Le chargé des Affaires politiques à Nidaa Tounes, Borhène Bsaies semble s’intéresser de près à l’enquête publiée sur un journal quotidien concernant un présumé réseau d’espionnage, impliquant des hommes d’affaires et autres hommes politiques.
Chose qui fût démentie par le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis, qui a indiqué qu’il s’agit plutôt de crimes financiers qui n’ont aucun rapport avec l’espionnage.
« Ce qui est drôle dans l’histoire, c’est que la bande semble fière et contente que l’affaire ne concerne pas l’espionnage et ne dépasse pas une affaire de blanchiment d’argent et de mafias », indique M. Bsaies dans un post publié aujourd’hui sur sa page Facebook.
Et d’ajouter, « cela veut dire qu’il s’agit d’un Sida et non d’un cancer. Il est vrai que c’est réconfortant », souligne-t-il sur un ton ironique. « Leur embarras est compréhensible, parce qu’ils savent pertinemment que l’affaire est bel et bien un Sida et un cancer, et les prochains jours apporteront leur lot de surprises », conclut-il ses propos.
S.H