Zoubaier Chehoudi, dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha, a annoncé, dans un post Facebook publié ce mardi 17 septembre 2019, sa démission du parti pour plusieurs raisons.
Il a, à cette occasion, présenté ses excuses au peuple tunisien pour n’avoir pas réussi à accomplir, au cours de ces dernières années, les objectifs de la révolution en matière de justice sociale et d’investissement.
« Je présente également mes excuses à mes frères du mouvement Ennahdha pour avoir ouvertement critiqué le président du parti Rached Ghannouchi que j’appelle à quitter la politique, à rester dans sa maison et à éloigner son gendre Rafik Abdessalem et les dirigeants ayant falsifié la volonté des électeurs et pour avoir exclu les femmes, les jeunes et les dirigeants historiques qui ont une opinion différente de la leur », a-t-il écrit.
Zoubaier Chehoudi a, par ailleurs, assuré qu’après la révolution, il n’a jamais perçu de pot-de-vin ni d’argent public ajoutant qu'il a déclaré ses biens auprès de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc).
E.B.A.
Commentaires (16)
CommenterZoubaier Chehoudi partage avec Rached Ghannouchi le meme projet islamiste de l'islam politique des freres musulmans salafistes d'Ennahdha
Présidentielle
Il a besoin d'immunité...il d'accroche
Tiens ! On réclame "la sale tête du gourou" !!!
Ecrit par A4 - Tunis, le 05 Novembre 2017
La pieuvre noire est moribonde
Elle n'en a plus du tout pour longtemps
Elle est gluante, nauséabonde
Comme l'eau fétide d'un étang
Elle est obligée pour survivre
De s'amputer quelques tentacules
De jeter au feu tous ses livres
Et mettre à l'heure ses vieilles pendules
Mais ses horloges usées sont rouillées
Bloquées dans des époques anciennes
Et rien ne sert de les chatouiller
Il n'y a plus d'aiguilles qui tiennent
Elle suffoque dans son marécage
Et ça fait longtemps qu'il n'a pas plu
Qu'il n'y a plus perles ni coquillages
Que les eaux du golfe n'arrivent plus
De temps à autre elle rejette un doigt
Le plus malade ou le plus pourri
Cela n'empêche qu'elle est aux abois
Les yeux tristes et la peau flétrie
Elle est même rejetée par les siens
Par ses amis et ses grands maîtres
Elle n'a plus presque aucun soutien
Pour la sortir de son mal-être
Vous la voyez étalée à terre
Répugnante comme un vieux torchon
Faisant en cachette des prières
Pour invoquer diables et démons
Son mal incurable la dévore
Va la jeter un jour dans le trou
Avec ses doigts assassins, ses cors
Et sa sale tête de gourou
Correction
Thé Mirror
Péril en la tanière.
Nul doute que ce sont eux qui ont tenté de faire pression sur L'ISIE afin d'exclure Karoui et d'obtenir de rester dans la course, contre la volonté des électeurs. Une sorte de coup d'Etat électoral, sous couvert de légalisme.
Il faut appliquer la loi à ces brigands sans foi ni loi, si l'on veut sauver ce qu'il reste de démocratique dans les institutions de ce pays.
Les islamistes se sont battus et se battront toujours pour que chaque lieu et espace de pouvoir leur soient
acquis. Si leurs affidés sont dans la place, ils font jouer les procédures et la loi. Dans le cas contraire, tous les possibles sont requis, y compris par les moyens de la terreur.
Plutôt un magnat des médias que des voyous ennemis des hommes.
L'ISIE, si elle veut garder quelque crédit auprès des gens, devrait saisir la justice contre ceux qui exercent les pressions évoquées.
Félicitations
Exception?
Tunisiens, criez haut et fort: Ennahdha dégage
Il vous reste un défit majeur: les législatives. Pour préserver notre pays de la corruption, pour élire un Parlement lucide, constructif et propre, Nous devons tous, crier le même slogan: ENNAHDHA DEGAGE.
Le Parrain de la corruption Rached Ghanouchi est candidat aux législatives. S'il passe, il sera président du Parlement, et il nous fera manger nos excréments, comme il l'a toujours fait depuis 2011. Alors, écartons-le et ne votons pas pour lui, malgré le pognon qu'il va distribuer à gauche comme à droite.