Donc, c'est cet esprit maladif d'esclave-né, qui les fait étouffer par cette vraie liberté au sein du vrai système politique, qui interdit toute mainmise individuelle ou lobbyiste, sur le pouvoir dans notre régime parlementaire. Un régime parlementaire d'usage partout en Europe, hormis en France, en Chypre et je crois en Croatie. C'est-à-dire, partout dans les pays les plus avancés et les plus démocratiques d'Europe.
Madame Gurrach, veut une autre zizanie plus légale que celle qu'on a vécue avec le défunt président Béji Caïd Essebsi, qui s'est permis de nommer son fils à la tête de Nida Tounes, son ami Zalèm de Bourguiba, Mohamed Ennaceur, à la tête de l'ARP, son majordome Abdelkrim Zbidi, à la tête du ministère de la Défense, les premiers ministres Habib Essid et Youssef Chahed, la majorité des ministres et des ambassadeurs durant sa période au palais de Carthage et presque tous ses applaudisseurs dont cette même Saïda Guerrach, elle-même, autour de lui.
Elle veut donner plus de prérogatives à l'un des futurs Pharaons de Tunisie, qui pourrait la garder jusqu'à l'éternité au Palais de Carthage ou là où la vie sera plus belle pour ses lunettes.
Nous lui disons un grand « DOUILLIOU !!! »
Qu'elle aille travailler et qu'elle mette fin à ses intrigues contre la liberté et la démocratie en Tunisie, dont elle souffre à cause de ses propres intérêts et ses propres privilèges personnels.
Law dèmèt lighaïriki, lèmè èlèt ilayki !!!