L’ancien chef du gouvernement Elyes Fakhfakh a affirmé, dans un post Facebook daté de ce mardi 22 décembre 2020, que ni lui ni la société dans laquelle il est actionnaire n'ont de liens - directs ou indirects - avec l'affaire des déchets italiens.
M. Fakhfakh réagissait aux propos de certains leaders du mouvement Ennahdha, l’impliquant dans l’affaire.
L’ancien chef du gouvernement se réserve le droit de poursuivre judiciairement tous ceux qui seraient impliqués dans la campagne de diffamation et de rumeurs, le visant, a-t-il prévenu.
S’adressant à ceux qui ont véhiculé ces rumeurs, il a déclaré : « Arrêtez de mentir ! Craignez Dieu ! "
Pour rappeler, plusieurs hauts cadres d’Etat, dont le ministre des Affaires Locales et de l’Environnement, Mustapha Aroui, ont été arrêtés. La veille, cinq mandats de dépôt ont été émis par le ministère public près le Tribunal de première instance de Sousse 1. L’un d’eux concerne M. Aroui, qui a été arrêté avant son limogeage, avait appris Business News de Jabeur Ghenimi, porte-parole du tribunal de première instance de Sousse 1.
I.N
Tu as joué. T'as perdu.
Allez, au suivant.
Ne cherchez pas très loin : puisque Ennahdha cherche à détourner l'attention en dressant un écran de fumée par la désignation d'un candidat coupable, qu'elle poursuit par ailleurs de sa vindicte, c'est qu'elle aurait quelque chose à voir avec cette couverture ! Quand il y a des mauvais coups, susceptibles en plus de procurer gains et avantages, soyez certains que ses hommes sont toujours là, profitant de sa main mise sur tous les centres de décision. Foin de l'intérêt national ou même de la santé des tunisiens et des conséquences de leurs intervention. Ce qui compte, c'est d'en amasser le plus possible, avant que le contexte ne leur devienne défavorable !