J'observe la scène politique tunisienne avec une neutralité absolue, sincère et consciencieuse. Je ne trouve pas un seul iota de mal commis à la tête de l'ARP par Rached Ghannouchi, hormis sa bonté et son pacifisme religieux, par lesquels il a donné des ailes à ses propres adversaires et opposants politiques, qui se sont transformés en ses détracteurs de profession et de projets politiques. Ils se permettent des attaques verbaux et gesticulateurs vulgaires de la pire bassesse humaine, contre l'octogénaire Rached Ghannouchi, à l'image du comportement bidonvillageois de la Zalèma moussi, sans qu'il ne leur réponde adéquatement à leur langage ordurier. Sa culture, son éducation et son rapport quotidien avec notre Créateur et Créateur de tout l'univers, Allah le Tout Puissant, ne le lui permettent pas. Quand la Zalèma moussi refuse de réciter la Fatiha avec ses collègues du parlement, cela y va de soi avec sa culture. Un Français m'a dit si je ne comprends pas la source du nom "moussi" et si je ne le remarque pas même par le nez et par le visage. Mais, pourrait-on imaginer pour une toute petite fraction de seconde, que Rached Ghannouchi refuserait la récitation de la Fatiha, n'importe où sur ce globe terrestre?
Donc, je dirais à Samir Dilou, qui se laisse ridiculiser comme un petit écolier par ce couple de menteurs et d'intrigants à côté de lui, que le problème de ces ennemis de Rached Ghannouchi, n'est en vérité que spéculatif. Ils craignaient que le président de la République décède et que Rached Ghannouchi le remplace. C'est tout. Vraiment c'est tout. Ils n'avaient pas cette crainte avec le ronronneur, l'ancien président de l'ARP Mohamed Ennaceur, qui est de 7 ans plus âgé que Ghannouchi et qui dormait sur le podium. Ils n'ont de grands problèmes qu'avec Rached Ghannouchi, parce que ce militant politique de la Tunisie, est connu par le monde entier. Ses relations fortes avec le Qatar et avec la Turquie, frappent de plein fouet le quartet ennemis des Révolutions arabes, les Emirats hébraïques, les Scie Monchars saoudiens, le Saffah Sissi d'Egypte et la France de l'islamophobe Macron.
Et je dirais à Samir Dilou, de ne pas trop s'aplatir devant les ennemis de Rached Ghannouchi, car même s'il a des malentendus avec lui, il doit comprendre qu'il a tort de continuer à satisfaire ses ennemis, en ces temps des plus difficiles pour tous les partis politiques de la Tunisie. Il doit comprendre qu'il n'est vraiment pas temps à ces enfantelets, tant que la Tunisie se trouve dans ce tourbillon, qui n'est à apaiser et à maîtriser que par les vieux renards, qui savent conduire dans les tempêtes de sable et qui possèdent des relations internationales de haut niveau, comme son Papy Rached Ghannouchi. Sinon, ils vont l'engloutir lui-même comme un oeuf cru. Car, lèn tardha ankè alyahoudou wèlè al-nassara, hattè tettabiaâ millètèhom. Leurs «millas» sont omniprésentes chez nous en Tunisie, depuis la colonisation française en Tunisie.
Allah yostir Tounes.