.Dans les deux cas C'est grave.
Bref, parlez peu et travaillez beaucoup !
Ceci concerne toutes les entreprises .....
Le PDG de la Sonede, Mosbah Helali est intervenu, ce mardi 13 août 2019, sur les ondes de Mosaïque Fm, pour revenir sur les coupures d’eau enregistrées dans plusieurs régions de la Tunisie, assurant que les perturbations d’approvisionnement seront réglées définitivement dans 2 ans et demi.
Mosbah Helali a indiqué que la Tunisie a connu un pic de consommation exceptionnel du à la vague de chaleur, qui fût accentuée par la grande demande le premier jour de l’Aïd. « Dans tous les cas, la Sonede regrette les coupures d’eau, mais ceci est dû à des circonstances qui échappent à notre contrôle », a-t-il dit.
Il a ajouté que les coupures n’ont pas touché toutes les régions. « En effet, il y a plusieurs facteurs à prendre en considération. Les villes situées sur les hauteurs subissent, par exemple, les coupures en premier. Le débit de l'eau dépend aussi de l’offre et de la demande, dans certains cas la demande dépasse largement l’offre. Cela dit, nous avons augmenté les réserves en eau de 20% par rapport à la même période de l’année dernière ».
Mosbah Helali a affirmé qu’il faut en prendre en considération les changements climatiques, soulignant les efforts déployés par la Sonede malgré les grandes difficultés rencontrées sur le plan logistique et naturel.
S.H
Le PDG de la Sonede, Mosbah Helali est intervenu, ce mardi 13 août 2019, sur les ondes de Mosaïque Fm, pour revenir sur les coupures d’eau enregistrées dans plusieurs régions de la Tunisie, assurant que les perturbations d’approvisionnement seront réglées définitivement dans 2 ans et demi.
Mosbah Helali a indiqué que la Tunisie a connu un pic de consommation exceptionnel du à la vague de chaleur, qui fût accentuée par la grande demande le premier jour de l’Aïd. « Dans tous les cas, la Sonede regrette les coupures d’eau, mais ceci est dû à des circonstances qui échappent à notre contrôle », a-t-il dit.
Il a ajouté que les coupures n’ont pas touché toutes les régions. « En effet, il y a plusieurs facteurs à prendre en considération. Les villes situées sur les hauteurs subissent, par exemple, les coupures en premier. Le débit de l'eau dépend aussi de l’offre et de la demande, dans certains cas la demande dépasse largement l’offre. Cela dit, nous avons augmenté les réserves en eau de 20% par rapport à la même période de l’année dernière ».
Mosbah Helali a affirmé qu’il faut en prendre en considération les changements climatiques, soulignant les efforts déployés par la Sonede malgré les grandes difficultés rencontrées sur le plan logistique et naturel.
S.H