Plusieurs internautes ont dénoncé, ce dimanche 16 février 2020, les déclarations d’Abdelkarim Harouni faites sur les ondes d’Express Fm accusant Mohamed Abbou d’entraver le processus de la transition démocratique en s’opposant au principe de l’union nationale.
En effet, Abdelkarim Harouni, président de la Choura d'Ennahdha, avait estimé que Mohamed Abbou, secrétaire général d'Attayar, avait obtenu un ministère d’Etat a sein de l’équipe Fakhfakh, ce qui est une erreur selon lui. « Et puis comment Mohamed Abbou peut faire partie d’un gouvernement avec des personnes suspectées de corruption ? Aujourd’hui, il fait partie d’un gouvernement excluant Ennahdha et voudrait le remplacer par des indépendant. Abbou n’est pas habilité à donner des leçons à Ennahdha et constitue un obstacle face à l’avancement de la transition démocratique et l’union nationale en Tunisie, puisqu’il accuse tout le monde de corruption ».
Ainsi plusieurs internuates et observateurs de la scène politique ont estimé qu’il s’agit d’un discours incitant à la haine, comprenant un appel à l’élimination physique de Mohamed Abbou, comme ce fût le cas en 2013, pour feu Chokri Belaïd.
Rappelons, également, que Mohamed Abbou avait conseillé au chef du gouvernement désigné Elyes Fakhfakh, de remplacer les ministres d’Ennahdha par des indépendants avant de soumettre son gouvernement au vote de l’ARP, et ce après l’annonce du mouvement de retirer ses candidats proposés à Elyes Fakhfakh pour la formation du gouvernement.
S.H
monsieur 404 existe encore chez nous à BN
Comment Mohamed Abbou peut faire partie d'un
gouvernement avec des personnes suspectées de crimes?Là vous avez raison,il faut éviter...
Said en nommant Fakhfakh a voulu sciemment conduire le pays au chaos .
En effet , Fakhfakh n'a aucune légitimité dans notre nouveau système de gouvernance.
Celui qui doit diriger le gouvernement doit être le leader d'Ennahda ou Qalb Tunes .
Le gouvernement doit être composé autour des partis gagnants.
Ceux qui sont compatibles avec sa doctrine sont des personnes honnêtes.
Ceux qui sont contre sont des corrompus.
Il veut pendre les 4/5 des hommes d'affaires.
Le reste n'est que de la débilité sur la toile
....relayer ces statuts est il vraiment du journalisme !
On ne trouve plus quoi lire ni quoi écrire. Une presse qui n'apprend même pas de sa propre faillite du dernier quinquennat. Une presse que seuls ceux qu'elle a dénigrés, ont réussi aux dernières élections présidentielles et législatives de 2019. Tous ceux qu'elle a soutenus contre la volonté du peuple tunisien, se trouvent en hors-jeu. Malgré tout cet échec cuisant, cette même presse ennemie jurée des Abbou, se transforme en leur berceau de bébé, lorsqu'ils se trouvent en hostilité avec Ennahdha. Une presse qui remplit ses pages par les symboles de la faillite et de la répudiation populaire en Tunisie. Depuis Miss Piggy en passant par Borhèn Bsaïes, jusqu'à Yassine Brahim et Mohsen Marzouk. Tous ceux qui ont échoué dans les urnes démocratiques, trouvent leur place dans une presse irresponsable, qui a transformé les journalistes tunisiens en la risée de l'opinion publique nationale et internationale. Un métier sans professionnalisme ni compétence.
Allah ghalèb.
s opposent a leur tentavie de faire du futur gouvernement, un gouvernement d Ennahda et de Qalb Tounes avec Fakfakh comme facade, ils ne mobilisent donc pas les sophistiques El Mekki ou Dilou, mais plutot les artilleurs grossiers et vulgaires tel que Bhiri et Hamrouni , dont les interventions vont contribuer a aider a faire ce que Bourguiba, Ben Ali et Essebssi ont voulu, mais jamais reussit a faire, eradiquer Ennahda, chose que les electeurs vont faire democratiquement a travers les elections.