Une source sécuritaire a déclaré à l’agence Tap que les services de la brigade des enquêtes et d'investigation de la Garde nationale à Bizerte ont arrêté deux personnes qui exploitaient des parkings anarchiques à Ghar El Melh, qui demandaient aux vacanciers de l’argent illégalement.
La même source ajoute que cette arrestation s’inscrit dans le cadre des campagnes de contrôle régionales mixtes initiées par le gouverneur de Bizerte Mohamed Gouider. Ainsi, les deux individus appréhendés seront traduits devant la justice sur ordre du ministère public.
Dans le même contexte, les services de contrôle relevant de la direction régionale du commerce ont rédigé 25 PV économiques contre les marchands ambulants dans la région de Ghar El Melh à cause des prix exorbitants, ainsi que l’utilisation inappropriée de produits subventionnés.
S.H
Ces chacals, durant les deux premières années qui suivirent le coup d'état de 2011, se consacrèrent exclusivement à vider méthodiquement toutes les liquidités présentes dans les caisses de la nation, dans une frénésie dépassant celle d'un banc de piranhas dévorant une proie sans défense.
De ce fait, ils abandonnèrent toutes les charges de l'état qui furent récupérés par les sous fifres incultes et analphabètes, issus des rangs des supporters d'ennakba, du cpr et d'ettakatol.
A partir de cet instant précis, tout parti en co**lles.
Depuis, l'anarchie, le laxisme et le banditisme, règnent sans partage.
Toutefois, de quoi le gouverneur de Bizerte se mêle-t-il ? est-ce que cette "mesure" qu'il avait prise faisait partie de ses prérogatives ? NON, cela relève de la municipalité dont relève cette plage. Toutou obéissant, il fait où on lui dire de faire et comment le faire; l'ordre de cette mascarade est très probablement parti de la Kasbah ou du ministère de l'Intérieur ( c'est PAREIL...). C'est comme ça que mechichi, ce larbin islamo-fasciste de nahdha, comprend et applique la notion d'Etat de droit comprise par nahdha...Aujourd'hui, c'est la république indépendante de Bizerte qui réalise sur ses terres ce coup d'éclat... Et on va voir bientôt d'autres gouverneurs, ou délégués multiplier ce genre de forfaiture, toujours dans le cadre de la "décentralisation" chantonnée depuis longtemps par l'Etat. ?C'est pas beau, puisque ce même Etat n'est pas capable de garder sa propre centralité...il est même décentré, éclaté en trois tentacules qui se bouffent le nez..." Si le haut de la jarre est pourri, qu'en est-il de son contenu ?" dit le proverbe tunisien...
" Dans le même contexte, les services de contrôle relevant de la direction régionale du commerce ont rédigé 25 PV économiques contre les marchands ambulants dans la région de Ghar El Melh à cause des prix exorbitants, ainsi que l'utilisation inappropriée de produits subventionnés." (sic). Ah bon ! Cette fois c'est 25 PV et si ces marchands ambulants récidivent, que va faire le gouverneur de Bizerte, leur balancer de sa propre main, blanche et parfumée à l'eau de Zezem, 25 gifles, une gifle à chacun ?
Devant chaque belediyya, devant chaque centre commercial, devant toutes les qbadha, devant toutes les plages, c'est le cas.
Partout.
M'enfin ... je dirais néanmoins :
"Tant mieux" !
Ce gouvernement - l'un des nombreux, passés - se serait-il décidé à mettre le doigt sur ce problème épineux ?
Espérons-le !
La répression n'est pas la solution. C'est même un frein à la croissance.
Pourquoi ne pas donner l'exploitation de ces terrains inutiles à des chômeurs en contre partie d'un forfait et en fixant le prix pour les usagers.
Et si on veut rentrer dans le 21e siècle, une application peut être créée pour réserver et payer en ligne sa place sur tous les parkings de ce genre en Tunisie.
Mais bon, chez nous on préfère la répression et on s'en fout du chômage
'?a fait vivre mais ça nous fait reculer des siècles voir 14 siècles comme le veut leur incompétent de gourou. Lui qui n'a jamais travaillé mais qui vit au dépend des autres tel un parasite.
D'ailleurs ce sont tous des parasites improductifs.
Vous n'avez qu'à voir leur ventres qui poussent.
Pauvre de nous on est tombé si bas.
Mon dieu, où est ce qu'on est arrivé.....
Meskinè Tounès,