Le président de la chambre syndicale nationale des cliniques privées relevant de l'Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), Boubaker Zakhama, a mis en garde, mercredi 8 septembre 2021, des répercussions désastreuses de la fermeture des frontières entre la Tunisie et la Libye ainsi que d’autres pays africains sur les cliniques privées.
Dans une intervention sur Express FM, il a fait savoir que les cliniques privées – dont 50% de la clientèle sont des patients étrangers – recevaient plusieurs demandes d’hospitalisation pour des Libyens sans pouvoir y donner suite.
Le 22 août, la Tunisie a décidé la fermeture de ses frontières avec la Libye évoquant des raisons sanitaires et ce une semaine après que les autorités libyennes ont annoncé la réouverture des frontières de leur côté après une fermeture de plus d’un mois.
Boubaker Zakhama a signalé, par la même occasion, que les dettes des patients libyens auprès des cliniques tunisiennes s’élevaient à 270 millions de dinars sur les dix dernières années précisant que cette somme n’a pu être réglée en dépit des efforts conjugués de la Banque centrale, du ministère des Affaires étrangères, et du gouvernement précédent.
N.J.
Vous n'êtes jamais satisfaits, jamais rassasiés ?
Pendant la période covid ( et ça dure encore ) , vous l'avez enfoncé jusqu'au fond !
J'ai ai fait l'expérience personnelle avec un parent, où j'ai assisté au bas marchandage digne des grands souks, l'humain est considéré comme Selaa à profits, j'en garde un mauvais souvenir.
Et je n'éprouve aucune rancune
ni jalousie contre les riches qui fructifient leur argent ou savoir professionnel pour gagner plus et c'est légitime, mais là excusez-moi, il s'agit d'une aberration ! Ce Mr se manifeste que pour pleurnicher !
Comme ces mendiants devant Sidi Mehrez ! Ne trouvant même pas les moyens pour dîner !
Ya Maallam ! Vous voulez avaler le monde et conclure avec sa fin ?
( Taklou Eddenya wtetsahrou Bellakhra ? )
Alors pourquoi courir après des mauvais payeurs ? '? moins qu'il y aie anguille sous roche et que les paiements se sont effectués de "la main à la main" et en devises sonnantes et trébuchantes, non déclarées, comme il se doit depuis que la pandémie de l'évasion fiscale ne fait que gangrèner le pays et qu'étant difficile de reconnaître le paiement dans des conditions douteuses, on laisse ça sur le compte des "ardoises"...
Selon M. Zakhama, sans les libyens , les cliniques du sud au nord ne marchent plus ! ajoutons les cabinets privés et les pharmacies...
c'est une réalité qu'on ne peut nier !
Alors aux tunisiens de décider , on ferme ou on ouvre !!
La réponse est catégorique, les cliniques ont gonflé la facture.