La présidente du PDL, Abir Moussi, a tenu à souligner, lors de son intervention lors de la plénière du samedi 28 novembre 2020, consacrée à la discussion du projet de loi de finances 2021, les inégalités constatées dans les budgets alloués au développement dans les régions.
Abir Moussi a interrogé le chef du gouvernement sur les indicateurs adoptés pour l’allocution des budgets de développement aux différentes régions du pays.
« Pourquoi Béjà et Tozeur par exemple ont bénéficié d’un budget plus faible que d’autres régions ? On dit que le sahel est prospère mais savez-vous que Sousse et Gabès ont le même taux de pauvreté, que Mahdia est plus pauvre que Tataouine, non bien sûr. Les indicateurs de développement que vous présentez sont erronés, il faudrait récolter les données auprès notamment des municipalités et des délégations mais les études ne les englobent pas » a expliqué la députée.
« Soit vous nous présentez un nouveau modèle de développement basé sur des indicateurs sérieux, vous mettez en application le PPP et vous nous présentez le bilan de vos réalisations en faveur des citoyens, ou alors tout ceci est vain et mensonger. Ce budget est alloué dans sa majorité aux rémunérations et celui dédié à l’investissement est dérisoire et encore, il est gonflé » a-t-elle ajouté.
M.B.Z
A part le choix de choisir, il y'a le choix de ne rien choisir, je respecte bien sûr celui qui a choisi son camp.
L'histoire aussi nous a permis de vivre des expériences hélas douloureuses d'où cette méfiance des apparences.
Donc le plus inquiétant, dans cette situation, de ne pas adhérer, d'être considéré automatiquement faire partie de l'autre camp, des indiserables avec des qualifications multiples.
Vous n'êtes pas avec nous donc vous êtes nos ennemis, c'est terrible comme raisonnement.
C'est malheureusement ce ravage créer par ces Politiques, fracturer pour régner.
A mon humble avis, le vrai débat devrait être autour d'un projet fédérateur pour le bien de tous, ce projet tant convoité par le peuple, est totalement absent, le jour où quelqu'un de raisonnable présentera ce projet, on en parlera, pour l'instant on assiste seulement à des querelles pour des intérêts de positionnement.
Nous déplorons cette attitude égoïste alors que le pays sombre dans le chao total.j'espere que le séjour des locataires du Bardo sera écourté pour pouvoir passer à autre chose plus constructive.
L'étude de la Banque Mondiale "The Unfinished Revolution " datant de 2012 est une étude exhaustive de l'état de l'économie du pays. Le chapitre 10 a pour titre "S'attaquer aux disparités régionales"
et la première constatation dans ce chapitre donne une idée du problème
" Près de 56 pourcent de la population et 92 pourcent
de toutes les entreprises industrielles se concentrent en Tunisie à une heure de route des trois plus
grandes villes tunisiennes : Tunis (la capitale), Sfax et Sousse. Ces trois villes côtières sont le centre de
l'activité économique représentant 85 pourcent du PIB du pays (figures 10.1 et 10.2).2
De même, malgré les incitations fiscales et financières généreuses, les entreprises étrangères établies dans les « zones de développement régional » les plus pauvres ne sont que 13 pourcent du total des entreprises étrangères
installées en Tunisie et ne représentent que 16 pourcent des emplois créés pour ces régions. Par
conséquent, les décideurs politiques se font des soucis quant au manque d'opportunités économiques
dans les régions défavorisées (Ministère Tunisien du Développement Régional, 2011).
A titre d'exemple Kairouan est classé parmi les 3 gouvernorats les plus pauvres du pays.
Mais il faut relativiser car le rapport indique "Néanmoins, la concentration de l'activité économique et de la population n'est pas propre à la Tunisie. La moitié de la production mondiale a lieu sur une surface équivalente à 1.5 pourcent de la superficie mondiale"
Il s'agira donc d'entamer des réformes profondes pour corriger les politiques économiques car certaines m'?urs politiques et économiques ont favorisé des lobbies qui s'opposeront à tout changement.
La classe politique doit laisser de coté ses ranc'?urs et ses haines ,éviter de diviser les Tunisiens et prendre conscience de la responsabilité historique qui lui incombe pour le pays délabré qu'ils laisseront aux générations futures .
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Ainsi l'une de ces études de la Banque Mondiale "The Unfinished Revolution" traite de ce probléme. [Chapitre 10 S'attaquer aux disparités régionales]
De par son sérieux et de son patriotisme chronique, elle créa une sorte de microclimat tropicale dans la basse-cour nationale, lieu de villégiature préféré des sommités de la traitrise et de l'imposture.
Depuis, grâce à son inébranlable dévouement et de son "jusqu'au-boutisme", elle génère régulièrement des ouragans et des micro-tornades qui révèlent au peuple, l'extrême fourberie de ceux qui se la coulent douce depuis le coup d'état de 2011.
Par exemple:
Kouwéte Rabi, les abbou² qui étaient dans une imperturbable hibernation depuis leur extraction du terrier dans lequel ils vivaient, sont devenus comme par enchantement, depuis le débarquement de A.Moussi ,aussi bavard que des concierges.
Etc...
Moussi est une femme de principe, et personne à ce jour n'a réussi à la lui faire à l'envers.
La troika avait essayé tous les subterfuges, et Dieu seul connait leur aptitude à ce sport.
Elle fit choux blanc à toutes ses tentatives.
Si à ce jour, quelqu'un pourrait sortir la NATION de l'ornière montée de toutes pièces par les charognards affamés de l'ex-troika, c'est bien elle.
Rabbi maaha.
Faut écouter l'intégralité de l'intervention de AM où elle a parfaitement raison.
Les régions cotières (elle cite Mahdia et Sousse) ne se limitent pas à la plage, corniche etc... les minicipalités et communes y afférents souffrent énormément et elle a attiré l'attention du gouvernement là dessus.
Une occasion pour certains commentateurs connus par leur penchant khwenji et/ou pseudo révolultion pour s'abattre comme des vautours sur AM. Ce n'est pas le contenu qui dérange mais la personne, Ridicule as usual.
@BN: les articles que je poste à partie du portable ne sont plus édités, vous confirmez svp ?
B.N : Vous pouvez très bien poster des commentaires depuis votre appareil mobile nous vous confirmons l'absence d'anomalies à ce niveau, c'est peut-être lié à votre connexion veuillez réessayer. Merci pour votre retour
Trop facile et un peu trop bête.
Se focaliser sur des chiffres ou des constats banales, c'est la preuve de la " paresse" ou l'incapacité mentale à proposer des solutions radicales.
Toutes les régions sont égales dans le droit, la pauvreté, le sous-développement et les inégalités trouvent leurs racines dans l'histoire lointaine, subir plus de cinquante ans de tyrannie et puis dix années d'errance politique ne peut donner que ce spectacle désolant.
On ne peut nier, ni effacer l'histoire d'un rever de main, il en a qui ont la mémoire courte.
L'heure n'est plus aux guerres fracticides ni aux critiques stériles, mais à la bonne réflexion et l'élaboration d'une stratégie d'action.
Quand on est incapable d'?uvrer pour la bonne cause du peuple, laissons au moins les compétences assurer leur boulot au lieu de mettre les bâtons dans la roue.
1- Le taux de Mahdia est un taux moyen et c'est un gouvernorat très inégalitaire. Si vous avez un taux de 5% à Mahdia, Eljem ou Chebba et un taux de 40% à Souassi, Chourban et Ouled Chamekh, vous obtiendrez une moyenne de 21% du gouvernorat. Il faut dire que Souassi, Chourban et Ouled Chamekh ne font pas partie du Sahel. J'écris ça car dans son argumentation, elle voulait défendre le sahel, qui n'a pas besoin de sa défense.
2- Le taux de pauvreté de Tataouine ne reflète pas les investitions de l'état. Comme l'a bien décrit un des commentateurs, Tataouine vit grâce a ses fils en France et en Libye. Si des familles entières à Tataouine vivent des mandats de transfert de leurs fils à l'étranger, on ne peut dire que le gouvernorat est privilégié
Oui, mais contrairement à Tataouine, Mahdia ne dispose d'aucune vanne, ni d'aucun Kamour ! Et puis elle es truffée de descendants de ces chiites qui ont tellement nui à la propagation de la seule Vérité qui compte !!
Je sais que la vérité blesse. Elle est la fille de la dictature et elle persiste dans son idéologie fasciste. Elle ne reconnait pas la constitution. Elle ne reconnait pas la révolution et les libertés. Son programme pour la Tunisie est le retour à la dictature et la perte de tous les sacrifices. Sa vraie place est en prison pour ce qu'elle a fait sous cette dictature, travail d'espionnage et ses rapports contre les opposants politiques et même contre le métier et le doyen des avocats et pour les l'enrichissements a travers les affaires juteuses de l'état réservées aux avocats rdcistes.
10 ans de problèmes, oui et Mr. Choubaa, vous croyez que ta maitresse est plus apte à adresser la situation ? Qu'a elle appris dans la vie a part le bla bla ? et maintenant elle incite des régions contre d'autres. Elle devrait passer devant la justice pour incitation à la haine « tahrid almouatinine badahoum dida baadh ».
le discours de abir est purement électorale orienté au Sahel!
Avec tous mes respects.
Elle devient synonyme de tout ce qui sépare lorsqu'elle est confondue avec le souci de paraître, courir les postes, n'avoir pour objectif que ses intérêts. C'est probablement, le cas de bien des politiciens actuels, imbus de leur personne et capables du pire avec arrogance et stupidité.
Abir Moussi échappe à ces bassesses par son sérieux et sa rectitude puisqu'elle ne varie pas selon l'origine du vent, ne plie pas au gré des directions qu'il prend.
Ceux qui la mettent à égalité ou au niveau de Ghannouchi sont pressés. Ils ne craignent pas de tout mélanger, et à force ils crient avec les loups que tous sont pourris.
Enfin, l'économie serait du sérieux. Parce ce serait rationnel.
Lisez Adam Smith, les physio rates, et cherchez la main de dieu pour offrir quelque rationalité à la "science" économique. Elle est au mieux, l'instrument qui permet de rationaliser des choix. Politiques.
Nos politiciens sont petits, notre monde est étriqué ce qui bien souvent nous fait croire qu'on pense. Ou bien, en dessous de la ceinture.
Ghannouchi est un crétin si ce mot a encore un sens. Ses suppôts sont des suiveurs sans boussole.
Moussi, femme et fidèle à sa trajectoire, est l'objet d'aigreur des machos rentrés comme des sans courage juste capables de rentrer chez eux au premier coup de sifflet.
Je n'admire personne, et cherche à comprendre. Par l'observation, j'incline à préférer une femme à ce troupeau de veules qui vont à la soupe islamiste comme Jadis chez le clan de l'autre.
Je ne change pas d'avis, non plus, j'ai le tort de tenir à mes choix. Car, je délibère avant de décider.
Nous en manquons trop souvent. De réflexion.
Maintenant concernant Mahdia, ce gouvernorat présente en lui-même les inégalités entre les régions en Tunisie. Au sein de Mahdia, entre Mahdia ville, Rjich et Chebba d'une part et Souassi et Chourban d'autres part sont comparables aux inégalités entre Monastir et Gasserine. Lorsque la fille de la dictature prend la moyenne de Mahdia et la compare avec celle avec de Tataouine, est de mauvaise foi. Tataouine est peut-être plus riche que Souassi mais elle n'est pas plus riche que Mahdia ou Eljem.
J'ai écrit juste après l'accord de Tataouine que le gouvernement doit faire de même avec les autres gouverneras. Ceci s'applique aussi aux régions intérieures de Mahdia comme Souassi et Chourban ou de Sousse comme Koundar et Sidi Elhanni. Ces régions ont été marginalisées comme Tataouine, Gasserine ou Jendouba. Souassi ressemble plus à l'arrière-pays de Tikrawan qu'a Mahida.