Meskina tounes!!!
On a ce qu'on mérite!!!
Le député de la Coalition Al Karama, Abdellatif Aloui a publié un statut sur sa page Facebook, ce vendredi 8 novembre 2019, le qualifiant de « personnel », considérant que l’ancien président de l’ANC, Mustapha Ben Jaâfar n’est pas digne de confiance.
« On ne peut oublier le jour où Mustapha Ben Jaâfar est parti avec les clés de l’assemblée, sur décision unilatérale, sans consulter personne. Sa décision était un véritable abus de confiance. […] C’était le plus grand coup encaissé par le gouvernement légitime de la Troïka, de la part d’une personne, supposée être son alliée au pouvoir. Le prix était cher payé pour la révolution, parce qu’il a donné la bouffée d’oxygène nécessaire au groupe du sit-in Errahil et aux putschistes. Après la chute du gouvernement Laârayedh, l’assemblée a repris ses travaux avec des conditions humiliantes, puisque sa mission s’arrêtait au parachèvement de la Constitution et l’adoption du Code électoral. […] Cet homme n’est pas digne de confiance et c’est mon avis personnel à propos des bruits qui courent à propos de sa désignation à la tête du prochain gouvernement », lit-on en substance dans son statut.
Rappelons, que le 6 août 2013, Mustapha Ben Jaafar, à l’époque président de la Constituante tunisienne avait annoncé mardi 6 août la suspension des travaux de l'Assemblée nationale constituante (ANC), dans le but de forcer les islamistes au pouvoir et l'opposition à négocier.
Aujourd’hui, le nom de Mustapha Ben Jaâfar est proposé pour être à la tête du prochain gouvernement, selon des sources proches d’Ennahdha, comme étant une personnalité assez consensuelle.
S.H
Le député de la Coalition Al Karama, Abdellatif Aloui a publié un statut sur sa page Facebook, ce vendredi 8 novembre 2019, le qualifiant de « personnel », considérant que l’ancien président de l’ANC, Mustapha Ben Jaâfar n’est pas digne de confiance.
« On ne peut oublier le jour où Mustapha Ben Jaâfar est parti avec les clés de l’assemblée, sur décision unilatérale, sans consulter personne. Sa décision était un véritable abus de confiance. […] C’était le plus grand coup encaissé par le gouvernement légitime de la Troïka, de la part d’une personne, supposée être son alliée au pouvoir. Le prix était cher payé pour la révolution, parce qu’il a donné la bouffée d’oxygène nécessaire au groupe du sit-in Errahil et aux putschistes. Après la chute du gouvernement Laârayedh, l’assemblée a repris ses travaux avec des conditions humiliantes, puisque sa mission s’arrêtait au parachèvement de la Constitution et l’adoption du Code électoral. […] Cet homme n’est pas digne de confiance et c’est mon avis personnel à propos des bruits qui courent à propos de sa désignation à la tête du prochain gouvernement », lit-on en substance dans son statut.
Rappelons, que le 6 août 2013, Mustapha Ben Jaafar, à l’époque président de la Constituante tunisienne avait annoncé mardi 6 août la suspension des travaux de l'Assemblée nationale constituante (ANC), dans le but de forcer les islamistes au pouvoir et l'opposition à négocier.
Aujourd’hui, le nom de Mustapha Ben Jaâfar est proposé pour être à la tête du prochain gouvernement, selon des sources proches d’Ennahdha, comme étant une personnalité assez consensuelle.
S.H