Vivement que les candidats débattent de sujets importants pour la nation et faire changer les mentalités particulièrement sur la corruption l intégrité des hommes politique et des dirigeants. La mise au travail des travailleurs et les moyens de redresser l économie et la réduction de la dette.... des sujets de sociétés et économiques du notre chère pays
« Mon frère Lotfi, homme d’affaires, a subi un contrôle fiscal approfondi. Il n’est pas interdit de voyage et a été victime d’une combine. La justice a finalement tranché en sa faveur », a indiqué le président d’Al Badil Ettounsi, Mehdi Jomâa, lors de son passage à Express FM aujourd’hui, mercredi 21 août 2019.
Pour rappel, la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption près du tribunal de première instance de Tunis avait condamné, en mars dernier, Lotfi Jomâa, à 10 ans de prison ferme, pour avoir usé de sa qualité et s'être procuré à lui-même ou à un tiers un avantage injustifié, causant un préjudice à l'administration et transgressant les règlements régissant ces opérations. Une amende de 1,97 million de dinars (MD) lui avait même été infligée.
Le candidat à la présidentielle Mehdi Jomâa a également indiqué qu’une fois arrivé au pouvoir, le régime politique sera révisé et la Cour constitutionnelle sera également mise en place.
Sur un autre plan, Mehdi Jomâa a estimé que le prochain gouvernement se retrouvera dans une situation assez difficile à cause de la mauvaise gestion de l'actuel gouvernement. Les prévisions et les résultats du gouvernement Chahed sont même erronés, a-t-il ajouté.
«En règle générale, je suis contre la peine de mort. Toutefois, je suis favorable à son application dans deux cas seulement, à savoir contre les pédophiles et les terroristes. Je suis aussi pour l’égalité dans l’héritage entre l’homme et la femme », a-t-il conclu
E.B.A.
Commentaires (16)
CommenterSujets importants à débattre
Vivement que les candidats débattent de sujets importants pour la nation et faire changer les mentalités particulièrement sur la corruption l intégrité des hommes politique et des dirigeants. La mise au travail des travailleurs et les moyens de redresser l économie et la réduction de la dette.... des sujets de sociétés et économiques du notre chère pays
hichem hafsia
Réfléchir !
Il me semble que Mehdi Jomaa et ses équipes n'ont pas réfléchit à la question de la peine de mort. Si on me réfléchit pas - celà me semble évident - c'est les viscères et l'émotion qui nous animent.
Dire être favorable à la peine de mort en deux cas - horribles - est d'une suffisance affligeante. Quid donc des autres atrocités? Violeurs de vieilles dames? Mutilateurs de ses enfants? Inceste?
Il ne s'agit pas de comparer les ateocités mais de démontrer l'absudrité du raisonnement de Mehdi Jomaa. Si on réfléchit on ne peut pas accepter la peine capitale.
Terrible si on prétend à la Présidence de la Tunisie.
Le problème de fond derrière tout ça c'est notre vision comme nation de l'éducation. On produit des savants (en sciences) inclutes et des Hommes de culture ignorants (des sciences).
Mais ça c'est un autre sujet.
Pour l'instant, Mehdi Jomaa me confirme dans mes conviction à son égard. Ce n'est pas sous sa présidence que la Tunisie sera avant gardiste comme elle l'était souvent dans son histoire.
Bien à vous,
J Hannachi
Mehdi Jomaa un vrai homme d'etat
Malheureusement beaucoup de nos compatriotes tombent trés bas dans leur analyse. Au lieu de chercher l'information, ils ne font que répéter des mensonges. Il faut etre objectif dans son choix par conviction et non par des sentiments
Tous les résidus des dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, suffoquent sous le régime parlementaire.
Les pays avancés ne font aucun seul pas vers l'arrière, malgré les gigantesques réussites de quelques légendaires parmi leurs politiciens. Le chancelier allemand Helmut Kohl, dont les réussites ne peuvent être comptées, a fini par être giflé et d'aucuns ne l'ont évoqué lors du gouvernement d'Angela Merkel. Une méthode efficace pour libérer le chemin devant tout successeur. Non pas comme chez nous en Tunisie. Nous faisons appel à un président de la République âgé de 90 ans, au lieu d'innover le pays, il remlit le palais de Carthage par les posters et les bustes de Bourguiba et passe 5 ans à nous parler de son père. Les autres candidats à la présidentielle, se préparent déjà à passer les prochaines 5 années à nous parler de leur père Béji Caïd Essebsi et de leur grand père Bourguiba. Rien de nouveau. Les faillites se transforment en succès et les Gourous nous gouvernent depuis leurs tombes.
Allah yehdi.
@hadou
Pour ceux qui n'ont pas compris désolé !
Un adage
Déjà deux candidats éliminés....
Tebessa
C'est tout
PROGRAMME Z'?RO ?