Pas d'alternative à l'information et à la prophylaxie!

C'est parfaitement exact ce que vous dites Madame Alya.
Chacun doit simplement faire son travail et espérer que nous pourrions atteindre plus de gens.

Notre peuple reste notre peuple et nous devons éduquer nos citoyens de manière responsable et continue. A mon grand étonnement et sans exagération, je pense qu'il y a plus de clips informatifs sur le COVID-19 en TV, en Tunisie qu'en Allemagne. Et la discipline - également en Europe - n'est pas vraiment digne d'éloges!

PS: Nous devons atteindre les gens du commun avec un bon dialecte tunisien (Bilfillàgui), mais pas avec des langues étrangères ou de l'arabe littéraire.

Cordialement !

Le problème en Tunisie est que les personnes contamines asymptomatique?et surtout les peu symptomatiques ne se mettent pas en auto-isolement puisque la notion de ne pas contaminer l autre n existe pas .donc,il patient présentant une forme orl pure va faire ses courses,travailler dans le secteur informel le plus souvent,fréquenter ses amis Vous êtes tunisien et vous savez que le tunisien est tactile indicipline personnellement, je n espere aucune diminution de la transmission du virus

qu'il fait ce ministre de la santé ,ses collaborateurs ainsi que son conseil scientifique pour sortir le pays de cette grave crise du covid-19 ?
Aucune stratégie claire pour atténuer la circulation exponentielle du virus chaque jour plus de 1500 nouveaux et en réalité si on porte les analyses à plus de 5000 jusqu'à 10000 par jour le nombre de nouveaux cas sera plus important plus de cas contaminés plus de décès et des malades dans les hôpitaux publics et plus de malades nécessitants des plus de lits de réanimation et de sous respiration que des promesses on va les acheter pauvre poule attends qu'on te ramène du blé de Béja le pays est en difficulté économique et sociale et les citoyens sont éprouvés par cette pandémie qui ne régresse pas le ministre de la santé ne tient pas compte des conséquences désastreuses des décisions du 27 juin au lieu d'obliger les tunisiens expatriés dans les pays européens de subir une quarantaine de 14 jours il a décidé de leur demander un auto-confinement chez eux comme quoi ces gens sont disciplinés et ceux qui veulent pas la quarantaine ils n'ont qu'à rester chez eux ils ont une bonne sécurité sociale et de gros moyens d'analyses et de traitements des malades ils n'apportent rien au pays ils veulent venir uniquement pour éviter le confinement total et les mesures drastiques décidés par les pays européens de leur résidence , les autorités du pays n'arrivent pas à traiter correctement ls citoyens locaux et ces tunisiens de l'étranger pourront contaminer leurs frères locaux sans le savoir

Manaus - une ville de 2 millions d'habitants au Brésil - a été citée par divers chercheurs comme un exemple positif d'immunité collective contre le SRAS-CoV-2. Cette possibilité est remise en question de manière critique dans un article de la revue «Nature».

Manaus comme exemple
En mai 2020, il y a eu une épidémie majeure de Covid-19 à Manaus, les hôpitaux étaient surpeuplés et de nouvelles tombes ont dû être creusées en dehors des limites de la ville avec une surmortalité de 120 décès par jour. Malgré le relâchement des restrictions de contact en juin, la surmortalité est tombée à presque zéro en août.

Certains scientifiques attribuent cela au fait qu'une grande partie de la population a entre-temps été exposée et est devenue immunisée. En fait, à la fin de la première vague, des anticorps positifs ont été trouvés chez 66% des plus de 6 000 résidents testés. Les chercheurs ont conclu que le nombre de personnes vulnérables n'est plus suffisant pour une nouvelle épidémie - l'immunité collective aurait mis un terme à la pandémie ici.

Faut-il donc repenser la stratégie actuelle et laisser simplement le virus propager son cours naturel? Les épidémiologistes ont rapidement rejeté ces arguments. Kristian Andersen entre autres , Un immunologiste du Scripps Research Institute de La Jolla, Californie, suggère qu'une telle approche entraînerait de grandes souffrances et des pertes de vie catastrophiques, sans que la société ne puisse nécessairement revenir à la normale.

Même ainsi, l'idée d'immunité collective continue de surgir dans divers pays comme la Suède, la Grande-Bretagne et les '?tats-Unis. Une erreur dangereuse sans preuves scientifiques, écrit un groupe de scientifiques dans le Lancet.

Qu'est-ce qui fait obstacle à l'immunité collective?
L'ensemble du concept est basé sur l'hypothèse actuellement non prouvée que les survivants de l'infection sont immunisés de toute façon. L'infection par le SRAS-CoV-2 semble conduire à une sorte d'immunité fonctionnelle - mais personne ne sait actuellement combien de temps l'immunité durera. Pour les virus corona saisonniers, c'est environ un an - jusqu'à présent, rien ne permet de penser que ce sera différent avec le SRAS-CoV-2. Si c'est le cas, tout le beau concept de «l'immunité naturelle du troupeau» s'effondre.

Dans ce cas, il faudrait attendre pour revenir à une vie normale jusqu'à ce qu'une vaccination efficace confère effectivement une immunité collective. D'ici là, le respect des règles restera l'outil le plus important dans la lutte contre la pandémie:
Gardez vos distances, respectez l'hygiène et portez un masque quotidien (couvre-bouche et nez). En automne et en hiver, lorsque nous passons plus de temps dans des pièces fermées, une ventilation régulière est également très importante.