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Rania Barrak s’excuse auprès des journalistes
09/08/2019 | 11:20
1 min
Rania Barrak s’excuse auprès des journalistes

 

Rania Barrak, apparue aux côtés de Abdelkrim Zbidi lors d’un point de presse suite au dépôt de sa candidature à la présidentielle le 7 août 2019, a présenté ce vendredi 9 août, ses excuses aux journalistes.

 

Mme Barrak a précisé, dans une intervention téléphonique sur les ondes de Shems FM, qu’elle n’avait pas l’intention de mépriser les journalistes ou de leur manquer de respect soulignant que les gestes qui auraient pu les contrarier n’étaient pas intentionnels.

 

En effet, la vidéo du point de presse, diffusée sur les réseaux sociaux, avait montré Mme Barrak en train de faire taire les journalistes présents sur place. Un geste qui a suscité l’indignation des journalistes aussi bien que les internautes.

 

« Je ne suis pas la responsable de communication de M. Zbidi et j’étais présente car j’avais la responsabilité du protocole. Toute personne peut se tromper et peut-être que j’ai commis une erreur de communication. Toutefois, cela ne justifie pas cette campagne orchestrée et répugnante menée à mon encontre. Une campagne de diffamation qui est loin d’être innocente ou spontanée ».

 

Concernant l’homme qui était également à côté de Abdelkrim Zbidi, Mme Barrak a déclaré que personne ne le connaissait et qu’il s’est fait passer pour un agent de sécurité alors que M. Zbidi s’était rendu à l’Isie sans protection.

Elle l’a ainsi appelé à se présenter et à reconnaître qu’il ne fait pas partie de l’équipe de Abdelkrim Zbidi.

 

B.L

 

09/08/2019 | 11:20
1 min
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Commentaires (19)

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Lobservatoir
| 11-08-2019 09:58
Encore une qui bouffe à tous les râteliers.
Souffler son texte au sieur Zbidi n'est pas une faute en soi même sachant que le pauvre s'est vu imposer une condidature à un poste le dépassant, mais fallait-il le faire avec discrétion
Et ça ne fait que commencé.

Akoubi Ammar.
| 11-08-2019 00:41
A propos du commentaire de Tunisie, il faut plutôt penser que le candidat Zbidi est victime de sa propre stratégie consistant à se soumettre à l application du scénario élaboré par l entourage du palais et c est très grave pour une personne d un niveau universitaire très élevé.

Tunisie
| 09-08-2019 21:33
M eur ZBIDI victime de la stratégie de l ombre de Kamel Ltaief

Akoubi Ammar.
| 09-08-2019 20:55
Vraiment on ne comprend rien, des candidats accompagnés par des personnes qui ne connaissent pas leur rôle et qui se permettent de faire et de dire n importe quoi.

Mamout
| 09-08-2019 20:18
Il ya une chanson de Serge Reggiani qui exprime la terreur (Nazie) des "loups qui sont entrés dans Paris"...Chez nous, ce sont des meutes d'hyènes, qui ont envahi Tunis et sont entrain de la dépecer. Bientôt, il n'en restera qu'un squelette déchiqueté.

Lectrice
| 09-08-2019 19:01
Les enjeux sont majeurs mais on rigole tous les jours en suivant cette "presidentielle"

Tunisie
| 09-08-2019 18:45
Tahya Tounes A monastir soutien ZBIDI
Comment expliquer ca
la seule réponse c est
Essouhilia Maa Essouhalia AKA HAOU

Zohra Loumi
| 09-08-2019 17:57
Avant de lire le texte, j'ai cru qu'on allait parler de
Madame Ehud BARRAK ex-premier ministre d'Israël.
Quelle coïncidence non !!!

Sinda
| 09-08-2019 17:46
Rania Barrak je n'ai jamais entendu parlé d'elle . C'est vrai que les réseaux sociaux ce n'est pas ma tasse de thé.. Je vais me permettre une petite reflexion, la politique en Tunisie n'obéit à aucune règle d'éthique.
et nimprte qui peut se présenter aux élections qu "elles soient présidentielles ou législatives en témoigne la candidature d'un voyou notoire dénommé Riccoba..et pour en revenir à Rania Badrrak ,elle a eu la chance de pouvoir exister en Tunisie dans un contexte très particulier ,un pays où les règles élémentaires pour faire de la politique n'ont pas été clairement définies car dans un autre pays où il y une longue tradition démocratique et une moralisation de la vie politique cette débutante de la communication n'aurait certainement pas trouvé sa place En Tunisie,il faut le dire,.nous ne sommes qu'aux premiers balbutiements d'un semblant de démocratie et ce que je déplore en revanche c'est tout le déferlement de violences verbales dont elle a fait l'objet ces derniers jours sur fb. .Cette schizophrénie semble gagner du terrain en Tunisie et elle est à bannir définitivement, elle n'est pas digne d'un peuple qui se prétend civilisé .

pit
| 09-08-2019 13:00
Comment devenir président en Tunisie pour les nuls...dans toutes les bonnes librairies ! si le ridicule tuait nous serions morts depuis longtemps !