A l’issue du délai de 10 jours accordé par la constitution, le président de la République, Kaïs Saïed a finalement annoncé, lundi 20 janvier 2020, le nom du candidat désigné pour la formation du gouvernement. Il s’agit donc de l'ancien ministre des Finances sous la Troïka Elyes Fakhfakh.
Après des consultations avec les parties concernées par la désignation d’un chef du gouvernement, Kaïs Saïed a finalement opté pour le candidat proposé par Tahya Tounes et soutenu par Attayar.
Des consultations assez spéciales, puisque le chef de l’Etat avait demandé aux partis politiques de lui présenter, par écrit, les listes des candidats.
Dans son communiqué, la présidence de la République rappelle les dispositions de l’article 89 de la constitution. « La désignation de M. Fakhfakh est l’aboutissement d’une série de consultations avec les partis, les organisations nationales et les personnalités proposées », relève la présidence.
On précise donc qu’Elyes Fakhfakh entamera à partir de mardi 21 janvier la formation de son gouvernement, dans un délai ne dépassant pas un mois.
La présidence ajoute qu’ « en total respect de la volonté des électeurs aux législatives et les propositions faites par les partis, ce gouvernement ne sera pas celui du président de la République, puisque c’est le parlement qui lui accordera la confiance ». Le communiqué souligne ainsi qu'une minorité de députés a proposé Elyes Fakhfakh et que le dernier mot revient aux parlementaires.
I.L
Tu ne feras jamais ainsi que ceux de 2011 de l'histoire de la Tunisie car tu sais forcément que tu n'est pas à la hauteur pour sauver la Tunisie et tu deviens le problème M 0.34%?
Pauvres Tunisie, Pauvres incultes vous serez plus pénalisés que l'année dernière!!
C'est la punition Divine de nos Saints(es) Sidi Bou Said, Essaida Manoubia, Sidi Ben Aous et les autres....
Il était dans le gouvernement de la Troika. Il est soumis. Peureux. Parle au ralenti. AUCUN dynamisme. Le PIRE choix ; Kais Saied a été très très fortement influencé par Ennahdha les khwenjias ; ils ont leur nouveau JOUET ; AUCUN dossier ne sera ouvert contre les khwenjias, AUCUN.
Youssef Chahed, dans ce cas, est 1 million de fois mieux.
Je pense que plus en avance dans le temps et plus les preuve que c'est YC qui dirige le pays et vous dirige vous s'accumulent. Quelle mouche vous a piqué pour mettre quelqu'un qui a démontré son incapacité à diriger un ministère comme premier ministre.
Plusieurs scénario:
1- Soit vous êtes vraiment un jouet entre les mains de YC
2- Soit vous voulez déclenchez des élections et pour celà il faut choisir quelqu'un qui peut ne pas passer l'Exercice du vote de confiance ce qui vous permet de déclencher des légiltaives et à ce moment vous déclenchez un referundum pour modifier la constitution et le système électoral. Si c'est le cas, j'aurais peut etre fait la meme chose mais j'aurais pris quelqu'un d'autre dont je suis sur qu'il ne passera pas le vote pour éviter le risque qu'il passe.
3- Soit bourjoulya touht ala rassik.
J'ose esperer que c'est le 2ème scénario qui vous a poussé à choisir le fakfak.
Vous pouvez toujours vous joindre à eux après avoir lu le "portrait" de cette "étoile montante" au lien:
http://acharaa.com/ar/473627
Bonne lecture !
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(*) Dont l'ambassadeur à Tunis, Donald Blome vient d'être reçu par Y. Chahed le 17 janvier, en audience dont l'objet n'a pas été annoncé.
En effet, la politique extérieur et intérieur de KS est catastrophique.
Il faut une Motion de destitution
(Il s'agit de la vente d'une partie de l'actif de Tunisie Télécom)
Comment on peut imposer à un peuple et des élus, un homme impopulaire ?
(Président de parlement :chlaka,président =chef de gouvernement chlaka) on est le pays de bou chlaka au pluriel
Le monsieur gère deux décharges, selon KS, il pourra donc gérer le Pays.
Je l'ai abordé pour discuter économiques, fiscalité et social.. . Mon point de vue c'est un grand nul !
Les journalistes et les diplomates du monde entier auront du mal à prononcer son nom de famille qui phonétiquement, ressemble à une double injure en Anglais.
On ne va jamais le prendre au sérieux.
Il est clair que c'est le gourou qui est passé par là; d'ailleurs il était le dernier visiteur du soir du Tartour II, un véritable filtre qui ne laisse passer que ceux qui se prosternent à ses pieds.
visiteur du soir du Tartour II
Cette même Troïka qui a mis le pays dans l'état épouvantable où il se trouve englué aujourd'hui.
Rappelons juste que c'est sous la Troïka que les intégristes islamistes qui détenaient le pouvoir de manière officielle, partagé avec leurs 2 fantoches Ben Jaafar et le Tartour Marzouki.
Pour rappel, lors du régime de la Troïka, tout les terroristes étaient sortis de prison ou rappatrier de l'étranger, terroristes envoyés par la suite en Syrie, Irak, Libye..
Sous la Troïka, il y a eu 2 assassinats politiques, l'envoi du ministre libyen chez ses geôliers en Libye, sous la Troïka s'y organisa la réunion des ennemis de la Syrie.. sous la Troïka des salafistes oraganisaient des meetings aux 4 coins du territoire national, y compris, dans la station balnéaire d' Hamamet... Sous la Troïka, l'économie du pays plongeait littéralement, chômage de masse... gestion catastrophique au sein de la fonction publique, au sein de Tunisair, etc, etc.. Bref, la Troïka rime avec désastre; et voilà que le président de la République nous nomme un ancien ministre de la... Troïka!! Pauvre de nous !
Piur nahdha, manipuler, manigancer et s'accaparer de tout ce qui leur tombe sous la main, est primordial.
Ces khwanjias pensent qu'ils sont privilégiés et supposent que les "autres , sont leurs serviteurs et ne vivent et ne respirent l'air en Tunisie que par leur bénédiction.
11- Moncef Marzouki : 2,97% (100.338 voix)
12- Mehdi Jomâa : 1,82% (61.371 voix)
13- Mongi Rahoui : 0,81% (27.346 voix)
14- Hamma Hammami : 0,69% (23.252 voix) ou 15ème?
15- Hachemi Hamdi : 0,75% (25.284 voix) ou 14ème?
Mais l'heureux élu est encore moins bien classé que les précédents :
16- Elyes Fakhfakh : 0,34% (11.532 voix).
Comme quoi, avec moins de 12000 voix vous pouvez accéder au poste le plus puissant dans la république tunisienne, encore plus de pouvoir que le président de la république élu avec plus de 72% des votants, c.a.d. près de 2,8 millions de voix.
Quel paradoxe démocratique ! A moins que le président de la république ne vise, par cette nomination, la dissolution du parlement.
Bonne route M. Elyes Fakhfakh !