Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Samir Cheffi, a signalé, samedi 3 avril 2021, que l’accord signé entre la Centrale syndicale et la présidence du gouvernement sur les réformes économiques urgentes n’était pas une alternative au dialogue national.
M. Cheffi s’est exprimait au micro de Jawhara FM en marge des festivités de la journée de la Terre célébrée en soutien au peuple palestinien.
Notant l’UGTT est consciente de ces actes et reste réaliste quant à la situation de la Tunisie, le syndicaliste a rappelé que la Centrale syndicale avait proposé une initiative de dialogue pour sortir le pays de l’ornière.
« Engager des réformes n’est ni un début de dialogue ni un substitut. Le dialogue a ses propres fondements et règles », a-t-il avancé.
Le 31 mars, un accord a été signé entre le Chef du gouvernement, Hichem Mechichi, et le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, sur les réformes à engager au sein des entreprises publiques et sur le système de compensation.
D’autres concertations sur la redynamisation de l’économie ont, également, été engagées vendredi 2 avril dans le cadre du deuxième round des consultations de Beit El Hikma en présence du chef du gouvernement et de représentants des organisations nationales et d’acteurs économiques.
N.J.
Une chose est certaine pour le peuple tunisien, il est colonisé par la "bhama ".
NON, NON et NON !!!
Pas de bouée de sauvetage pour les assassins, affamés, voleurs, corrompus, incompétents et destructeurs !!!
Aujourd'hui, l'UGTT demande au Président de dialoguer avec le trio du Mal:
- Ennahdha qui cherche à blanchir Ghannouchi de tous ses crimes et protéger sa fortune,
- Al Karama qui veut faire voyager par la force des criminels et qui ne reconnait même pas la Justice tunisienne,
- Kalb Tounes qui a un Nabil Karoui à faire sortir de prison par tous les moyes, y compris la force.
c'est avec ces orduriers-là qu'on demande au Président de dialoguer.
Eh bien NON. La Tunisie a un problème clair, net et précis, ce problème s'appelle Ennahdha.
la Justice tunisienne dispose de tous les dossiers qui peuvent remettre Gahnnouchi and Co. en prison, non pas par vengeance, mais, par justice sociale.
La société civile, les partis clean, les médias non corrompus, tout ce beau monde doit bouger pour obliger la Justice à mettre au clair la fortune de Ghannpouchi, et ce faisant, élucider tous les crimes qu'il a commis.
C'EST L'UNIQUE SOLUTION, TOUT LE RESTE C'EST DU BLABLABLA, c'est de la perte de temps.
Le dialogue, c'est un peu à l'image des commissions en France, on en y recourt souvent lorsqu'on a en vue d'enterrer une question qui dérange le microcosme.
C'est un peu comme ceux qui parlent de mauvaise gouvernance, ils voient des erreurs là où il y a faute.
Des incompétences, lorsque ceux qui tiennent le pouvoir ont choisi cette voie.
Le pays n'est ni bien, ni mal gouverné, il est entre les mains de clans, groupes d'intérêts, mouvances qui décident en fonction de leurs objectifs.
C'est pourquoi, l'urgence est de nous débarrasser de ces malfaisants qui ont la main sur tout, et tiennent ceux qui ont gouverné avec Ben Ali.
Ils ont pénétré tous les arcanes du système, placé leurs obligés ou affidés aux commandes des institutions.
Les fortunes, les prébendes ne sont que les effets de cette emprise. Et le moyen d'acheter le silence, gagner de nouveaux comparses.
Nous vivons cela depuis que ces malfrats ont marché sur les cadavres de nos gamins sacrifiés pour une révolution qui les ignore.
Mramdia hal hmoum zrok.