Régulièrement, Ramla Dahmani Accent témoigne sur les réseaux sociaux des conditions de détention de sa sœur la prisonnière d’opinion Sonia Dahmani. Comme pour les précédents, Business News relaie ces témoignages afin que l’on n’oublie pas le sort réservé par le pouvoir à l’avocate et chroniqueuse, objet d’un véritable harcèlement derrière les barreaux. Voici sa dernière publication publiée lundi 6 janvier 2025 en début de soirée.
Aujourd’hui, Mehdi a réussi à me faire pleurer. Moi qui ne pleure jamais, j’ai craqué. Il m’a dit que Sonia lui avait confié que je lui manquais. Pas juste un petit manque, pas juste une absence qu’on ressent de loin. Non, un manque qui lui déchire le cœur, un vide qui lui pèse chaque jour un peu plus. Elle lui a dit que ne plus me voir, ne plus m’avoir près d’elle était une vraie déchirure. Et moi, moi qui me force à tenir, moi qui me répète chaque jour qu’il faut encaisser, qu’il faut avancer, j’ai senti tout s’écrouler. Parce que cette douleur, je la ressens aussi, ce manque, chaque jour, chaque minute, chaque seconde. Son rire me manque, sa voix me manque, sa présence me manque, son odeur me manque. Cette douleur résonne en moi, m’écrase, m’empêche de respirer. Moi aussi, je souffre. Du silence. De ce gouffre immense laissé par son absence. Ne plus pouvoir lui parler, ne plus pouvoir lui raconter mes joies, mes peines, ne plus pouvoir rire avec elle, ne plus pouvoir me plaindre, me confier. C’est un arrachement, un manque que rien ne comble.
Mais l’absence n’est pas la seule torture qu’on lui inflige. Après le froid, après la faim, après l’isolement, voilà qu’ils ont ajouté la soif. Dix jours. Cela fait dix jours que le magasin qui leur sert à se nourrir le week-end quand il n’y a pas le couffin de la famille « la cantina » comme ils l’appellent est fermée pour “inventaire”. Dix jours où elles n’ont rien pu acheter. Dix jours qu’elles boivent à petites gorgées pour économiser les bouteilles qui leur restent. Parce que l’eau du robinet est imbuvable, rouillée, toxique. Parce que les familles n’ont pas le droit de leur fournir de liquide. Alors elles restent là, la bouche sèche, la gorge en feu, jusqu’à ce que le vertige les prenne. Vendredi, une gardienne qui a encore un peu d’humanité, , a vu sa détresse et a pris sur elle pour lui donner un pack d’eau.. un pack qu’elle a partagée avec ses codétenues, parce que dans cet enfer, tout se partage : la douleur, l’injustice, la faim, la soif, la nourriture, l’eau. la moindre once de survie se divise.
Et elles n’ont pas que soif. Elles ont faim. La faim est une compagne fidèle. Puisque pour cause d’inventaire elles ne peuvent plus rien acheter, elles n’ont plus rien. Ce week-end, leur seule nourriture a été de l’huile. Juste de l’huile. De l’huile au petit déjeuner, de l’huile au déjeuner, de l’huile au dîner. Elles avalent ce qu’elles peuvent, pas pour se nourrir, juste pour tromper leur faim. Et ceux qui prétendent administrer cette prison vivent sans contraintes. Ils mangent à leur faim, boivent à leur soif, remplissent leurs caddies où bon leur semble. Le soir, ils rentrent chez eux, ouvrent leur frigo, et décident. Dans l’enfer de Sonia, il n’y a ni choix ni alternatives. Pas d’ailleurs où aller, pas d’autre solution que d’endurer. Il n’y a que la privation, l’assèchement, l’oubli. La direction semble oublier que l’administration a l’obligation de fournir de l’eau et de la nourriture. Ce n’est pas un inventaire, c’est une punition par la faim, une condamnation à mort par la soif.
Et comme si ce n’était pas suffisant, Sonia est malade. Depuis des jours elle est en insuffisance respiratoire. Pas un simple essoufflement, pas une gêne passagère. Elle suffoque, elle peine à trouver l’air, elle lutte pour respirer. Elle a demandé à voir un médecin. On lui a répondu qu’il était absent. Quinze jours qu’il est absent. Vendredi, ils ont enfin consenti à la faire consulter, quand son état s’est aggravé. Le médecin lui a donné un traitement, en précisant qu’elle devait le prendre immédiatement. Nous sommes lundi. Elle n’a toujours pas reçu ses médicaments. Est-ce qu’ils veulent la tuer ? Est-ce que c’est ça, le plan ? Qu’elle s’éteigne à petit feu, étouffée par le froid, la faim, la soif et maintenant la maladie ?
Au milieu de toute cette horreur, il y a quand même une chose qui m’a soulagée. J’avais cru que Sonia avait attrapé la gale et des poux. J’avais mal compris, parce que je ne la vois plus, que je ne peux plus lui poser directement la question. Je vis à travers les bribes d’informations qu’on me rapporte. On m’a parlé de gale, de poux, de femmes qui se grattent, de corps abîmés, et j’ai imaginé le pire. Pendant quinze jours, j’ai été rongée par cette idée. Aujourd’hui, Mehdi lui a demandé si elle allait mieux et elle lui a répondu que non, qu’elle avait échappé à ça contrairement à beaucoup d’autres femmes. Dieu merci. Au moins une chose qui me rassure. Je ne veux pas rapporter de fausses informations. Sonia souffre déjà assez. Je ne veux pas en rajouter, et surtout, je ne veux pas donner du grain à moudre à ceux qui se réjouissent de son malheur. La vérité est déjà insupportable comme ça. Je ne veux pas qu’on puisse dire que j’exagère, que je mens, que j’en fais trop.
Et pourtant, malgré tout ça, malgré l’isolement, malgré la radio coupée, malgré les journaux confisqués, malgré les lettres volées, malgré le froid qui ronge les os et la faim qui ronge le ventre, malgré la soif, Sonia avait le sourire aujourd’hui. Un immense sourire. Elle a dit à Mehdi et à papa qu’elle allait bien. Qu’on ne devait pas s’inquiéter. Qu’elle riait, qu’elle plaisantait, qu’elle était debout, forte, prête à affronter son procès. Mehdi m’a raconté que papa est sorti en disant : “Mais quelle fille, mais quelle femme incroyable, mais qu’est-ce que je suis fier d’elle.”
Ces mots m’ont fait un bien fou. Je suis tellement heureuse que papa ait pu voir au-delà de sa douleur, au-delà de sa peine, au-delà des barreaux, au-delà des murs de cette prison, pour voir Sonia telle qu’elle est : un roc, une femme exceptionnelle, une force inébranlable.
Maintenant, il ne nous reste qu’à prier. À prier pour que le 10 janvier, le ou la juge qui tiendra son sort entre ses mains trouve en lui la force d’être juste. De mettre la loi avant la peur. Le droit avant la soumission. La justice avant les ordres. Qu’il respecte le serment qu’il a prêté et non les instructions qu’on lui dicte. Qu’il soit un vrai juge et qu’il rende un jugement digne, juste et libre. Qu’il ait le courage d’arrêter cette mascarade. De libérer Sonia. De dire : “Assez de souffrance.” Que cette torture cesse enfin.
Ramla Dahmani Accent
Un jour, l'Histoire révélera tout : tout ce qu'ils ont enduré, tout ce qui leur a été arraché. Et le monde devra faire face à cette vérité. Sonia & co, vous êtes dans nos prières. '
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Mr. Kais Saied (KS) est ébloui et persuadé de l'intelligence et de la perfection de tout ce qu'il fait et dit. En effet, s'il envoie Mr, Zammel à 35 ans d'emprisonnement et Madame Siwar Bargaoui, membre de la campagne présidentielle de Ayachi Zammel à 12 ans d'emprisonnement, ceci n'est pas par méchanceté mais par naïveté que sa loi électorale est un chef-d'oeuvre qu'il fraudait protéger par des emprisonnements irraisonnables --> alors que sa loi électorale est inutilisable dans le contexte socio-culturel tunisien, et la preuve pour cela est la récente élection présidentielle qui était un grand désastre socio-politique. Pourquoi? Voir mes commentaires ci-dessous afin de comprendre le pourquoi.
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Il faudrait sans doute queu KS fasse un réel effort de communication sur ses attentes, et qu'il ouvre un débat sur des sujets clefs concernant la Tunisie et tous les Tunisiens.
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Au lieu de cela KS conserve son despotisme, décide seul malgré les apparences, ne délègue que les tâches de mise en oeuvre sans discuter avec l'opposition ou même avec son équipe des enjeux stratégiques de la Tunisie.
Mr. Kais Said (KS) s'attaque aux corrompus et aux non corrompus. Ils emprisonne les corrompus et les non corrompus. Il refuse de voir les points faibles de sa constitution et de sa loi électorale écrite en solo pour la Tunisie et par lui-même. Il est tellement convaincu de la perfection de sa loi électorale qu'il envoie Monsieur Zammel pour 35 ans en prison et Madame Siwar Bargaoui pour 12 ans en prison.
Mr. Kais Saied refuse de se remettre en question et de se faire ainsi une réévaluation cognitive qui consiste à se poser des questions, de réfléchir sur sa manière de penser, d'agir, de ressentir et se questionner soi-même sur l'intérêt d'optimiser sa façon de voir les choses
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- En remettant en question ses propres comportements, attitudes et réactions, on peut être plus conscients de l'impact que nous avons sur les autres. Cela peut conduire à une communication plus authentique, à une meilleure compréhension mutuelle et à des relations plus saines avec les autres.
- remettre en question ses schémas de pensée et comportements habituels favorise le développement d'une plus grande flexibilité mentale. Cela rend plus ouvert au changement, plus capable de s'adapter aux nouvelles situations et plus prédisposé à apprendre de nouvelles choses.
- La remise en question permet de prendre ses responsabilités. Examiner ses actes et ses choix, permet de prendre conscience de notre pouvoir personnel et de notre capacité à influencer positivement notre vie et notre environnement socio-culturel.
- Mr. Zammel et Madame Siwar Bargaoui sont plutôt victimes de la loi électorale écrite par Mr. Kais Saied (KS) qu'il prend par erreur pour quelque chose de sacrée, et de parfait. Il est temps que KS mette sa loi électorale et sa constitution en question afin que nous puissions les optimiser pour une Tunisie meilleure.
c) La liberté d'expression
Laisser autrui exprimer clairement son opinion, c'est laisser la possibilité de se voir contredit. Accepter la contradiction, c'est accepter de voir ses représentations du monde bouleversées. C'est accepter un moment de doute profond, de dissonance cognitive --> un moment où on doute, entre ses convictions enracinées et les justifications/opinions adverses. Et pour tout cela il faut avoir un minimum de bon sens...
La liberté d'expression est la condition première afin de s'ouvrir à de nouveaux horizons et penser ainsi de temps en temps contre soi-même. Si celle-ci est restreinte, la Tunisie socio-économique, -politique et -culturelle n'aurait d'autre choix que de sombrer dans le néant et l'injustice. Il ne pourrait y avoir de progrès dans les domaines de la science, du droit ou de la politique sans une libre discussion des opinions.
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Fazit: Liberté Pour Madame Sonia Dahmani et pour tous les victimes de la limitation de la liberté d'expression --> Toute personne a droit à la liberté d'expression qui comprend celle d'opinion et celle de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
--> les Tunisiens par leur culture et éducation refusent de signer à la légère à quelqu'un qui frappe à leur porte pour quoi que ce soit.
--> Les 10000 parrainages sont une mission impossible qu'aucun candidat n'a pu passer sain et sauf à l'exception de Mr. Kais Said par sa position du Président de la République.
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-- l'actuelle loi électorale aurait dû partir du contexte et de la mentalité du Tunisien. Franchement, moi-même je refuse de signer un formulaire de parrainage. En effet, je suis extrêmement avare avec ma signature (c'est mon éducation).
- Certes Mr. Kais Saied a pu facilement collecter le double des parrainages exigés, il aurait pu avoir des millions de parrainages par sa position de Président de la République. En effet, qui oserait ne pas signer un parrainage à l'homme le plus puissant de la Tunisie qui dispose encore d'un pourvoir absolu?
- encore un point négatif de l'actuelle loi électorale --> dans une dictature sont rares ceux qui ont le courage afin de signer un parrainage pour un candidat adversaire du dictateur en place tout en donnant ses cordonnées (son adresse) et le numéro de sa carte d'identité.
- Encore un point négatif de l'actuelle loi électorale, je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] [de ces faits], chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné" voir le lien web ***
- Liberté pour Madame Sonya Dahmani, en effet elle n'a fait de mal à personne et elle n'a insulté personne. Elle a cru par naïveté en la liberté d'expression et elle est victime d'une faute de justice...
- Liberté pour Mr. Zammel. En effet il est victime d'une loi électorale qu'il faudrait optimiser --> En absence de Cour Suprême en Tunisie, on déforme injustement la loi électorale (amendement) à quelques jours du vote de l'élection présidentielle --> après quoi un emprisonnement de 35 ans de Mr. Zammel pour un pourcentage de quelques poussières des parrainages apparemment non justifiés sur 10000 --> Il y a une contradiction qui fait trop de mal à mon intelligence: je vois un mauvais fonctionnement de notre justice.
--> Qu'est ce qui est plus grave: la déformation de la loi à quelques jours du vote ou quelques poussières de parrainages apparemment non justifiés sur 10000 --> Certes, la déformation de la loi à quelques jours du vote est extrêmement impardonnable...
--> Je donne un exemple d'un pays qui respecte ses lois: il y avait en Allemagne un projet afin de classifier le parti politique allemand AFD en tant que parti-politique antidémocratique. --> ce projet a été reporté à cause de l'élection législative anticipée dans 4 mois. En effet, l'institution fédérale pour la protection de la Constitution (Bundesverfassungsschutz) ne permet pas de pareilles modifications à 4 mois de l'élection législative. Alors qu'en Tunisie, on viole notre loi électorale à quelques jours de l'élection présidentielle...
- Liberté pour Madame Siwar Bargaoui, membre de la campagne présidentielle de Ayachi Zammel qui a été condamnée à 12 ans de prison --> du n'importe quoi et de la folie.
- etc., etc., etc.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Je m'explique:
A) Si j'étais à la place de Mr. Kais Saied, je n'aurais pas opté pour un régime Présidentiel, j'aurais gardé un régime parlementaire tout en améliorant notre loi électorale d'avant le 25 juillet 2021 (d'avant le putsch). En effet, il ne manquait à notre loi électorale d'avant le 25 juillet 2021 que quelques retouches, que je résume comme suit:
-a1) redonner aux partis-politiques le poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022:
a1.1) tout en gardant les emprisonnements sévères pour les partis-politiques qui achètent les voix des électeurs
a1.2) tout en interdisant le passage des députés d'un parti-politique à un autre (non au tourisme parlementaire). Exemple: certains députés de Nidaa Tounes que l'on a votés à l'élection législative de 2014 et 2019 sont passés à la concurrence Ennahdha afin de lui garantir la majorité absolue'?'
a1.3) pas besoin de parrainages à l'élection législative, il faut redonner aux partis-politiques le poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022
- a2) les parti-politiques qui ont des sièges à notre parlement devraient avoir le droit de proposer un candidat à l'élection présidentielle qui devrait être membre de leur parti politique sans cette histoire de parrainage.
- a3) Le Président de la République sortant ne devrait pas collecter des parrainages à l'élection présidentielle puisqu'il pourrait en avoir des millions par sa position à la tête de l'Etat tunisien.
- a4) Les parrainages à l'élection présidentielle sont réservés aux indépendants sans appartenance à un parti-politique et aux partis-politiques sans sièges au parlement. --> le filtre des candidats possibles à l'élection présidentielle se fait déjà lors de l'élection législative.
-a5) Le vote des Tunisiens résidents à l'étranger, à l'exemple de l'élection législative de 2019:
a5.1 ) sur un million de Tunisiens résidents en France seulement 50000 ont voté et bien sûr les partis politiques Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 95% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 10 sièges étaient réservés pour la France
a5.2) En Italie seulement 5800 votants et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 97% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 3 sièges étaient réservés pour l'Italie --
a5.3) Dans les pays arabes le nombre des votants étaient de 6800, et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 98% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
a5.4) Au continent d'Amérique du nord le nombre des votants étaient de 4000 et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 99% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
a5.5) En Allemagne le nombre des votants étaient de 4000 sur 100000 Tunisiens et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 96% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
Fazit des points a5.1 à a5.5:
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- Ennahdha a gagné autour de 17 sièges et Ettayar autour de 12 sièges grâce aux Tunisiens résidents à l'étranger avec un taux de participation inférieur en moyenne à 5% . Pourquoi? Réponse: parce que les partis politiques Ennahdha et Ettayar étaient les seuls à avoir les moyens et les privilèges (sans entrer dans les détails) afin d'avoir des candidats partout sur notre planète terre là où l'on trouve des Tunisiens.
- La même analyse est aussi valide pour l'élection législative de 2014. --> En 2014 le député représentant des Tunisiens résidents en Allemagne a gagné son siège avec 207 voix:)), alors que le nombre de Tunisiens résidents en Allemagne est de 100000.
- Nos élections législatives de 2019 et 2014 n'étaient pas fairs (justes) envers les Tunisiens, envers la Tunisie mais aussi envers 97% des partis politiques qui avaient très peu de financement et pas de privilèges comme ceux d'Ennahdha et Ettayar (sans entrer dans les détails) afin de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions électorales en Tunisie et à l'étranger. Puis le taux de participation des Tunisiens résidents à l'étranger était trop faible et non représentatif.
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Je propose d'avoir au maximum 3 ou 4 représentants pour tous les Tunisiens résidents à l'étranger'?'
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Le Droit est mort.
Les responsables paieront tout cela un jour...mais quand? Désormais, la torture exulte en Tunisie.
Le Droit est mort, tué par celui là même que l'on en croyait incapable.