Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas. Les Hommes de pouvoirs restent, eux, immuablement englués dans leurs contradictions. Ou leurs névroses.
La suffisance peut tuer, les certitudes peuvent détruire. Écouter son prochain, c’est parfois entendre raison. Alors qu’entendre son semblable, c’est juste s’écouter parler.
Ça commence par un vrai feu, avec des flammes, de la fumée, des pompiers. C’est le drame écologique des incendies de la forêt amazonienne. Loin des feux ravageurs des années 2004, 2005, 2007 ou 2010, ceux de cette année restent tout de même plus que préoccupants pour ce qu’on appelle le poumon de la planète
Il y a quelques semaines, nous vous alertions ici sur la situation explosive dans le détroit d’Ormuz où passe le tiers de la production mondiale de pétrole.
On ne peut pas ouvrir cette chronique cette semaine sans se mettre debout, la main sur le cœur et se féliciter de l’élection de la Tunisie vendredi au Conseil de Sécurité de l’ONU. La concurrence était rude, et nous savons que cette victoire était loin d’être acquise. On peut d’autant s’en enorgueillir que le vote s’est fait à la quasi-unanimité, 191 voix sur 193. #tahyatounes #ouiboncava !
Le ton de cette semaine a été donné lundi dès trois heures du matin. Après une attente intenable, après huit années de guerres, de conflits, de morts, de trahisons et d’alliances,
L’actualité du monde, c’est comme cette série qu’on regarde en se disant que les scénaristes nous prennent pour des idiots, et que dans la vraie vie, ça ne peut pas se passer. En fait si.