Le membre de la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (Haica), Hichem Snoussi, est revenu, lundi 28 novembre 2022, sur le litige entre le régulateur des médias et l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) qui s’est soldé, la semaine dernière, par une décision unilatérale de l’Isie. Celle-ci a, rappelons-le, choisi d’accaparer les prérogatives de la Haica en publiant ses propres directives sur la couverture de la campagne électorale des législatives anticipées et en mettant en place une cellule d’observation dont la mission sera de contrôler les médias et repérer les éventuelles infractions.
Intervenant sur Express FM, Hichem Snoussi a considéré le débat clos entre la Haica et l’Isie notant que la culture du parallèle s’est déjà installée en référence à l’observatoire de l’Isie. « Malheureusement, il y a rupture totale entre la Haica et l’Isie surtout dans le sillage des campagnes de désinformation que l’Isie est en train de mener », a-t-il avancé reprochant à l’Isie d’être à l’origine de la confusion qui règne actuellement. « Elle est en train d’essayer par tous les moyens de couvrir les graves erreurs commises, notamment dans la loi électorale », a-t-il ajouté relevant une forme de « banditisme » du côté de l’Isie « appuyée par le pouvoir exécutif ».
Selon Hichem Snoussi, « nous avons dépassé l’époque des erreurs pour entrer dans l’ère du péché et l’atteinte à la liberté d’expression ». « Les médias doivent se défendre, car il ne s’agit point d’un simple litige entre la Haica et l’Isie », a-t-il déclaré assurant que le conflit dépasse une simple guéguerre de prérogatives et tourne autour de la liberté d’expression et l’indépendance des médias.
Quelques jours avant le démarrage de la campagne électorale, la Haica a publié un ensemble de directives à destination des médias sans se référer à l’Isie. Étant l’organe régulateur du secteur médiatique, l’instance de Nouri Lajmi a pris les devants et a décidé, seule, des modalités de couverture de la campagne électorale, car l’Isie l’aurait boudé. Une absence de communication entre les deux instances a été relevé à plusieurs reprises par la Haica.
Mécontente, l’Isie a rétorqué publiant ses propres directives auxquelles les établissements médiatiques publics et privés devraient se conformer pour le bon déroulement de la campagne électorale… Des sanctions sont, également, prévues en cas d’infraction.
N.J.
WINI EL BLINTA (el blinta ,en batiment veut dire PLINTE qui s'approche de la PLAINTE que la HAICA compte déposer contre l'ISIE auprés du T.A mais aprés le 17/12!!!)
1-Dans une émissions de zina zidi sur Chems FM,du 18/11/2022,un président d'un partito des CINQ parle du PEUPLE SFAXIEN (minute 11'40'),et d'une parole MESQUINE de la présidente du gouvernorat (18'), et aucune intervention de l'animatrice ou de la HAICA qui est censée controler les medias.
2-Dans un plateau d'ettassia, un autre président d'un parti des CINQ, declare : l'état est un état CRIMINEL (dawla mojrma)et aucune intervention de l'animatrice ou de la HAICA qui est censée controler les medias.
3-la chaine ZITOUNA ,interdite par la HAICA, emet ses programmes sans etre inquiétée par la HAICA, car ZITOUNA n'est pas comme avant lorsqu'elle n'invite que les membres d'ENNAHDHA, mais elle invite Nejib et ISSAM chebbi, J.B.M, hier un certain Lotfi mraihi ,c'est à dire tous les opposants à KAIS SAID, et la HAICA ne bouge pas , alors qu'elle pouvait interdire la participation de quiconque aux plateaux de cette chaine INTERDITE et leur appliquer des sanction pour complicité.
4-la HAICA ,opposée au 25 juillet, est dans un état de mort clinique ou un cadavre en état de décés , comme disait Bouchlaka, et le nouveau ARP va lui remettre une attestation de déces , et une autorisation d'enterrement ,puisque la HAICA n'est plus une instance constitutionnelle.
Les Tunisiens savent les penchants politiques de la HAICA : CPR et dérivés et un parti des CINQ.
et que la HAICA est une partie du systéme de la décennie noire (qu'avez vous contre ZITOUNA TV),et qu'elle est opposée au 25 Juillet ,et qu'elle a demandé que les boycotteurs du referendum du 25 juillet soient admis pour faire une campagne pour le boycott. Donc vous allez repeter cette demande pour que les boycotteurs des élections du 17/12 puissent faire leurs campagnes. En plus il faut etre trés naif pour penser que le T.A va accepter votre recours , puisque la campagne électorale sur les chaines Radio et Télé va commencer le vendredi 25/11.Maintenant on doit parler d'un HAICA dans le COMA ,que le futur ARP va la dissoudre et installer une nouvelle instance ,et c'est ça qui fait peur aux membres de la HAICA.