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BCE : Un politique se préoccupe des prochaines élections, un homme d’Etat des générations futures !
31/07/2018 | 20:08
1 min
BCE : Un politique se préoccupe des prochaines élections, un homme d’Etat des générations futures !

 

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi a prononcé un discours, ce mardi 31 juillet 2018, à l’occasion de la clôture de la conférence annuelle des chefs de missions diplomatiques et des consulats.

Le président de la République a tenu à féliciter les efforts de la diplomatie tunisienne, mettant l’accent sur son rôle stratégique dans la promotion de l’image de la Tunisie en tant que destination touristique et d’investissement attractive.

 

Cela dit, le chef de l’Etat a conclu son discours par une pique politique affirmant qu’« En 2020, personne ne sait s’il sera encore en vie ou pas. Personne ne sait s’il sera au pouvoir ou simple spectateur. Mais comme je l’ai déjà dit, un homme politique est préoccupé par les prochaines élections, tandis qu’un homme d’Etat se soucie des générations futures. Nous, nous sommes un Etat qui se soucie des générations futures, et nous tiendrons notre promesse », assure-t-il en présence du chef du gouvernement Youssef Chahed.

 

S.H

 

 

31/07/2018 | 20:08
1 min
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Commentaires (30)

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EL Ghoudi
| 01-08-2018 19:27
Excellence,je me réfère a votre discours historique du 28 juillet 2018 au sein de L'ARP Je vous supplie de venir en aide à un créateur de créneaux dont la détermination de bien faire et d'?uvrer pour la création d'emplois devient une véritable obsession . Incubateur des années 87, créateur de créneaux documentation a l'appuies . Notre activité principale, le Marketing, les services et le travail à distance, nous place au centre d'un champ d'intérêts vaste et pluridisciplinaire Bien que nous soyons rompus aux techniques des relations humaines, nous nous expliquons difficilement les réflexes bureaucratiques et certaines formalités inhibant-es d'un autre âge. Ce qui est d'autant plus désolant c'est que ces obstacles surviennent au stade de la constitution d'une PME ( START-UP) ou de sa manifestation sur le marché. Nous demeurons persuadé de votre volonté d'?uvrer a la solution des problèmes de la jeunesse sans emplois et du caractère passager de ces difficultés qui découlent a n'en pas douter de la conjoncture. Nous voulons également assurer votre excellence de notre présence assidue à vos côtés dans les lourdes taches que vous assumez et la noble mission dont vous a chargé les 149 députées .
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rayma
| 01-08-2018 19:03
BCE réalise-il que ses électeurs l'ont rejeté

Napoléon
| 01-08-2018 18:07
Votre raisonnement serait irréfutable si le Nida se trouve en bonne santé. Vous dites que les islamistes ont entre 30 et 35% des électeurs potentiels, moi je pense qu'au maximum il ne pourrait récolter que 25% soit 1million et demi de voix. Mais il faut envisager des scénarios- catastrophes. Les islamistes travaillent d'arrache-pied pour que Ghannouchi soit Chef de l'Etat en 2019. Dans la situation actuelle les voix des anti-islamistes sont éparpillés et il se peut qu'aucun des candidats présidentiables non islamiste tel que YC ou BCE et autres n'obtienne le suffrage suffisant pour passer au second tour. Donc premier scénario-catastrophe : nous aurions un second tour avec Hamma Hammami et Rached Ghannouchi. Deuxième scénario- catastrophe prémédité par les islamistes (vous reconnaissez qu'ils sont disciplinés) : nous aurions deux islamistes au second tour exemple : Jebali ou Hamdi face à Ghannouchi (au premier tour le mari vote pour Ghannouchi et la femme pour Jebali). La seule solution pour faire barrage à Ghannouchi : c'est d'organiser des primaires. Cordialement.

ourwa
| 01-08-2018 17:31
Non Hatem C, pour sortir de ce cloaque, souhaiter que BCE "dégage" (comment?), ou prenne sa retraite( selon quel article de la Constitution? merci ghannouchi?), n'est pas la solution adéquate, car, contrairement au jugement de certains comme quoi nous serions dans une république monarchique, BCE n'est pas l'Etat, comme l'a déclaré Louis XIV, à juste titre:" L'Etat, c'est moi!...". BCE n'est qu'un rouage, important certes, d'un système politique pourri qui a vu le jour dès l'Indépendance ou même avant...Ce système, gangrené par Bourguiba, aggravé par Ben Ali et depuis 2011 métastasé jusqu'à l'os par les islamo-fascistes, campe durement sur la poitrine d'un pays à l'agonie...BCE ne se présentera pas aux élections de 2019, car il sait qu'il se ramassera une brillante défaite, son fils, probable candidat d'un nidâa en faillite ( mais lequel des 3 ou 4 nidâas qui existent?), n'a aucune chance de décrocher le trône de Carthage...Mais pour autant, ce système PSD-RCD-ISLAMO-FASCISTE pourri va demeurer, car les électeurs, tout comme en 2011 et 2014, demeurent nostalgiques pour un bourguibisme ambigu et corrompu, pour un benalisme prédateur et mafieux et se montrent désormais gravement phagocytés par un islamo-fascisme mortel...BCE, en pondant en 2013 son avorton néfaste appelé nidâa, ferme tout espoir de redressement du pays, tue dans l'oeuf les justes aspirations d'une jeune révolution naissante et ce faisant, ouvre la boite de Pandore en offrant sur un plateau d'argent les clés du pouvoir à une organisation criminelle appelée nahdha... Aujourd'hui, c'est un sombre tableau politique, social, économique...qui s'affiche. Qu'en sera-t-il en 2019, pendant la campagne électorale et après les élections? Pourrions-nous avoir un quelconque optimisme quant à l'espoir de voir le pays se relever de son agonie, en souhaitant la constitution en un an d'une véritable coalition de partis d'opposition vraie, ni PSD, ni RCD, ni ISLAMO-FASCISTE, opposition démocratique, républicaine, humaniste et dont le seul souci est de relever le pays de sa misère...et non pas de tirer des plans sur la comète et courir après des privilèges partisans et des postes ministériels et des fonds de commerce mafieux ?....Ce serait peut-être possible si ce peuple râleur à juste titre, mais apathique car fataliste, ouvre réellement les yeux, identifie justement les prédateurs et fasse le ménage...en votant proprement....

Fehri
| 01-08-2018 15:54
BCE a le droit de virer son premier ministre quand il le veut, mais choisi l'ephemisme, le sarcasme et la gloire. Il devrait faire son travaille maintenant et pas dans 20 ans. Il parle des deux côtés de sa bouche pauvre vieillard!

Imed
| 01-08-2018 15:43
C est totalement la fausse copie.....il n a jamais ete sincere avec Bourguiba...il doit tous ses postes d ambassadeur et de ministre des affaires etrangeres a Wassila Bourguiba...et aujourd hui son entree au premier gouvernement grace a son ami de la Marsa Foued Mbazzaa et son accession au Palais de Carthage grace a Rached Ghannouchi et a Ennahdha.Il aura droit a quelques lignes dans les livres d histoires..noircies ..Au fait qu a t il fait d importants...il a autorise les terroristes de Abdelhakim Belhaj de transiter par la Tunisie avec armes et munitions pour semer le chaos en Lybie,il a trompe ses electeurs rien que pour occuper le bureau de Bourguiba a Carthage....et s aplatir devant Ghannouchi....il fait tout pour promouvoir ses fideles et les membres de sa famille...en faisant des clins d oeil aux syndicalistes et aux Islamistes.......en un mot un discours artificiels...que du baratin.....la Tunisie est petite sans aucune ressource,elle doit s aligner sur les Etats qui dirigent ce monde.....les Etats con servateurs. pourtant il y a un Etat qui est parti de rien,sans aucune ressource qui a ete rejete par sa mere la Malaisie mais aujourd hui c est un petit Etat riche,puissant et tres respecte dans le monde
c est l Etat de Singapour.....le discours d un petit calibre denomme Beji Caied Essebsi ne sont que des paroles emanants d une momie du siecle dernier,...il est totalement en decalage de la realite..il veut tout simplement plaire a ses maitres.

Citoyen
| 01-08-2018 15:17
" Nous? Qui est nous? Le Fourbe de Carthage a Force d en faire trop ,ne l est plus. Triste prochaine sortie dans gloire et sans memoire!

kameleon78
| 01-08-2018 14:42
Le premier tour est qualificatif et non qualitatif.

Sami Remadi
| 01-08-2018 14:39
C'est un "homme d'état " qui se préoccupe des générations futures, ça doit être la raison pour laquelle il a tout sacrifié pour assurer l'avenir de son fils

kameleon78
| 01-08-2018 14:09
J'ai expliqué des dizaines de fois qu'un islamiste quelque il soit , ne pourrait gagner une élection à deux tours. Pourquoi? Un islamiste peut arriver en tête au premier tour sans problème car c'est un parti très discipliné et il sait mobiliser ses électeurs mais le second tour est fatal pour eux pourquoi? Car au second tour on ne se déplace pas pour élire un candidat mais pour voter contre un candidat.

Le premier tour est qualitatif, le second tour est éliminatoire. Au second tour les électeurs islamistes se déplaceront pour élire leur champion, ils seront entre 30 à 35% des électeurs, mais ils auront en face d'eux une coalition d'électeurs non islamistes dont le but est de faire barrage aux nahdaouis (65 à 70% des électeurs), ce qui explique pourquoi les islamistes n'aiment pas l'élection présidentielle car elle est à deux tours. Le second tour est fatal aux islamistes, ils se retrouveront seuls face à une coalition (majoritaire) d'électeurs hostiles à leur projet islamiste.