
Le leader de Nidaa Tounes, Faouzi Elloumi, a indiqué ce vendredi 15 janvier 2016, au micro de Wessim Ben Larbi, sur Express Fm, qu’il est sain qu’un parti abrite plusieurs courants pour représenter l’hétérogénéité de ses électeurs et s’éloigner de la « pensée unique ».
Faouzi Elloumi, qui a fondé le courant « Al Amal » au sein de Nidaa Tounes, a précisé que ce courant a pour objectifs la lutte contre la corruption, la lutte contre la pauvreté, la réconciliation nationale et l’instauration de la démocratie au sein de Nidaa Tounes. Il a souligné, à ce propos, que l’absence de démocratie au sein de Nidaa est la cause directe de ce qui s’y passe en ce moment.
« Il y a eu des accords qui n’ont pas été respectés lors du congrès de Sousse, qui en réalité n’en est pas un » a affirmé le leader de Nidaa Tounes, « cela concerne notamment la liste des dirigeants du parti qui a été modifiée au dernier moment» a-t-il ajouté. Le leader de Nidaa a précisé que le comité des 13 a totalement perdu la boussole lors du congrès de Sousse, précisant qu’il y a eu un renversement des décisions et de la feuille de route élaborée par le comité.
M. Elloumi a déclaré que le courant « Al Amal » compte près de trois mille militants de Nidaa Tounes dont des députés, soulignant que l’important n’est pas la taille du courant mais qu’il participe à la variété idéologique insistant sur le fait que ce courant démocratique traitera avec tous les blocs, même ceux qui se sont retirés.
M.B.Z
Commentaires (12)
CommenterAh!
Pourris jusqu'à la moëlle
@BN:
@BN
BN: Cher lecteur, votre commentaire a été déjà publié sous un autre article. Merci pour votre compréhension.
Insupportable
SVP arrêter cette pratique et prendre une décision définitive.
courant d air
si faouzi cree un courant d air plutot qu un courant le parti est en delabrement total il fallait fermer les issus et les portes et restructurer le partie et le reconstruire et reprendre ceux qui l ont construit dés sa création pour que le courant passe sinon cela va etre un courant d air qui passe
Courant d'air
- il ne faut pas avoir d'état d'âme pour faire de la politique. C'est une arène. Il y'a un vainqueur et un vaincu. Vous avez édifié un parti. On vous le confisque. Votre réaction est molle.
- votre épouse tient les cordons de la bourse de ce parti. Où est-elle ? Avec vous ou contre vous. Car la première des leçons en politique est d'afficher une solidarité de couple. Même de façade. Suivez l'exemple des Clinton et des Sarkosy. Si votre épouse ne vous suit pas pourquoi les électeurs vous suivraient ?
- au lieu de constituer un courant, commencez par contester légalement ces désignations contraires à votre règlement intérieur. Plainte en référé en annulation de ce bureau fantoche.
Si vous gagnez, la démocratie aura triomphé. Si vous perdez, vous en conclurez que le système est toujours pourri et que la révolution est inachevé. Vous aurez plus de chance à recréer un autre parti et vos electeurs vous suivront.
Quand on vous poignarde entre les côtes vous ne réagissez pas en pinçant la joue en disant " vilain garçon". Vous abattez votre adversaire.
LA REPONSE DE JOHN WAYNE
Faites comme moi.
Dévorez les ouvrages datant des années 1960 au lieu de lire ce que Moncef Marzouki et ses assistant (et surtout assistantes) écrivent sur Facebook, entre deux démangeaisons des régions pubiennes du corps.
Salah Ben Youssef que je ne hais point, a commis la faute la plus grave de sa vie d'homme intègre et idéaliste qu'il était.
Suite à son discours prononcé dès son retour en Tunisie, il a accepté le support politique du Bey de Tunis et de sa famille, sans compter le support politique de l'Union Générale de l'Agriculture Tunisienne et de la mosquée Zitouna.
Une mosquée que je fermerai immédiatement une fois au Palais de Carthage.
Salah Ben Youssef a utilisé l'Islam afin de se liguer contre Bourguiba et le Neo-Destour en qui il voyait une puissance politique jamais vue auparavant.
Dire que Salah Ben Youssef n'a pas utilisé l'Islam pour remonter le peuple Tunisien contre Bourguiba vous vaudrait la note de zéro sur vingt à un examen de sciences politiques de l'Université Française la moins cotée.
BIBLIOGRAPHIE :
Georges Burdeau, Professeur à la Faculté de Droit et des Sciences Economiques de Paris.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.