L’ancien membre d’Ennahdha, Lotfi Zitoun, s’est exprimé, mercredi 3 mars 2021, au sujet de la crise politique qui secoue le sommet de l’Etat tunisien, depuis plus d’un mois maintenant.
Invité de la Radio culturelle, il a évoqué la nécessité de repenser le régime politique actuel assurant que l’Etat ne peut être gouverné que par une seule tête.
Le politicien fait, ainsi, référence à la dualité entre, d’un côté, les deux têtes de l’exécutif et, de l’autre, la présidence du Parlement. La Tunisie est, rappelons-le, soumise à un régime hybride semi parlementaire – semi présidentiel.
Selon Lotfi Zitoun, le blocage actuel était prévisible en raison de l’existence de plusieurs failles structurelles. Il a avancé, dans ce sens, que depuis l’élaboration de la Constitution en 2013, on avait mis en garde contre la catastrophe qui pourrait se produire avec la répartition des pouvoirs entre trois présidences qui se débattent pour obtenir le plus de prérogatives possibles.
Interpellé sur l’initiative du dialogue comme issue à la crise, le politicien s’est dit pessimiste quant à l’évolution de la situation estimant que la mise en place de la Cour constitutionnelle – organe qui aurait pu jouer un rôle décisif dans le litige qui oppose les deux têtes de l’exécutif – ne se fera pas de sitôt.
Il a ajouté que le peuple devrait dire son mot au sujet du régime politique qu’il souhaite voir appliqué rejoignant ainsi la position de plusieurs politiciens qui ont appelé à un référendum sur le régime politique à adopter en remplacement du régime hybride actuel.
Lotfi Zitoun a indiqué, par ailleurs, que la loi électorale devrait, également, être révisée afin d’éviter une composition en mosaïque au Parlement notant les difficultés pour les deux plus grands blocs à l’Assemblée (Ennahdha et Qalb Tounes, ndlr) de gouverner ensemble de par l’écart idéologique.
N.J.
C'est vraiment gênant, alors que la liberté de chacun s'arrête quand celle d'autrui commence.
Monsieur Zitoun, il a le droit de s'exprimer de la sorte, dans la vie de chacun de nous on a le droit de se tromper et de revenir à la raison.
Un peu de sagesse pour rapprocher les tunisiens entre eux c'est beaucoup mieux que de s'entre déchiré......
A bon entendeur entendu...
Et pourtant, vous ne méritez que félicitations et congratulations !
Pourquoi ? Parce que les islamistes ont bien su faire main basse sur le pays. . . au vu et au su ( si ce n'est la complicité) des "Raad" & Cie.
MPP.
MPP.
Non, non, non ces arriérés musulmans, qui ne veulent pas se moderniser en mangeant de la viande porcine saignée, à la manière de Dracula. Ils cuisent leurs viandes et toutes leurs nourritures, jusqu'à l'ébullition, afin de leur éliminer toutes leurs bactéries de rues et de grues. Non, il faut séparer de nos politiques, cette religion musulmane qui a préparé tout un mode de vie aux Musulmans, depuis leur naissance jusqu'à leur mort, de loin avant l'invention des réfrigérateurs et des climatiseurs. Cette religion musulmane veut nous imposer son honnêteté et son humanisme, qui nous lèseront à notre merveilleuse politique matérialiste talmudique de capitalisme sauvage, où une seule personne possède plus que l'empereur César et tous les peuples de cette terre, meurent de faim et de pauvreté!!!
Bien que notre Lotfi Lènglize Bou Zitouna, ait vécu dans un régime anglais d'une monarchie royale parlementaire, il ne trouve pas encore les Tunisiens dignes d'un vrai régime parlementaire, qui barrerait la route une fois pour tout l'avenir de toutes nos futures générations tunisiennes, à toute possibilité d'un quelconque retour à la dictature et au despotisme. L'homme voit de ses propres yeux, comment le président Kaïs Saïed, abuse de la moindre prérogative pouvant lui donner le droit de s'imposer contre la marche de toute la République. Malgré tout, il veut nous faire comprendre que le régime présidentiel à l'image de Donald Trump, pourrait nous aider en Tunisie.
Ce Lotfi Zitoun est un grand traître contre la Révolution tunisienne et contre sa démocratie. Il est comme tous les autres qui n'ont pas trouvé leur place dans la vraie démocratie parlementaire tunisienne. Des criminels qui ne cherchent qu'à changer ce régime parlementaire en un régime présidentiel, afin qu'ils puissent s'accrocher de nouveau aux pantalons d'un autre Bourguiba ou d'un autre Ben Ali, comme le font à présent Samia et Mohamed Abbou avec les président Kaïs Saïed.
Ecrit par A4 - Tunis, le 29 Avril 2017
La première a vécu, a fait ce qu'elle pouvait
En partant de nulle part, en partant de zéro
Elle a été écrite dans un style pas mauvais
Par des battants, des guides et de vrais héros
La première a vécu, ça et là trimbalée
A coup de grossières retouches et de mises au pas
A coup de nouveaux décrets très mal ficelés
Fêtés à grandes pompes, à coups de tabla
La première a vécu avant de suffoquer
Avant de rendre l'âme, rejetée, piétinée
Elle a dû renoncer, tout lâcher, abdiquer
Ne supportant plus d'être à ce point malmenée
Puis vint la seconde ... de naissance déformée
Rédigée à la hâte par des handicapés
Aux neurones inexistants ou ... bien abîmés
Aux petites cervelles vides ou ... sous-équipées
Persistons ainsi avec ces textes archi-nuls
Ecrits par des bornés à la vue étroite
Ecrits par des gugusses aux idées ridicules
Qui vont nous découvrir que notre terre est plate
Moi, je la voyais belle, roulant comme un bolide ...
Me voilà dans un tacot sans volant ni frein
Me voilà emporté par des idées stupides
Où hélas personne ne peut décider de rien
Laissons la rouler, la descente est glissante
Elle finira pour sûr, sans illusion ni frime
A la fin de sa folle course harassante
Immobilisée et raide au fond de l'abîme
Il est temps de jeter cette seconde version
Version bancale qui ne tiendra jamais la route
Pour malfaçon et défaut de fabrication
Pour débilité menant à la banqueroute
Vivement la troisième, rédigée par des "chefs"
Loin de tous ces incompétents de populistes
Une constitution n'est pas une simple greffe
C'est une affaire de chevronnés et spécialistes !
M' enrichir l'esprit ? Par quoi et de qui ? Pour nous guider il nous faut des gens instruits et non pas des rebelles aux esprits plus plats et plus vides que le derniers des pauvres et vrais tunisiens.
Autant dire qu'il essaie désespérément et en vain de monter dans le même train qu'ont déjà pris beaucoup de tunisiens. . .
Il veut juste nous faire croire qu'il est avec nous. . . alors qu'il est resté définitivement scotché sur le quai !
Il vibrionne seulement dans la perspective des futures et lointaines élections présidentielles. . . comme le ferait un garnement sans le sou devant la vitrine du pâtissier !
MPP.
A plusieurs reprises beaucoup de commentaires ont été dans cette direction, c'est à dire que le pouvoir parlementaire ne fonctionnera jamais dans ce pays.
Monsieur Zitouni, à mis le doigt là où ça fait mal, et cela malgré son appartenance au mouvement Ennahdha.
La trilogie des pouvoirs actuelles c'est une cacophonie sans fin, et sans résultat concret.
Donc un référendum pour ou contre ce système, autre6c'est la mort subite pour ce pays qui ne mérite pas cette situation.
Et bravo encore, Lotfi Zitoun, MAIS GARE '? VOUS ARR'?TER EN SI BON CHEMIN...
TROP TARD, Lotfi Zitoun, TROP TARD !
Sa tardive pseudo conversion sent trop l'attrape-couillon pour y croire.
Zitoun est nu. . .sans l'appui de son parti obscurantiste !
Vous croyez qu'il a débarqué de son propre chef, et sans l'aval de son führer(*) du bateau islamiste qui prend dangereusement de la gîte ?
Si tel est le cas, c'est que les plus gros rats commencent à quitter le navire. . .
MPP.
(*) Zitoun, futur candidat des enturbannés ? Je suis prêt à parier !
C'est un comédien parmi tant d'autres (comme les abbou² par exemple).
Le rôle que lui a attribué son maitre ben ghannouch, est celui de jouer sur les deux bords, en prêchant le faux pour savoir le vrai.
Ya néss, ce gars est un khouwéneji et à jamais il le restera.
Méfiez-vous de ce serpent. Il a gouté au caviar.
Revenir aux merguez de bhim est hors de question.
Ces znouss vendraient père, mère et enfants pour ne pas perdre leurs biens mal acquis.
Mais hélas ! à lire les commentaires, nous sommes dans la minorité. . .
Les lapins fascinés par le serpent, gambadent encore. . . mais pas pour très longtemps !
MPP.
le pouvoir législatif, dévolu aux assemblées représentatives, édicte les règles,
le pouvoir exécutif, détenu par le gouvernement, exécute les règles,
le pouvoir judiciaire, assuré par les juridictions, règle les litiges.
Une trop stricte séparation des différents pouvoirs peut conduire à la paralysie des institutions
comme c est le cas de nos jours...et avec l absence d une cour constitutionnelle cela les complique davantage avec plus que la paralysie...c est le chaos general total...
Il faut eviter que le pouvoir exécutif va au-delà de son rôle pour s'assurer la mainmise sur les autres pouvoirs (nomination des juges, possibilité de légiférer....etc.). la societe civile doit s engager davantage pour mettre fin a ce chaos..
Ya complexé Saieb âalik nahdha qui t'a protégée n'a plus raison d'être.