Le président du mouvement Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk, est revenu, lundi 28 juin 2021, sur la création du Front pour le référendum auquel adhère son parti.
Il a souligné que la situation du pays appelle à rendre le pouvoir au peuple de décider du système politique qu’il jugera bon pour son pays dans la mesure où le système actuel a lamentablement échoué à dépasser les blocages.
« On explique que le référendum n’a pas de bases légales et qu’il ne répond pas aux conditions stipulées dans la constitution de 2014, mais cette constitution est une forme d’occupation, elle ôte le droit du peuple au référendum et le peuple a le droit de décider du système politique qu’il veut pour son pays » a poursuivi Mohsen Marzouk.
Le président de Machrouû Tounes a affirmé qu’aucun changement radical n’est totalement légal et que seule le peuple est capable de trancher sur la question des différends politiques actuels qui bloquent le pays.
« Certains disent qu’on ne peut pas recourir au référendum et entre temps personne ne propose de solution concrète et efficace, que va-t-on faire ? Rester les bras croisés à regarder le pays sombrer ? Le peuple n’a pas choisi ce système et ne le comprend pas, ce choix lui redonnera la confiance et évitera au pays le chaos qu’on lui prédit à l’échelle internationale. Il est temps de rompre avec ce système et passer par les consensus habituels c’est passer par les magouilles et si consensus il y a aujourd’hui il doit être conditionné par le référendum » a-t-il conclu.
M.B.Z
Comment les Tunisiens étaient humiliés à chaque invitation d'un président étranger, bien qu'il soit le président de nos anciens colonisateurs français ou même d'un pape.
Je me rappelle d'un pauvre bougre pris par les caméras de la TV7, qui courait à bout de souffle, en criant "elviva Ben Ali, elviva elpapa"!!!
C'est là où veulent nous faire reculer ces arrivistes, qui n'ont aucun poids politique chez le peuple tunisien.
Ils veulent un référendum truqué sur mesure à leurs ambitions criminelles.
La Constitution leur impose explicitement, la création de la Cour Constitutionnelle, afin de trancher juridiquement à la manière des tribunaux de ce monde et à la manière des arbitres dans n'importe quelle compétition sportive de ce monde, et eux, ils veulent marquer des buts par leurs propres ramasseurs de balles, en l'absence de l'arbitrage d'une Cour Constitutionnelle. Ni division nationale, ni fédération de football. Seul Ammèk Hammadi Goodman, le gardien du stade d'Hammam-Lif (Allah yarhamou wè innaâmou), décide du score, le cigare en permanence entre ses lèvres.
Il y a Kaïs Saïed et ses acolytes Mohsen Marzouk, les Abbou et les "Tabbous", qui veulent s'emparer de la présidence de la République pour leur propre cause de "yahya Boutbila".
L.
'es putschistes ne trouvent aucune autre solution, que de crier :"elviva Kaïs Saïed, elviva la Constitution dictatoriale de 1959".
Et nous leur disons:"allez jouer ailleurs. Le peuple tunisien ne se laissera jamais plus esclavager".
Vive la Révolution tunisienne.
Dites, ça commence à disjoncter chez-vous dans le ciboulot, ou quoi ?
Des vérités sur une justice en dérive totale et un président de la cour de cassation extraordinairement corrompu