Pour protester contre les agressions répétées et contre les campagnes d’incitation menées contre eux ainsi que pour défendre la liberté d'expression et de la presse, plusieurs rassemblements de protestation ont été organisés, jeudi 14 octobre 2021, à travers la République par les journalistes.
A travers leurs actions, les journalistes appellent à les écarter des conflits politiques et à les laisser travailler librement dans la dignité sans entraves.
Plusieurs slogans ont été levés pendant ces manifestations notamment : « la liberté de la presse est une ligne rouge », « Le quatrième pouvoir et non pas un pouvoir soumis », « Non aux agressions perpétrées contre les journalistes », « Non à la répression des libertés », « Free press », « Presse indépendante ».
« Média libre, presse indépendante », « Liberté à la presse tunisienne »
A Sfax, les journalistes ont scandé : « Le journalisme libre, libre… non au ciblage » et « non au bâillon, non à la diffamation ».
A Kasserine aussi, les journalistes ont protesté devant le siège de Radio Cillium Fm.
Le président du SNJT, Mohamed Yassine Jelassi, a pris la parole pour indiquer que ce rassemblement vient pour exprimer la colère des journalistes et refus des agressions perpétrées. Un sit-in solidaire avec tous les journalistes agressés et pris pour cibles par des gens qui ne croient pas à la liberté d’expression et de la presse et ne croient pas à la différence de l’opinion.
Et de noter que les partis politiques et les parties au pouvoir croient que les médias doivent être à leurs services et faire leur propagande. Et de marteler que les journalistes doivent être unis en cette période délicate de notre histoire. M. Yassine a rappelé le militantisme des journalistes qui ont poursuivi leur travail malgré les difficultés.
Rappelons que ces rassemblements ont été décidés par le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT).
I.N
Ils frappent les premiers. Ils pleurent les premiers et ils protestent les premiers. Par leur partialité journalistique suivant leurs intérêts personnels, ils nous détruisent toute la crédibilité requise pour ce marché médiatique minuscule et restreint, de la Tunisie.
En Allemagne, les agences de presse pullulent, dans un gigantesque marché médiatique. Ce sont ces agences de presse qui embauchent les journalistes. Les journaux s'abonnent chez elles à moindre coût. Les journaux n'ont besoin que de journalistes locaux.
Chez nous en Tunisie, tout le monde joue à l'intéressant, avec des poches troués, dans un désordre médiatique suicidaire. Chacun fait le Maître et le Maître, ne cherche qu'à survivre.
Allah yostir Tounes.
Les 7ommas et vendeurs de poissons .. ont bien manifesté contre la dictature mais nos journalistes se masturbent encore de la recevabilité d'un paragraphe 80 de la Constitution ?
Manifestement, cette bande de fainéants et d'antipatriotes n'a que leur intérêt en tête : Bref, ce ne sont que les journalistes d'un petit pays du tiers monde.....
N'aviez-vous pas honte d'appartenir au groupe professionnel des journalistes et des pseudo-intellectuels ?
Maintenant s'être tu pour contribuer au dévoilement des commanditaires des assassinats de Feus Chokri Belaid, Mohamed Braham, Ben Mrad, Lotfi Naguedh et autres gardes presidentiels de Beji Caid Essebsi qui a emporté plusieurs secrets relatifs à nahdha.
Si vous avez des preuves des assassinats politiques en Tunisie, écrivez-nous vos preuves ou mieux, envoyez-les à la justice, qui est entre les mains de M. le Président Kaiis Saied depuis déjà trois mois. Vous pouvez également envoyer vos preuves aussi à la justice militaire.
S'il vous plaît, arrêtez de nous ennuyer avec ces histoires.
PS: comme vous, je n´aime pas de tout Ennahdha.