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Autour de Kaïs Saïed, il n’y a que des ennemis… Partout, des ennemis !
28/04/2022 | 12:30
6 min
Autour de Kaïs Saïed, il n’y a que des ennemis… Partout, des ennemis !

 

Théoriquement, l’islam est la religion de la tolérance et du pardon. Théoriquement aussi, la veille sacrée du 27 ramadan est meilleure que mille mois. C’est ce qui est, du moins, indiqué dans le Coran. Sauf qu’on peut faire dire au Coran tout et son contraire, en fonction des interprétations.

Celle de Kaïs Saïed semble être à l’opposé de ce qui est indiqué dans le Coran. Pour lui, il n’y a ni tolérance, ni pardon à l’égard de « tous ces traîtres et ennemis qui veulent du mal à la Tunisie. »

C’est la conclusion que l’on tire de son discours d’un quart d’heure prononcé au soir du mercredi 27 avril (coïncidant avec la nuit sacrée) devant un parterre de familles de martyrs et de blessés des forces de l’ordre, invités pour un dîner d’iftar au palais de Carthage.

 

Comme d’habitude, et c’est le cas de 90% de ses discours, le président de la République dévie de l’ordre du jour de la réunion pour prononcer un discours politique dans lequel il épingle ses adversaires et ses ennemis. Et en l’écoutant, force est de constater que ces ennemis sont nombreux, très nombreux. C’est comme si le président est persécuté de partout, depuis la Tunisie et l’étranger.

 

Théoriquement, les adversaires de Kaïs Saïed sont des opposants qui usent de leur droit le plus légitime de s’opposer au pouvoir d’un président qui s’est accaparé les pleins pouvoirs depuis neuf mois.

Mais ce n’est pas l’avis du président. A l’entendre, et pas qu’hier, ces opposants sont des traîtres à la nation et des ennemis du peuple. « Celui qui a choisi de faire tomber l’État de l’intérieur, il n’est pas des nôtres ! », a déclaré le président.

Théoriquement, on ne dialogue qu’avec ses adversaires et ennemis, afin d’aboutir à la paix et la réconciliation. Mais, d’après le président, il ne saurait y avoir de dialogue avec quiconque qui veut atteindre l’État. « Le dialogue n’aura lieu qu’avec les personnes sincères et honnêtes. Nous ne reconnaitrons que les patriotes qui préfèrent l’État à leur propre personne, nous ne reconnaitrons pas ceux qui cherchent à vendre la patrie. Aucune réconciliation avec ceux-là ! Il n’y aura ni de réconciliation, ni de dialogue ! »

Théoriquement, les opposants politiques font partie du peuple. Pas du point de vue de Kaïs Saïed qui les invite à rejoindre les rangs du peuple.

Théoriquement, la consultation nationale organisée par Kaïs Saïed n’est pas représentative du peuple puisqu’elle n’a attiré que 535.000 personnes et qu’elle est entachée de suspicion de fraude, vu que plusieurs personnes ont pu y participer plus d’une fois. La consultation ne répond pas, non plus, aux critères scientifiques basiques au vu de ses questions qui sont fortement orientées.

Théoriquement encore, les opposants politiques sont représentatifs d’une partie du peuple, soit-elle minoritaire.

Sauf que Kaïs Saïed voit les choses autrement. Pour lui, ses ennemis ont peur du référendum et de la consultation, parce qu’ils ont peur de la volonté populaire.

Théoriquement, les différentes conférences organisées par l’opposition ces derniers mois, ont pour objectif de rétablir la démocratie, le droit et la Constitution et de sauver la Tunisie.

Kaïs Saïed y voit cependant des réunions pour diviser la Tunisie en plusieurs petits États. « Ils parlent de sauvetage, alors que la Tunisie cherche à se sauver d’eux. »

Théoriquement, les alliances politiques se font et se défont en fonction des circonstances. Mais pour Kaïs Saïed, ceux qui étaient ennemis en 2013 ne peuvent pas devenir alliés en 2022.

Théoriquement, le dîner d’iftar offert hier, est une rencontre ordinaire comme Carthage en organise chaque année depuis des décennies. À écouter le président, il s’agit d’un moment historique comme on n’en a jamais vécu. « L’Histoire enregistrera ce moment, comme un départ vers un lendemain meilleur pour atteindre les objectifs du peuple. C’est un tournant dans l’Histoire. »

 

Il n’y a pas que sur le plan national que Kaïs Saïed voit des ennemis partout, les partenaires étrangers en ont eu, aussi, pour leur grade durant ce dîner d’iftar.

Plusieurs partenaires de la Tunisie, notamment les Etats-Unis et l’Union européenne, ont fait part de leurs inquiétudes par rapport à ce qui se passe dans le pays. Ils ont ainsi épinglé la dissolution du parlement, la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature et la modification de la loi relative à l’Instance supérieure indépendante pour les élections. Avec son nouveau décret-loi, le président sabote les prochains rendez-vous électoraux puisqu’il va nommer lui-même les membres de cette instance. En un mot, il a décidé d’être juge et partie et tout le monde doit se taire, sous peine d’être taxé de traître et d’ennemi.

Théoriquement, ces partenaires que la Tunisie sollicite un peu trop ces dix dernières années, ont le droit de manifester leurs inquiétudes.

Mais ceci n’est pas du goût de Kaïs Saïed qui voit en ces inquiétudes des partenaires étrangers une ingérence inacceptable. « De quoi s’inquiètent-ils ? Est-ce que nous avons manifesté nos inquiétudes pour leurs choix ? On a présenté toutes les garanties pour les prochains rendez-vous électoraux, et malgré ça, ils manifestent leurs inquiétudes ! Mais de quoi se mêlent-ils ? »

Le président se permet même de ridiculiser ses partenaires qui veulent lui envoyer des experts. « Non, c’est nous qui pouvons vous envoyer des experts. De vrais experts sincères, pas ces faux sachants de la télé qui se présentent comme de grands savants, alors qu’ils n’ont rien à voir avec la science et avec le peuple ! ».

 

En clair, et si on devait résumer le discours de Kaïs Saïed de ce mercredi 27 mai, le président de la République voit partout des gens qui lui veulent du mal, y compris les partenaires de la Tunisie que son gouvernement sollicite pour obtenir un énième prêt du FMI.

Opposants politiques, magistrats, médias et pays étrangers ne trouvent plus grâce à ses yeux, dès lors qu’ils lui font entendre un son de cloche différent de ce qu’il pense être la vérité.

On pourra rire de la situation ou pousser un soupir. Mais il y a un grand souci, que le président semble occulter, c’est que son gouvernement est en ce moment même en train de négocier avec le FMI.

Or parmi les conditions du FMI pour octroyer le financement du budget de l’Etat est que le gouvernement obtienne une adhésion générale des politiques et des syndicats. Évidemment, le FMI ne donnera rien du tout si les Etats-Unis ou l’Union européenne émettent des réserves.

Avec un président qui se met à dos, gratuitement, toutes ces parties influentes qu’il traite publiquement de tous les noms, on voit mal comment le gouvernement pourrait négocier quoi que ce soit avec quiconque.

 

Raouf Ben Hédi

28/04/2022 | 12:30
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Commentaires
EL OUAFFY Avec Y à la fin
RECTIFICATION COMMENTAIRE PR'?CIT'? .
a posté le 02-05-2022 à 03:19
je défit qui dit que la situation n'est été pas mieux que l instant malgré que le pouvoir été tenu à bras de fer qui répercutait que positivement sur la situation sociale culturelle sécuritaire et moral .
EL OUAFFY AVEC Y A LA FIN
DEPUIS 2011 EST DANS UNE SITUATION PARTICULI'?RE
a posté le 01-05-2022 à 22:12
Il est le moment de faire un constat à propos de ce que en a récolté de la dite révolution .
Une révolution qui avait des buts que de prendre en charge la situation sociale des ( ZOUWAOULA ) .Par le temps on a conclu le but de cette révolution qu elle été d ordre stratégique le changement et le démolition du système de KADAFFI ni plus ni moins
je défit qui dit que la situation été mieux que l instant et selon le concret .
Mais ce n'est pas trop tard d'améliorer la situation à condition d'éviter toute genre de( FITNA )
et de demander l excuse auprès de Ben Ali Z.E un Tunisien qui avait désisté le pouvoir volontairement pour qu'il évitait les rivières de sang .Il savait que s'il prendrait les mesures pour réprimer ces manifestations le résultat c'est leurs frères qui vont subir les conséquences et Ben Ali sera mal apprécier par le monde après bien gérer le pays est qu elle été le mieux classée parmi les pays dotés des gigantesques richesses . mais ce n'est pas la fin du monde les hommes de savoir faire non gérance n'ont pas quitté le pays tel que Rachid Amar un général qu'il n'est pas assoiffé de pouvoir ce lui qui dit que la Tunisie sera protégée que par ( Les Awliya Allah Sallissine ) lors des troubles de 2011 . mais ce que est étonnent la disparition de la scène culturelle d 'un certain grand ecrivain Ben Brik Zoghlami le Keffouwa .
takilas
ce ne sont pascdes ennemis c'est des affamés
a posté le 30-04-2022 à 09:52
Qui depuis 2011 ils ont pensé que la Tunisie est dépourvue d'habitants étude citoyens et que tout est permis pour tout sav'ccaparer au nom de la libertevetvdevla démocratie, s'agissant bien sûr d'une nouvelle forme improvisée de ces malfrats et surtout le clan d3vla secte de nahdha qui a été , pour l'occasion lors de leur sinecure à londres entre 2006vêt 2011 pour de rabbaytrevsur la tunisiens cours de mois janvier 2011 pour s'accaparer d'une colossale rançon (déjà obtenue qui se chiffre par des milliers de milliards) et des biens de l'?tat tunisien, et ce dont on ne sait pour quelle raison, mais la seule explication plausible c'est qu'il s'agissait plutôt d'une escroquerie planifiée d'avance.
Fares
Fait chier
a posté le 29-04-2022 à 00:37
3ouchir et aied et ce chikoul fimoummi fait chier tout le monde. Kanou mahboul qu'il aille voir un toubib. Putain, la coupe est pleine.
Adnène
Lever le pieds de l'accélérateur est indispensable
a posté le 28-04-2022 à 18:59
A chaque discours KS fustige des forces destructrices du pays, alors qu'on n'en voit pas autant attrapé par la justice. A crier au loup trop souvent la population se trouvera saturé de ces alertes continuelles. En plus cet affrontement verbal à l'attention des Etats-Unis et de l'Europe n'augure rien de bon, ils peuvent durcir leurs position et réduire le capital de sympathie envers la Tunisie qui a évidement besoin de leur soutien en cette période cruciale. La retenue diplomatique aurait été mieux.
Mozart
Le discours délirant du président a une logique paranoïaque. Mais le chef de l'Etat est-il lui-même parano?
a posté le 28-04-2022 à 18:34
Le lecteur Nephentes, ci-dessous, a raison de se référer à la paranoïa au sujet du discours de Kaïs Saïed.

La rigidité et l'orgueil du verbe présidentiel s'accompagnent d'une défiance et d'une intolérance empreintes d'agressivité qui se conjugue à son tour avec une susceptibilité qui le fait réagir au quart de tour dès qu'un propos lui donne l'impression de le mettre en péril.

Tout y est pour qualifier à juste titre ses prises de parole de paranoïaques.

L'est-il lui-même, parano ?

Difficile de le dire sans faire appel au docteur Freud, qui désigne la présence de cette pathologie chez quelqu'un qui réclame une compensation à une injustice ressentie dans l'enfance.

Pour en avoir le coeur net, il faudrait coucher le chef de l'Etat sur un divan !
Warrior
un seul ennemi ...........................
a posté le 28-04-2022 à 17:54
celui qui a bafoué la constitution, s'est accaparé tous les pouvoirs, et s'est autoproclamé despote ..... démocratique !!!
GET OUT !!
Chanchan
Ce ne sont pas ennemis mais des chiens qui aboient
a posté le 28-04-2022 à 17:29
Il s'agit plusieurs de chiens errants (comme partout dans les rues de Tunis (élèves par la municipalité par haine et envie à cette ville), mais d'après les vétérinaires, il y en a parmi eux des croisements jamais vu depuis le temps de cro-magon.
Le problème c'est qu'ils espèrent un os à ronger de la part de leur dresseur ghanouchi.
PHARE DE GENE A TA.
K. SAIED DOIT TENDRE LA MAIN A ABIR MOUSSI
a posté le 28-04-2022 à 14:58
K. Saied doit se ressaisir s'il veut éviter le mécontentements qui grondent et qui menacent le pays. L'erreur stratégique commise après le 25 juillet ne se réparerait jamais, il aurait dû après avoir geler le parlement créer tout de suite des conditions favorables à des élections . Le président a gagné l'estime du peuple, mais il l'a immédiatement perdu par manque de vision et de clarté politique. Si ce peuple vaillant garde encore en lui une confiance réellement relative c'est uniquement pour se protéger d'un éventuel retour des islamistes au pouvoir( c'est en quelque sorte un rempart protecteur). Le président doit redescendre sur terre et sonder le c'?ur de ses ouailles qui est proche de l'explosion. Cette dictature douce ne pourrait tenir jusqu'au 17 décembre, ses adversaires politiques se sont aperçus de la faiblesse du président ça leur a donner force et détermination, vent debout ils guettent le moindre faux pas pour passer à l'offensive. L'atmosphère sent de plus en plus le cahot généralisé. K. Saied a pourtant un levier important pour éviter ce retour en arrière en la personne de ABIR MOUSSI, avec cette alliance somme toute logique le chef de l'état rallie à coup sûr les mécontents occidentaux, les bayeurs financiers et assurerait une stabilité politique certaine.
Daoudaou
En effet Abir@PHARE DE GENE A TA. , Moussi i bénéficie d'une popularité sans équivoque et particulière. i
a posté le à 17:33
Mais cela n'est pas étonnant de la part de cette cultivée aux énormes qualités humaines et politiques.
Houcine
J'aimerais comprendre.
a posté le 28-04-2022 à 14:34
De diatribe en diatribe, on finit par mesurer à quel point gît dans la tête et le c'?ur de certains une ranc'?ur, une haine du Président.
Toutefois, ce qui est le plus remarquable est l'absence de toute mise en perspective de ce qui conduit à s'emplir de cette passion triste du rejet.
Par exemple, on pourrait attendre que l'on explique, faits à l'appui, comment le pays en est arrivé à ce point qui fait dire qu'il serait au bord de la banqueroute.
Par exemple, on pourrait imaginer que l'on rapporte les faits, les éléments, qui ont conduit à cela et aussi nommer les responsables.
On pourrait rappeler combien tous ces gens qui parlent de dictature ont mis le pays sous coupe réglée, investi tous les rouages de l'Etat jusqu'à en dénaturer les institutions et les asservir pour qu'on ait une justice partisane, faible devant ces "maîtres" islamistes et sourcilleuse avec le citoyen.
Nous expliquer comment le ministère de l'intérieur qui était devenu l'antre des "frères, où sont cachés des éléments graves, où y aurait été installée une cellule noire afin que n'apparaissent jamais des preuves capables d'accuser les très chers" frères magouilleurs".
On aimerait comprendre comment des assassinats politiques peuvent rester impunis et dont il semble que l'on fasse tout pour empêcher que la vérité soit révélée et les coupables et leurs mandants soient jugés.
Comment il n'est venu à l'idée d'aucun procureur de décider d'investiguer sur les fortunes apparues alors que des sommes importantes d'aides, de dons, disparaissaient comme par enchantement.
Bref, il y a matière, et de la matière.
On semble davantage pressé de faire le procès du Président, dont on s'autorise à dire ce qu'on veut, y compris les insultes, les épithètes les plus incongrues.
Et, tous ces partis si solidaires pour dénigrer, hier les uns contre les autres, ou plutôt chacun pour soi, désormais unis pour un dessein fumeux.
Siys la houlette de ceux qui les ont méprisés, les traitant de "laïcs", qui veut dire kluffars dans la gueule des sataniques islamistes.
Il faut du labeur pour vous suivre.
Vous comprendre, c'est un peu hasardeux.

Pseudo
Investigation
a posté le à 08:06
Je continue à lire Business News mais vraiment je trouve un parti pris flagrant contre le Président qui m'agace. Comme vous, j'aimerais de la vraie investigation, un vrai travail de journalisme pour découvrir, expliquer les grandes ou petites questions qui se posent sur le passé, le présent et le futur de notre pays. Il y a maintenant la liberté d'expression et je ne vois pas de travail en ce sens : l'investigation. Dans tous les médias. Que de la propagande pour l'un ou pour l'autre ! Dommage ...
R.T.
Ce n'est pas vrai .
a posté le 28-04-2022 à 14:12
Il n'est entouré que par des gens filous et des faibles personnalités qui ne savent dire que "oui". Leur seul objectif et souci dans la vie est de profiter au max des situations pas plus ni moins . On n'appele pas ça des ennemis mais des maldes.....; Dommage que la Tunisie est devenus comme ça " nafci -nafci la yerham man mat " ....
SAR
Oui @R.T. " nafci -nafci la yerham man mat "
a posté le à 14:42
ou "Ro7i -Ro7i la Yerham man mèt "
BI
M. Raouf Ben Hédi: 7solnè Bil bèhi !
a posté le 28-04-2022 à 13:38
7solnè fi Be3è M9att3a, Ou rabbi Yoster Tounis Hè Wild 5alti !
Nephentes
Un cas pathologique de plus a Carthage
a posté le 28-04-2022 à 12:43
La paranoïa, du grec "para", à côté et "nous", l'esprit, est définie comme un délire chronique, organisé, structuré, logique dans son développement, comportant un sentiment de persécution auquel le malade adhère totalement, mais n'altérant pas ses capacités intellectuelles.

"Le paranoïaque n'est pas accessible au raisonnement et est convaincu de la véracité de ses interprétations, explique le docteur Guillaume Fond, psychiatre. L'individu paranoïaque pense qu'une menace plane sur sa personne et interprète de nombreux signes comme en étant la preuve".

Une personnalité paranoïaque se definit comme un "état de méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées de façon malveillante,. Les personnalités paranoïaques se caractérisent par une surestimation pathologique d'elles-mêmes, une susceptibilité démesurée associée à une méfiance extrême à l'égard des autres, un jugement faussé, une absence d'autocritique et un certain autoritarisme".

Cette personnalité se développe dès la fin de l'adolescence et peut rester souple, n'altérant pas le fonctionnement de la personne. Certains chefs d'entreprise ou représentants politiques ont des personnalités paranoïaques qui leur ont permis de parvenir à leurs postes.

AN
Paranoia !
a posté le à 15:22
"Mon médecin pense que je suis paranoïaque. Je demande ...
... je me demande maintenant à qui il a encore raconté tout ça".
Zenobie
Un cas pathologique à Carthage
a posté le à 15:13
KS est effectivement un grand paranoïaque, cela se voit depuis fort longtemps.
Bourguiba était une grand maniaco-dépressif qui a sombré dans la démence sénile à la fin de sa vie politique... mais, avec KS, les Tunisiens ont franchi un cap car la dépression se soigne, pas la paranoïa.