Enfin, commencer par penser. Ne pas répéter, comme des fétiches des formules toutes faites. Faire appel à ses expériences, et de tout cela un tremplin pour émanciper sa réflexion, s'autoriser à franchir les barrières mentales et culturelles, penser par soi-même, advenir à l'état de sujet.
On en est loin dans un pays où l'on use de mots totems lorsqu'on ne sait pas nommer les faits et les choses.
On a "des compétences devant quoi
se prosterner grâce et à cause de la seule vertu du vocable.
Penser juste, penser loin. Et, comme on ne pense qu'avec autrui, ses acquis et ce qu'on apprend tous les jours, tout le monde peut contribuer au savoir collectif à la seule condition d'avoir cet esprit collectif.
En Tunisie, je suggérerais d'enseigner d'abord à vivre, relationnel et penser avec les autres. Ce serait un pas de géant que l'intelligence d'un individu jamais ne permettra d'accomplir.
Les références savantes, les savoirs et les singes savants ne font pas progresser d'un pouce ni l'homme, ni la société.
Mille fleurs pour une Tunisie émancipée et responsable de son devenir avec des citoyens libres.

A court et à moyen terme , notre école REPUBLICAINE sera chambardée, une vision et un programme sont bien établis et
préparés pour le faire passer progressivement vers la privatisation , elle sera inéluctabement imposee aux familles TUNISIENNES, nos gouvernants ont décidés de balancer et de se débarrasser de l'école de BOURGUIBA et de FARHAT HACHED puisqu'elle leur coute chére et ne sont plus préts de supporter les améliorations et les attentes des parents pour qu'elle soit à la page de ce qui se passe à son développement dans le monde moderne, leur srtatégie est d'encourager par tous les moyens" le laisser faire, laisser passer" les barons et les lobbies privés pour s'investir et investir dans le secteur de l'éducation, on a terminé de privatiser les écoles préparatoires(tahdhiria), actuellement on a passè à celle des écoles primaires, leur nombre se multiplie chaque année d'une façon trop remarquable , et dans dix ans ça viendra le tour des colléges , des lycées et des universités, maintenant un parent qui désire inscrire sa progéniture dans une école privée, il faut casquer au moins 120 dinars par mois et en plus d'autres diverses dépenses, et à ce moment on se trouve devant l'inégalité des chances ce qui occasionnera impérativement l'injustice sociale et tout le monde devra attendre les conséquences imprévues de cette politique éducative d'avenir de notre chére TUNISIE, d'ailleurs , actuellement et depuis belle lurtette, notre ECOLE , vomit chaque année I00 000 JEUNES et les jette dans la naturte, dans le vide et dans l'inconnu et nous voilà, on est en train de récolter des conséquences malheureuses et parfois houleuses et horribles

d'accord sur tout sauf sur l'éducation avec ben Ali ,ben Ali a détruit l'éducation, il a pris le relais de la destruction sur Mohamed Mzali car c'est lui qui a commencer à achever le système scolaire tunisien et cela a débuter par l'arabisation des programmes scolaires et tout ce qui a suivi cette politique de Mzali le khwanji.
Ben Ali a contribuer à la destruction des hôpitaux publics pour que les gens s'oriente vers les cliniques qui sont en général propriété des amis ,des copains et de la famille pour faire tourner leur établissements .
Abdelaziz ben dia est le chef d'orchestre des facultés privés aussi dans le but de détruire les établissements éducatifs publics pour que les gens s'oriente vers les facultés privée (des amis et des copains ).
Le résultat aujourd'hui est flagrant le privé a détruit le publique et finira par se détruire lui même car les tunisiens n'ont plus les moyens pour aller chez le privée .

Le seul avenir à l'issue des diplômes universitaire est la 7argua pour les études et pour un avenir meilleur. Un système éducatif bâti pierre après pierre par Bourguiba, puis par Ben Ali, décrié aujourd'hui par les ingrats. Ceux qui en ont le plus profité l'ont sabordé et en ont dit bien du mal. Des ingrats, tout simplement.
Aujourd'hui, à quoi servent les ministères éducatifs lorsque leur seul but est la vente (souvent organisée) des enfants Lauréats de la Tunisie. Est-ce là la mission de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique (aujourd'hui moribonde).
Jamais l'analphabétisme n'avait avancé depuis l'indépendance. Il a toujours été en net recul. Depuis 2012, il ne cesse de progresser. Entre temps, les finances des banquiers se portent bien et avancent. Voilà ce qu'est devenu le rôle protecteur de l'état en Tunisie. Protéger les intérêts des plus nantis. Et ce, par la main-même des ses propres enfants ingrats. Enfants issus de parent aigris et jaloux, mus de haines, de tribalisme et de régionalisme. Ceux qui ont donné plus tard, les employés de freedom house, de otpor, de georges soros, et les ong tels al bawsala, doustourna,.. et autres organisations criminelles pour la souveraineté de notre pays, qui ont eu le culot et l'outrecuidance de travailler main dans la main avec l'ennemi. Pour se venger? Mais de quoi? Du fait que leurs parents soient des minus à qui, ni Bourguiba, ni Ben Ali, n'ont laissé la possibilité de trahir.
Alors que voulez-vous que je vous dise, sinon vous inviter à une lecture saine; celle du verset 112 de la sourate des abeilles. Cette lecture qui, jour après jour, prouve que les ingrats envers les hommes ne peuvent être reconnaissants envers Dieu. L'ingratitude est intrinsèque, son visage est unique. Celui du peuple qui a trahi.

VIVE BEN ALI, VIVE ABIR MOUSSI, à BAS LES TRAITRES QUI ONT COMPOSé AVEC LES éTRANGERS.

LEON, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.