Vous n'êtes pas plus propres que les autres.
Soyez plus respectueux envers ce pays et ce peuple.
Vous avez participez à sa ruine.
On veut plus entendre parler de vous
Le dirigeant du Front populaire, Jilani Hammami, a réitéré ce matin du mercredi 9 octobre 2019, son appel à dissoudre la nouvelle assemblée.
« Si nous voulons soigner les blessures et les drames du passé, nous devons le faire en étant forts d’institutions à la légitimité indiscutable. Ces élections ont été à 70% achetées moyennant sonnantes et trébuchantes, des gens ont acheté des voix. Je persiste donc à appeler les citoyens à affronter ce parlement qui ne les représente pas… On a profité de la misère des gens, de leurs conditions difficiles pour acheter leurs voix et je ne suis pas le seul à le dire... » a-t-il souligné.
Jilani Hammami a reconnu que la gauche a essuyé une grosse défaite aux législatives. « Nous avons appréhendé ces élections avec l’état d’esprit d’une autre époque. Nous avons perdu beaucoup de temps et avons eu du mal à dépasser les difficultés internes alors qu’il fallait travailler sur le programme et aller sur le terrain… cela en plus du fait que les contextes régional et international ont joué, il y a eu des interventions étrangères, sous différentes formes, cela a sans doute influencé les résultats » a-t-il conclu.
M.B.Z
Le dirigeant du Front populaire, Jilani Hammami, a réitéré ce matin du mercredi 9 octobre 2019, son appel à dissoudre la nouvelle assemblée.
« Si nous voulons soigner les blessures et les drames du passé, nous devons le faire en étant forts d’institutions à la légitimité indiscutable. Ces élections ont été à 70% achetées moyennant sonnantes et trébuchantes, des gens ont acheté des voix. Je persiste donc à appeler les citoyens à affronter ce parlement qui ne les représente pas… On a profité de la misère des gens, de leurs conditions difficiles pour acheter leurs voix et je ne suis pas le seul à le dire... » a-t-il souligné.
Jilani Hammami a reconnu que la gauche a essuyé une grosse défaite aux législatives. « Nous avons appréhendé ces élections avec l’état d’esprit d’une autre époque. Nous avons perdu beaucoup de temps et avons eu du mal à dépasser les difficultés internes alors qu’il fallait travailler sur le programme et aller sur le terrain… cela en plus du fait que les contextes régional et international ont joué, il y a eu des interventions étrangères, sous différentes formes, cela a sans doute influencé les résultats » a-t-il conclu.
M.B.Z