitution qui lui a permis de changer de location de la cité populaire de la Mnihla, directement au palais présidentiel de Carthage. Oui, même cette Constitution de 2014, dont il est tenu de respecter à la lettre, il l'a jetée à la poubelle. Maintenant, il signe son propre papier qui a échoué même dans son propre référendum truqué du 25 juillet dernier, tout seul en toute illégalité, devant une soumission très, jusqu'à trop douteuse de nos Forces armées. Oui, ce sont nos propres enfants qui ont prêté allégeance à la Patrie et jamais plus aux mortels.
Le président putschiste, n'a encore de but, qu'inscrire le palais de Carthage dans la Conservation de la Propriété de Tunis, en son propre nom, en copropriété avec sa famille. Quant à ses lèche-bottes, il leur a déjà préparé la chanson dont ils sont habitués depuis Ben Ali:"yèmchi ouiji" et "iji ouyèmchi".
Tabbel, Tabbel yè Tabbèl, afin qu'on se rappelle de la dernière exhortation du défunt dictateur déchu de Libye, Moammar Kadhafi. Lorsque ses fameuses menaces de:"zenguè, zenguè. Dar, dar", n'ont pas marché, comment il a demandé aux Libyens de chanter et de danser :"ghannou, wergoussou".
Mais les peuples ne sont pas dupes.
Allah yostir Tounes.