La figure de l’extrême droite française, fondateur et ancien président du Front national, Jean-Marie Le Pen, est décédé mardi 7 janvier 2025, annoncent les médias français.
L’homme politique sulfureux, aux positions et déclarations antisémites et racistes restées dans les annales, s’est éteint à 96 ans.
Il a brigué la présidence de la République à cinq reprises et s’est hissé à la stupeur quasi-générale au second tour du scrutin de 2002 face à Jacques Chirac qui l’emporte grâce à la mobilisation du Front républicain.
Sa fille, l’avocate Marine Le Pen lui succède à la tête du Front national en 2011 dont il devient président d'honneur. Il est exclu du parti en 2015 qui prendra trois ans plus tard le nom de Rassemblement national.
Portrait
Tribun hors-pair, provocateur sulfureux obsédé par l'immigration et les juifs, patriarche contrarié par les siens, Jean-Marie Le Pen, décédé mardi à l'âge de 96 ans, a sorti l'extrême droite française de sa marginalité au cours d'une carrière politique qui a marqué la Ve République.
Le "Menhir" n'a jamais exprimé aucun regret pour ses dérapages, contrôlés ou non, répétés souvent, qui lui ont valu plusieurs condamnations en justice : des chambres à gaz « point de détail de l'histoire », à « l'inégalité des races » (1996), en passant par l'Occupation allemande « pas particulièrement inhumaine » (2005) ou l'agression physique d'une adversaire socialiste (1997). « Je vais te faire courir, moi, tu vas voir, rouquin... Pédé ! », s'en était-il encore pris à un militant hostile.
Éternel provocateur et défricheur des extrêmes droites européennes, Le Pen voulait-il vraiment le pouvoir ? « On ne me l'a jamais apporté sur un plateau », se victimisait-il.
Mais « au fond de lui, il ne voulait pas gouverner », croit surtout savoir le journaliste Serge Moati qui a suivi « le diable de la République » pendant 25 ans au gré de documentaires et ouvrages.
« Avoir été considéré comme un réprouvé, un exclu, un antisystème, l'a en fait arrangé et lui a donné paradoxalement une popularité qui s'est traduite progressivement dans les urnes », décrypte le réalisateur.
« Un Front (national, ndlr) gentil, ça n'intéresse personne », résumait Le Pen, en ironisant : « avant le 2,2 millions d'électeurs; après, 4,4 millions ».
"Fout-la-merde magnifique"
Le plus emblématique de ses succès restera inachevé. Le 21 avril 2002, à 73 ans et pour sa quatrième candidature à l'Élysée, il crée la surprise en se qualifiant pour le second tour de l'élection.
Le triomphe a son revers : pendant quinze jours, des millions de personnes défilent contre le racisme et son incarnation politique. Surtout, Jean-Marie Le Pen permet la réélection facile de son ennemi juré Jacques Chirac.
Reste qu'au fil de soixante ans de carrière et cinq présidentielles, Le Pen a réveillé une extrême droite française jusqu'alors disqualifiée par la Collaboration.
Né le 20 juin 1928, à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), le Breton devient pupille de la Nation à 14 ans quand son père, patron pêcheur, meurt en mer en sautant sur une mine.
A Paris, l'étudiant en droit, fort en gueule et bagarreur, privilégie l'activisme aux études. Il en garde des amitiés bigarrées, du député italien radical Marco Pannella au cinéaste de la Nouvelle Vague Claude Chabrol, engagé à gauche, et qui verra dans le tribun un « fout-la-merde magnifique ».
Le Pen s'engage ensuite en Indochine, où il se lie avec une future légende du cinéma, Alain Delon. De retour à Paris, il devient en 1956, à 27 ans, benjamin de l'Assemblée nationale sur les listes poujadistes, dans une IVe République déclinante. Puis il repart, en Algérie cette fois, où il sera accusé de tortures - ce qu'il conteste.
Anticommuniste viscéral, M. Le Pen dirige en 1965 la campagne présidentielle de l'avocat d'extrême droite Jean-Louis Tixier-Vignancour puis est désigné en 1972 à la tête d'un nouveau parti qui réunit des néofascistes : le Front national.
Le Pen, une marionnette d'Ordre nouveau, ce groupuscule qui cherchait une « façade » respectable en la personne de cet ancien parlementaire ? Peut-être.
Mais le tribun, le visage barré d'un bandeau après la perte d'un œil lors d'un accident domestique, se montre stratège et finit par s'imposer comme leader de droit et de fait de cette machine électorale. Et lui choisit le même emblème que celui du MSI, le parti italien resté fidèle à Mussolini : une flamme tricolore.
"J'assume tout"
Premiers succès dès les municipales 1983, et un thème favori répété à l'envi : « Un million de chômeurs, c'est un million d'immigrés en trop ».
L'année suivante, il frôle les 11% aux élections européennes - aidé, déplore la droite, par le président socialiste François Mitterrand qui lui a fait ouvrir grand les portes des studios de télévision lors de la campagne.
Les slogans s'enchaînent : « Les Français d'abord », puis « Le Pen, le peuple », lui qui est devenu millionnaire après avoir hérité en 1976, notamment d'un hôtel particulier dans le prolongement des beaux quartiers parisiens.
Mais à côté des splendeurs - 15% aux présidentielles de 1988 et 1995 -, celui qui gère le FN comme « une boutique familiale » et sa famille comme une entreprise politique, doit essuyer les misères des divisions.
A la fin des années 80, son orgueil est mis à mal lorsque son épouse et mère de ses trois filles le quitte brutalement avant de poser nue dans le magazine Playboy - la France antilepéniste persifle.
Dix ans plus tard, alors que le dauphin Bruno Mégret tente en vain de prendre le parti, Le Pen renie en direct au 20H de TF1 la fille promise à l'héritage politique, Marie-Caroline. Sa faute ? Avoir suivi son mégretiste de mari.
C'est finalement la benjamine de la fratrie, Marine, qui est désignée pour reprendre le flambeau.
Devenue présidente du FN en 2011, Le Pen fille se veut loyale : « Je prends l'ensemble de l'histoire de mon parti et j'assume tout ».
« Durafour... crématoire »
Le passif est pourtant lourd, Le Pen père ayant notamment montré tout au long de sa carrière une obsession pour les juifs. En 1958, il avait pointé à l'endroit de l'ancien chef du gouvernement Pierre Mendès France « un certain nombre de répulsions patriotiques et presque physiques ».
Condamné à la fin des années 60 pour apologie de crime de guerre après avoir édité un disque de chants du IIIe Reich, c'est en 1987 qu'il compare pour la première fois la Shoah à « un détail de l'Histoire ». Un an plus tard, il ose un jeu de mot avec le nom du ministre Michel Durafour, « ...crématoire ! ».
« Un certain nombre de juifs considèrent qu'ils ont une immunité qui est liée à ce trait et que les autres leur doivent en quelque sorte une révérence, certains même une prosternation particulière », déplore-t-il en 1991.
Dans ses Mémoires, il enfonce : « L'antisémitisme garantit l'homogénéité du groupe juif, les sionistes le savent ».
Mais lorsqu'en 2015, Jean-Marie Le Pen promet une prochaine « fournée » à Patrick Bruel, Marine Le Pen estime que le « président d'honneur » du Front national va à l'encontre de la stratégie de dédiabolisation du parti.
Car la « lepénisation des esprits » trouve ses limites : certes, le Menhir s'est imposé dans le paysage politique français et a ouvert la voie à l'essor de mouvements nationalistes et populistes en Europe. Mais ses outrances l'ont inexorablement marginalisé, empêchant toute alliance, tant dans l'Hexagone qu'au Parlement de Strasbourg.
La fille chérie exclut finalement son père du mouvement qu'il avait fondé quarante-trois ans plus tôt - aux côtés d'un ancien Waffen-SS, Pierre Bousquet - puis renomme le parti en Rassemblement national.
"Un suicide", commente Le Pen, en fustigeant les purges contre les éléments les plus radicaux du mouvement, lui qui avait théorisé le rassemblement de toutes les extrêmes droites, des catholiques traditionalistes aux néo-païens, nostalgiques de Vichy voire néo-nazis compris.
La guerre familiale, dûment mise en scène devant médias et tribunaux, s'estompe au fil des années. Même avec l'ex-femme, à nouveau logée dans l'ancienne demeure conjugale, ou Marion Maréchal, la petite-fille qui avait défié son autorité en refusant de concourir de nouveau aux législatives de 2017 : toutes sont pardonnées.
"Vacarme continuel"
Depuis son bureau du manoir de Montretout ou, de plus en plus souvent, du domicile de sa nouvelle épouse, Jany, à Rueil-Malmaison, à l'ouest de Paris, Jean-Marie Le Pen recevait ces dernières années à tour de bras. Entre deux chansons fredonnées, il avait laissé entendre qu'il voterait pour Eric Zemmour à la présidentielle de 2022.
Un malaise cardiaque survenu un an plus tard l'avait contraint à renoncer aux mondanités. A partir de février 2024, ses trois filles Marie-Caroline, Yann et Marine avaient été désignées pour gérer ses affaires courantes, dans le cadre d'une protection juridique proche de la tutelle.
Alors que le RN triomphait aux élections européennes en juin de la même année, une providentielle dissolution laissait entrevoir la possibilité que sa fille Marine emmène l'extrême droite au pouvoir, un rêve auquel il s'était finalement mis à croire mais qui s'est encore fracassé sur un "front républicain".
La défaite accompagnait un inexorable déclin de la santé du Menhir : « insuffisance cardiaque », « profonde détérioration de ses capacités physiques et psychologiques », avaient recensé des experts appelés à déterminer s'il pouvait comparaître au « maxi-procès » du Front national dans l'affaire des assistants des eurodéputés lepénistes.
« Aucune conscience du but, du sens et de la portée de cette audience », avaient encore conclu les médecins, laissant seuls Marine Le Pen et vingt-quatre autres figures du parti répondre d'un vaste système présumé de détournement de fonds européen au profit de la formation.
Pour ses obsèques, Jean-Marie Le Pen avait exigé « le concerto en ré majeur pour violon et orchestre de Beethoven ». A l'époque de sa première interprétation, il y a deux siècles, les critiques y avaient vu une œuvre manquant « de cohérence », « un amoncellement touffu et décousu d'idées » et « un vacarme continuel ».
Portrait par Paul AUBRIAT pour AFP
une autre condamnation pour avoir dit : la shoah "un détail de l'histoire"
en réalité elle n'a jamais existé. c'est le business de la shaoh, qui permet de tuer la libre expression en France ( loi Gayssot), forcer Allemagne à payer des miliards à isra-HELL pour crimes imaginaires ... et et .... massacrer les Palestinos et voler leur terre.
Soahhhh le plus gros mensonge de l'histoire.
tous ceux qui ont cru à la shoahhhhh , finiront couverts de honte.
send them to HELL with isra-HELL.
Viva Palestina.
Mais tout criminel qu'il soit JM Le Pen a contribué de manière décisive à éveiller les consciences des Français de souche face à la mondialisation et à la créolisation, et par conséquent à leur disparition inéluctable en tant qu'ethnie historique au cours de ce siècle
Je ne suis pas un Français de souche mais j'ai été élevé parmi eux
Je leur reconnais le droit absolu à préserver leur identité et leur patrimoine face à une tentative indiscutable d'avilissement de leur héritage et de leur civilisation.
JM Le Pen fut , dans sa haine, son véritable suprémacisme et son rejet des Noirs et des Maghrébins, probablement le précurseur de l'opération de sauvetage des populations occidentales autochtones et qui va marquer l'Histoire de ce 21 eme siècle.
Pour le meilleur comme pour le pire
Je crains qu'il ne soit trop tard,pure question d'arithmétique:
Lorsqu'on veut jouer à l'Empire et qu'après avoir conquis et colonisé des territoires x fois plus grands que nous et qu'au lieu d'y installer une colonie de peuplement,on leur apprend notre langue et nos coutumes et qu'une fois l'Empire déchu,on les invite à leur tour chez nous leur offrant toutes les facilités et qu'à l'inverse eux se reproduisent chez nous comme des lapins tout en conservant leurs traditions tandis que les souchiens ne font plus de gosses,pire encore qu'ils encouragent le mariage pour tous,eh bien pure question d'arithmétique ,le COMPTE n'y est plus:!
Pas besoin de sortir de Polytechnique pour le comprendre,un enfant de 5 ans pourrait vous l'expliquer.
On vient même défendre le diable
Bientôt une défense va voir le jour dans ce monde : Hitler était un ange, Le Pen était son fils et netanyahou son petit fils......
L'humanité est vraiment en déclin
Alors SVP une minute de silence à leurs âmes. .
Aaaaaamen !
Confondre Le Pen et Netanyahou risque de réveiller Le Pen pour venir vous insulter
Du moment qu'on fait appel à la haine, à la torture d'un etre humain, n'importe lequel et et peu importe ces origines et on les soutien, c'est qu'on n'est pas loin de leurs espèces
Est-ce raisonnable chez les musulmans ?
Des témoignages des Algériens qui avaient été torturés par ce Monsieur ça donne la chair de poule.
Un vieillard pleurait amèrement en trembletant, tellement la torture qu'il avait subi c'était traumatisante.
Ainsi va la vie un qui meurt et un qui née plus atroces que l'autre (gaza)
Au lieu de vous lamenter sur le passé vous auriez mieux fait de ne pas sceller et applaudir la colonisation lorsqu'elle avait frappé à vos portes en 2011.
Les peuples bêtes peuvent sortie de l'X ou de Harvard, ils restent bêtes;
Harvard y Merci
Cet homme qui a cree une PME familiale qui ne sait servi de la politique que pour s enrichir via les heritages de ces membres , des subventions ... il a servi d idiot utile pour mitterand et les juifs sionistes .
Jusqu a l une de ces filles soit avec un agent du mossad qui a enfanté une fille de .... appelez Marion maréchal une raciste pire que lui . Elle en a meme gardé l oeil qui bigle
Précisons, pour les plus jeunes, que la Waffen-SS était la section militaire du parti national-socialiste, directement soumis aux ordres du Führer Adolf Hitler. C'est elle qui a perpétré le massacre d'Oradour-sur-Glane en 1944. Cette organisation a été jugée collectivement comme responsable des crimes contre l'humanité au procès de Nuremberg après la guerre, par les juges de la France, du Royaume Uni, de l'Union des Républiques socialistes et soviétiques et des Etats-Unis d'Amérique.
10Lors du changement de nom de Front National en Rassemblement National, aucun dirigeant n'a renié ce passé ni exigé aucun droit d'inventaire. Jean-Marie Le Pen, condamné pour incitation à la haine raciale en févier 2005, était alors présent. Tout comme son père jadis, Marine Le Pen s'est affiché en 2012 avec des néonazis lors d'un bal à Vienne en Autriche, le pays natal d'Adolf Hitler, le Korporationsball. Ces regroupements d'anciens nazis ne doivent pas susciter qu'un simple haussement d'épaules, ainsi que l'écrivait Adorno en 1967, car ils sont désormais présents sur le plan immédiatement politique. La cicatrice s'ouvre au sein des démocraties .
Lorsque les américains allaient tuer, massacrer, détruire, cet Homme s'était rendu en Irak pour s'ériger contre cette guerre criminelle. L'autre Grand Français qui s'était opposé à ce massacre fut Chevênement.
Le Pen fut reçu par Saddam, car les grands hommes se reconnaissent et s'apprécient. Les incultes à la mémoire d'une mouche, ces insignifiants qui pullulent parmi les intervenants de ce valeureux journal, sont poussières devant la Grandeur de cet Homme.
Alors les minables qui lui jettent aujourd'hui la pierre pour "racisme" feraient mieux de ne pas détruire leur propre pays, comme ils le firent en 2011. Et surtout, ils feraient bien d'y rester.
Les vrais racistes ce sont eux; il suffit de voir ce qu'ils avaient écrit sur les pauvres africains qui cherchent refuge chez nous. Si Le Pen avait demandé le millième de ce que demande le tunisien moyen contre les sub-sahariens, il serait peut-être en procès tous les jours de l'années.
Autre chose pour les incultes (tunisiens, mais aussi français): J'entends cà et là dans les médias français que Le Pen est Gaulliste. Très drôle comme blague! Il a toujours été contre De Gaulle.
Deux Grand Hommes comme sait en créer la France. Un troisième peu inconnu au bataillon, fera parler de lui, un pro-Poutine, pro-Palestine (sans cinéma comme Mélanchon), il s'agit de Asselineau. Souvenez-vous en!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant contre les rétrogrades arrivistes qui ont détruit leur Pays,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
J ai eté informé par mon fils depuis le mexique j ai repondu "paix à son ame c est un grand homme et un vrai patriote francais"
Quand on a vecu 96 ans ,une vie pleine et en avance sur ses compatriotes;l histoire va le mettre en haut de l affiche car il avait raison avant tous
j ai mis du temps pour le comprendre et comprendre sa bataille de patriote
La france a bousillé son destin en 2002 en l ecartant de l elysée et ce n est pas sa fille qui va le remplacer
Inchallah on se rencontre un jour. Si BN peut nous rendre ce service, je lui serait très reconnaissant.
Sincères Amitiés,
Ton frère en Résistance
Ca fait des décennies que je n'y suis pas allé, ça sera l'occasion
Le Pen se vantait de ses exploits de minable, pervers et vantard, nous le vîmes tenter de courser un gamin dans les rues de Mantes la Jolie et menacer la candidate socialiste coincée dans un recoin.....
Pour le reste, c'était un chauvin, à la manière de toute pièce rapportée, comme on dit, élevé à la"dignité de français", il y trouva les circonstances favorables à un projet d'émancipation qui somme toute fera de lui cet étrange, singulier et original. Pas comme les autres.
Le petit Jean-Marie, pupille de la nation, orphelin qui croyait devenir le père de la nation.
Il aura tout fait pour y parvenir, sans succès.
Sa réussite, en revanche, est claire si l'on observe l'état d'esprit général et comment la xénophobie et la haine des musulmans se portent avec chic.....
Les colonnes de BN en témoignent.
Le Pen était abominable et détestable. Cet homme n'ouvrait sa bouche que pour insulter, dénigrer, se moquer ou parler de complots et de sociétés secrètes. Un raciste de m... Il s'est retourné contre son lieutenant Bruno Maigret en 1995 et il s'est retourné contre sa propre fille il y a quelques années. Il adorait jouer à la victime comme se présenter comme étant la victime de la presse.
Des Le Pen, il y en a dans tous les pays, la Tunisie comprise. Espérons qu'ils ne vont pas tous atteindre 96 ans. Moins il y en a, mieux le monde se portera.
Le noyau du soleil doit fêter cette merveilleuse journée!!!