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Le porte-parole de « Soumoud 2 » : Le gouvernement nous a tourné le dos !
03/12/2020 | 15:06
2 min
Le porte-parole de « Soumoud 2 » : Le gouvernement nous a tourné le dos !

 

Le porte-parole du mouvement « Soumoud 2 », Aymen Jemaï, est intervenu, jeudi 3 décembre 2020, sur Mosaïque FM, pour revenir sur les mouvements de protestation survenus à Gabès ainsi que les principales revendications.

Une séance préliminaire devrait se tenir lundi prochain réunissant  la coordination du mouvement « Soumoud2 » et une délégation du gouvernement, selon Aymen Jemaï.

Le porte-parole du mouvement « Soumoud 2 » a indiqué que face à la « dégradation de la situation », la coordination avait annoncé la réouverture de l’usine de Gaz pour ravitailler les régions qui connaissent une pénurie de gaz. 

« L’usine de gaz à Gabès assure 46% de l’approvisionnement de toutes les régions du pays. C’est pour cela que nous avons décidé de permettre la reprise de l’activité de l’usine pour ne pas entraver les intérêts des citoyens », a-t-il précisé.

Et de poursuivre : « L’Union régionale de travail soutient les protestations à travers les communiqués publiés. Ceci permet de transmettre la voix des manifestants. Nous revendiquons l’emploi et le lancement des projets retardés. Le Conseil des ministres avait décidé de recruter 541 chômeurs par le groupe chimique mais nous n'avons encore rien vu de cela. Le groupe chimique comporte des sociétés privées qui pourront aussi recruter les chômeurs », a-t-il souligné.

Aymen Jemaï a fait savoir que les revendications concernaient principalement le recrutement immédiat des chômeurs par le groupe chimique, la société de jardinage et la mise en œuvre de la société de maintenance. Les manifestants demandent également le lancement des projets dans la zone de Chatt Hamrouni, selon M. Jemaï.

Par ailleurs, le représentant de la coordination a fustigé le manque d’intérêt du gouvernement envers la région et la marginalisation du "dossier" de Gabès.

Une grève est tenue, depuis le 13 novembre, par des jeunes chômeurs de la région de Chott Salem devant les locaux du Groupe chimique de Gabès. Cette grève a bloqué l’accès aux locaux du GCT.

Un Conseil des ministres, dédié au développement de la région de Gabès, devrait se tenir mardi 8 décembre. 

 

I.M.

03/12/2020 | 15:06
2 min
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Commentaires
VIAN
DIGITALISATION DE LA CUEILLETTE DES OLIVES
a posté le 03-12-2020 à 21:56
Là ou le monde connait une crise liée aux grandes transformations liées à une mutation des moyens de productions et à la raréfaction des richesses naturelles due à plusieurs décennies de surexploitation, la Tunisie pourrait devenir un nouveau modèle du développement durable tout en préservant la nature et en éradiquant l'ignorance. La Tunisie compte pas moins de 700 milles fonctionnaires dont les deux tiers sont payés pour ne rien foutre. Il suffit de faire un tour dans les bars, les cafés et les mosquées aux alentour de 14 heures. Tunisair a inventé le télétravail bien avant le monde occidental; la moitié de ses 8000 salariés restent à domicile en pianotant sur leurs mobiles , bien que leurs efforts sont à comptabiliser pour le compte des réseaux sociaux, les recettes de cuisine et les films de cul entre autres. De l'autre coté, il y aurait autant de tunisiens qui jalousent les premiers et ne rêvent , quand ils n'ont pas les moyens de prendre le large, que d'avoir les mêmes privilèges; c.à.d. être payés à rien foutre jusqu'à la retraite et si possible de transmettre le poste aux ratés de leurs progénitures (STEG, SNCFT, CTTM etc...). Néanmoins, on ne peut plus continuer dans cette voie, tant les bailleurs de fonds qui nous prêtaient de l'argent pour faire tourner cette affaire se sont rendus comte de l'arnaque. On leur a vendu que la Tunisie a réalisé une révolution et qu'on est en train de finaliser une longue et dure transition démocratique '(qui peut durer 50 ans) et surtout que le tunisien deviendrait un honnête bosseur comme l'européen ou le chinois . Il ne reste plus qu'a compter sur soi. La meilleure solution est de partager la poire en deux, entre les deux catégories. Il faut recruter les chômeurs pour les travaux de jardinage et ils doivent être surveillés et supervisés par le première catégorie. Les revenus seront partagés en deux. Cette fois ci il y aura des vrais travaux de jardinage dans tout le pays sous le contrôle de l'armée. La question qui se pose maintenant, comment trouver les fonds nécessaires pour les payer? Une partie de ces fonctionnaire sera affectée à lever les impôts ou plutôt racketter les contrebandiers, les juges corrompues, les agents de l'ordre et les douaniers ripoux, les concessionnaires rentiers, les propriétaires des cliniques privées qui surtaxent les services, les hôteliers qui empruntent l'argent sans jamais le rendre et la liste est longue, et pourquoi pas racketter les touristes sexuels algériens et libyens. On pourrait ausssi mobiliser des fonds aures de la classe poltique et la societé civile et de se qui gravite autours de ces br
A4
Soumoud 3
a posté le 03-12-2020 à 17:40
Pourquoi n'exiger que MILLE postes dans la société de jardinage alors qu'on peut y créer UN MILLION de postes ?
raouf
Laisser les gens travailler et foutez le camp.
a posté le 03-12-2020 à 16:25
A mon avis, le gouvernement doit, non pas vous tourner le dos mais vous mettre en taule pour cause de perturbation du fonctionnement des entreprises chose vitale pour la vie des Tunisiens.
aldo
==== tête de l'emploi ====
a posté le 03-12-2020 à 15:47
tout en douceur - yahchi fih --- MEFIONS NOUS DE CES CRAPULES ! et les suivrent à la trace , sont des explosifs mobiles .