Le dirigeant Ennahdha et ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, a affirmé, vendredi 16 avril 2021, que son parti était disposé à faire des concessions pour sortir de la crise politique en réponse à la question du chroniquer d’Express FM.
Le politicien estime qu’il est essentiel de cesser les échanges d’accusations et de respecter les normes politiques et constitutionnelles concernant la formation du gouvernement.
" Le dialogue national doit aborder les questions urgentes qui se posent actuellement sur le plan économique, financier et social, les dossiers politiques en rapport notamment avec la création de la Cour constitutionnelle, la loi électorale et l’audiovisuel et l’amendement du régime politique ", précise M. Mekki.
Abdellatif Mekki a souligné, par ailleurs, que le régime politique devrait éloigner le chef du gouvernement de tous les tiraillements politiques en disposant qu’il doit être le chef du parti qui a obtenu le plus grand nombre de sièges au Parlement. Il a argué que dans ce cas de figure, le chef du gouvernement serait capable de négocier avec les parties politiques et son parti pourrait soutenir le gouvernement.
I.M.
Le pouvoir est disséminé, et plus personne ne peut prétendre décider seul.
Mechichi fait le dos rond afin de se convaincre de son utilité et son influence sur les événements. Il a été capable de payer une escorte à son agent croyant pouvoir ainsi l'imposer aux journalistes qui le sortirent la tête basse.
Ghannouchi s'accroche à une ARP devenue le refuge de tous les extrémistes barbus qui y déploient leurs talents de perturbateurs, y menant leur barque comme bon leur semble et y faisant la police contre tout démocrate, lorsque leurs nervis y ont élu demeure au vu et au su de tout le pays.
Les nervis des Ligues de protection de la révolution y font la loi, et organisent le coup de poing si besoin, nonobstant les insultes et les menaces devenus l'ordinaire des échanges avec tout ce qui n'est pas islamiste.
Les femmes y sont plus particulièrement maltraitées, et sans surprise la présidence n'y trouve rien à redire.
Alors, nous n'avons rien à foutre de Ennahdha, de Mekki et de tous ces menteurs et bonimenteurs islamistes, et n'en attendons rien.
Nous n'avons qu'un seul projet, vous foutre dehors, et couper l'herbe soys le pied de vos suppôts.
Nous n'en avons rien à foutre de vos libelles, vos Fatwa et autres niaiseries, le pays ne veut plus de vous.
Vos concessions, vous les présenterez lorsqu'on vous conviera à un dialogue.
Ce n'est pas tout de suite.
Je ne vous connais pas, mais ne tombez pas dans le piège des islamistes qui ont TOUS un double discours.
Le mekki que vous semblez admirer n'est autre que celui qui fait partie du parti des frères et qui n'a jamais abandonné sa doctrine et son projet.
Mais bien sur!
Il oublie que le gvt, théoriquement de technocrates hors partis politiques n'a pas a être chef du parti ennahdha même et surtout si la nahdha a eu, par la fraude, le plus grand nombre de sièges au Parlement. Il fait de l'ombre grave à ghanouchi là!
Non Mr Mekki, vous aurez beau faire, le chef du gvt n'avait en rien à se soumettre au dictat des nahdhaouis, le chef de gvt est chef de gvt POUR TOUS LES TUNISIENS!
- Pourquoi a-t-il tué Brahmi, Belaid et nos militaires dans les montagnes du sud-ouest tunisien,
- Comment a-t-il pu ramasser en seulement dix ans, une fortune d'un milliard de dollars,
- Pourquoi a-t-il réhabilité le RCD, en la personne de son secrétaire général Mohamed Gheriani
Lorsque Ghannouchi aura expliqué tout cela à a justice, vous pouvez alors Monsieur Mekki venir disserter et cracher vos phrases du déjà entendu. Mais, avant cela, épargnez-nous de vos discours dégueulasses.
Ya Mekki ya sibahlala fok âalik Barra imchi win thib itheb ichrid .
Et pourtant il est milliardaire ce type, il veut quelque chose de plus.
Comprenez que cet individu affirme clairement que ce sont les autres qui doivent se rapprocher d'eux et que l'effort incombe aux parties adverses.
Drôle de déclaration. Ceci dit, je ne suis aucunement étonné. La secte a un discours partisan et ne compte céder aucun millimètre à ses interlocuteurs et adversaires.
J'ajoute que le "dialogue national" est une foutaise, une chimère que les islamistes ne cessent de brandir pour paraitre aux yeux des citoyens comme étant des vrais démocrates, mais en fait cela ne sert que leurs petites personnes et leur dangereuse secte.