Aucun soutien ne sera accordé de la part du président du Parlement, Rached Ghannouchi, au président de la Fédération tunisienne de football (FTF), Wadie Jary.
C’est ce que le député de Amal et Âamal, Yassine Ayari, a annoncé, lundi 26 octobre 2020, sur sa page Facebook.
“(...) En ce qui concerne Wadie Jary, j’ai demandé la levée de tout appui politique. Il (le président du Parlement, ndlr) a affirmé qu’il ne le soutenait sous aucune forme que ce soit”, a-t- écrit sur le réseau social en résumé de sa rencontre avec le président de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Dimanche, la Fédération tunisienne de football a annoncé avoir déposé une plainte contre Yassine Ayari pour formation d’une coalition visant à porter atteinte aux individus, diffamation sur les réseaux sociaux et accusations non fondées contre la FTF et son président.
Le député a accusé Wadie Jary de “mauvaise gestion” et de “mise en danger de la vie d’autrui” dans une correspondance officielle adressée au ministre de la Jeunesse et des Sports appelant à la destitution du président de la FTF.
Ceux qui croient que la loyaute existe en politique sont des naifs ; tant que vous etes utile, on vous garde.
Des que ce n'est plus le cas, ... plouf !
Dites-vous simplement, que vous etes bon a manger et / ou a etre mange , ce qui arrive plus souvent.
Ce n'est pas un milieu pour personnes integres, honnetes, de parole et francs ...
La, evoluent avec grace, sournoiserie, mesquinerie, mensonge et malhonnetete.
...
Aussi, je comprend parfaitement la dure decision de Mme Ennaifer ...
Mes hommages, Madame.
Bien préparée lors de leur sinécure à londres; et laquelle colonisation profite à quelques personnes occidentales qui envisagent, bêtement, de conquérir tant le pétrole libyen, en premier lieu, que pourquoi celui algérien et ce par le biais de ce traitres supposés leur baliser la route, et bien sûr et en contrepartie ils auront leurs récompenses, dont une partie à été déjà débloquée.
Et ils ne peuvent rien entreprendre d'ici jusqu'à la résurrection, même avec leurs enfants qui l'argent envoyé à leurs enfants qui logent à Paris ou à Daouha, car cet argent appartient, en fin de compte, à l'état tunisien qui s'en charge en grande majorite de leur sejour; quant à l'argent soi-disant en provenance de leurs parents khwanjias , qui séjournent royalement à Tunis ( et à Paris par intermittence pour quelques-uns et continuellement pour d'autres) cet un argent censé appartenir au peuple tunisien.
Il y a eu déjà, et même récemment (avec Mechichi), de nominations caricaturales de leurs proches parents.
Tel est là Tunisie des multiples et variées mascarades.
Une colonisation nettement mieux lucrative que d'ériger honnêtement une entreprise ou de travailler dans divers domaines, selon leur niveau d'instruction, toutefois faible, et ce comme tout tunisien qui se respecte.
Or, ce n'est pas cela qu'ils veulent, ils veulent s'enrichir illicitement par l'arnaque et les manipulations.
J aurait peur pour notre valeureuse armée et l'oxygène qu'on respire c'est tout ce qu'il nous reste après il vaut mieux déguerpir de ce pays.
le monde entier sait très bien vos manipulations ,tout le monde même vos imbéciles savent et travaillent pour que ce jeux continu .
deux traîtres magouilleurs ringards minables '?uvrent afin que SIDHOM BOUCHAMMAOUI ne sera pas candidat au CAF .
LA TRABBAHKOM ,FAAILKOM SOUD ,KLOUBKOL SOUD ,LEBSETKOM SOUD .WIN MACHIN YA TOJJAR EDDIN ,?
Noureddine Bhiri, son avocat principale interroge son premier témoin : Madame « Om Ezzine Bent Essibti Ould El-Fehem » née en 1930, il s'agit d'une vieille dame qui parle trop et parfois « Tfallit » (elle dit de gros mots), que l'équipe des avocats de Ghannouchi ont fait venir, pour témoigner en sa faveur, or, entre temps ils ne savaient pas qu'elle a été atteinte le jour de l'audience, d'un Alzheimer stade 2. Le jour J, « Om Ezzine » était déboussolée et fixait tout le monde.
Bhiri s'approche d'elle avant de lui poser sa question, il cherche à la rassurer :
-Ya Om Ezzine, savez-vous qui je suis ?
-Bien sûr que je vous connais Noureddine Bhiri. Je vous connais depuis que vous étiez « 9ad Ettarf ». J'ai même changé vos « 9mata » quand vous étiez petit. Mais franchement, vous m'avez beaucoup déçu. Vous êtes devenu un menteur « Bal3out Kbir et Tiiiit », vous avez mis la main sur la justice, vous avez manipulé beaucoup de décisions. Vous pensez que vous étiez une étoile montante, plus maintenant, « Ya Hasra » Tu faisais un bon indic et un Tiiiiit au ministère de l'intérieur à l'ère de Ben Ali, mais vous ne serez jamais rien de mieux qu'un petit avocat « 9aoued et Tiiit » de seconde classe, qui s'était vu réellement ministre de Tiiiit, on peut dire que je sais très bien qui vous êtes, Noureddine Bhiri « Mta3 Tiiiiit ».
Bhiri figé, scotché et bouche bée, ne sachant pas quoi faire quoi dire, il regarde derrière lui et remarque parmi l'armada d'avocats, la tête de son fidèle poulain Seifeddine Makhlouf, alors il le pointe du doigt, et demande à « Om Ezzine »
-Ya Om Ezzine, savez-vous qui est cette personne ?
-« Illotf et Allahom 3afina », c'est Seifeddine Makhlouf. Je l'ai gardé quand il était petit aussi et j'ai changé ses couches aussi, lui m'a beaucoup déçu lui aussi. C'est un gros « 9affef et Tiiiiit», sa réputation est « Léhou Tiiiit Léhou Tiiiit », on dit qu'il aime les « Beau Matin et les Tiiiit », et qu'il est incapable de bâtir une relation avec une femme. En plus, comme avocat, il est l'un des plus respectés chez les familles des terroristes et des Tiiiit, il survit en fraudant les impôts et s'était caché derrière l'immunité parlementaire.
Les remarques d'Om Ezzine ont choqués tout le monde, la salle d'audience en panique, à ce moment là, Ghannouchi saisi l'occasion et appelle son avocat Bhiri :
-Si tu demande à cette « Om Ezzine de Tiiiiiit » qui je suis, je mettrai un contrat sur ta tête de Tiiiit tout de suite, tu sortiras de ce tribunal les pieds devant.