Il n'y a aucun riche qui donnera sa fille à un pauvre, devrait AUSSI être inscrit comme raciste alors ?

Alors que cette femme est tout simplement pas intelligente.

Son QI et pour être gentil avec elle, il n'excède pas les 50 points.

Elle est investie par une sorte d'ânerie "B'HAMA" comme la fameuse MARIEM EDDABAGH et c'est pour cette raison qu'elle fait pitié.

Vous finirez tous par occuper un trou qui, à terme, disparaitra à jamais.

Ces médias de Moïse, sont créés pour la destruction de l'Islam en Tunisie. Celui qui les prend au sérieux, n'est qu'un débile qui ne s'y connaît pas dans les méthodes talmudiques intrigantes contre nous les Arabes et les Musulmans. Toutefois, il faut quand même s'arrêter un peu devant ce phénomène de ruraux, du fond profond de nos montagnes et de nos oueds tunisiens, qui nous jouent aux "Francisés" aux alentours des Mènèzah, des Manars et des Lacs. Un phénomène déjà répudié par leurs propres familles d'origine. Un comportement artificiel, qui dérange le naturel millénaire, imprégnant la capitale Tunis. Sans pour autant qu'on n'ait la nécessité de nous incriminer ni les uns, ni les autres.
Lorsqu'on entre dans la même Mosquée, personne ne demande à l'autre d'où il vient et où il va. Mais néanmoins, ce sont ces mêmes hurle burlés qui crient au scandale de tels propos individuels sans la moindre importance, sur les ondes d'une radio sans la moindre importance, que je n'écoute presque jamais, qui ont la mauvaise habitude de demander à n'importe qui, d'où il vient. De mon côté, je n'ai jamais demandé à un Tunisien de quelle région il vient, parce que cela ne m'intéresse pas le moindre, du moment que je ne m'y connaisse pas avec les régions de la Tunisie. Par contre, lorsque je leur réponds que mon père vient de Halfaouine et ma mère de Bab Jédid, ils me disent : «non, non, ton origine», comme si Tunis la capitale était vide et n'avait pas d'habitants d'origine, avant la création de sa ceinture urbaine.
Qu'on en parle ou qu'on n'en parle pas, ça demeure une futilité dans cette merveilleuse population tunisienne, qui s'épouse de Bizerte à Ben Guerdane sans la moindre restriction. Un phénomène qui nous interdit n'importe quelle querelle profonde et n'importe quelle forme, de guerre civile fratricide.
Vive la Tunisie. Vive l'Islam. A bas les ennemis de la Tunisie musulmane.

Depuis toujours il y a eu du régionalisme en Tunisie ....un jerbien ne se mari qu avec une jerbienne ...un sfax avec une sfaxienne ....et pour une fois une tunisoise crie tout haut ce que tt le monde le dit en cachette ....a Tunis nous avons ras le bol de l Exode rural ...Tunis n en peux plus ...il suffit de passer par la rue d Espagne pour voir l étendu de la situation .... pourquoi chacun ne reste pas dans sa ville et point à la ligne

Cette idiote passait donc mosaique en direct et la station n a rien pu faire. Laissons la parler Cette femme ne sait pas que ses enfants ne lui demanderont pas son avis au moment ou ils décideront de se marier

Bien au contraire, il fallait la laisser s'exprimer librement quitte à déverser sa haine envers une partie des citoyens tunisiens. Maintenant c'est à la justice et police de recourir aux fadettes téléphoniques de cette dame afin d'éclairer la situation et de l'inculper de racisme envers autruits.

Vous êtes entrain de détourner, cette situation économique, sociale et cette gabegie totale des villes en haine contre les régions. Or que ce problème est purement politique, la politique des terres brûlées adopté par un certain nakba. Cest tout ne cherchez midi à 14h00.

Nous faisons tous semblant de vivre en harmonie , alors que les fractures sont profondes et les dégâts irréparables.

La Tunisie telle qu'elle s'est édifiée depuis 600 ans existe- t'elle encore ? Cette question est centrale déterminante même pour notre avenir et savoir-vivre ensemble même si nous faisons tous semblant encore de vivre en Tunisie

Tout en condamnant de manière absolue encore une fois les propos et attitudes discriminant les tunisiens au seul motif de leur région d'origine on est oblige de constater l'incroyable dislocation désintégration de la société tunisienne suite notamment-mais pas seulement- a l'exode rural anarchique qui a généré une régression psychosociale civique culturelle identitaire inconcevable inimaginable il y a trois décennies a peine

c'est un effondreement inedit depuis l'invasion benihilalienne et il faut l'ecrire

plus d'un MILLION de Tunisiens ont fui leur patrie a cause de l'exode rural anarchique : les localites cotieres du Sahel de Sfax de la region de Bizerte du Cap Bon ont vu plus du deux tiers de la population de souche emigrer

il y un desequilibre societal et une rupture identitaire lourde de conflits futurs notamment au sahel et dans la région de Djerba

Je le répète une enieme fois parce que c'est le fait principal qui s'impose a tous et que tous dénigrent et fuient de maniere infantile : Ce pays n'est plus un pays et cette nation n'est plus une nation ; c'est une cour des miracles et plus précisément un campement de vagabonds sans identité sans mémoire et sans but d'ailleurs

La disparition de l'inestimable patrimoine zeitounien véritable colonne vertébrale du patrimoine civilisationnel de ce pays a conduit a un nivellement atroce de notre société ou désormais l'ignorance le dispute a l'obscène a la malséance au comique même

Chachiet hadha ala rass hadhaka ; avec pour conséquence immédiate la liquéfaction de la Tunisie

Ce conglomérat de clowns bédouins de zombies indigents qui fait désormais office de société tunisienne continuera sa désintégration pendant les décennies a venir

Est ce que au bout de ce processus d'anéantissement collectif surgira un corps sociétal viable rien n'est moins sur

Les mariages entre personnes de différentes régions sont beaucoup plus fréquents que dans le passé surtout dans les grandes villes. Lex chefs-lieux des gouvernorats sont devenus des lieux de rencontre et de brassage entres les villages et petites villes d'une même région. Les conditions d'éducation, formation et travail font qu'on assiste à une mixite régionale plus importante que dans le passé où les villages étaient isolés les uns des autres. La mixité sociale entre des couches sociales différentes est en revanche plus difficile vu la séparation entre les cartiers des grandes villes et la prolifération des écoles privées.
Pour encourager la mixité sociale, il faut planifier des villes pour avoir des infrastructures communes pour des personnes appartenant a des couches différentes, par exemple des jardins d'enfants et des écoles communs. Dans certaines villes européennes, on impose la mixité sociale en imposant l'habitat sociale dans une proportion dans les nouveaux quartiers. On trouve des villas coexister avec des appartements de luxe et des appartements sociaux et des infrastructures communes (espaces verts, écoles, jardin d'enfants, salle de sports etc.).