Les dirigeants d'Ennahdha ne parviennent pas à se défaire de leur référentiel religieux, leur prosternation à la suite de l’annonce des résultats des sondages sortie des urnes ne peut qu’en témoigner.
Un geste fort en symbolique initié par le cheikh, Rached Ghannouchi pour remercier le bon Dieu pour une victoire de justesse, qui en dit long sur l’idéologie islamiste ancrée d'Ennahdha.
En attendant les résultats définitifs de l’Isie, les Nahdhaouis savourent leurs succès, tout en réfléchissant à la stratégie à adopter dans l’étape venir tenant compte de la complexité de la carte parlementaire qui se présente.
Les dirigeants d'Ennahdha ne parviennent pas à se défaire de leur référentiel religieux, leur prosternation à la suite de l’annonce des résultats des sondages sortie des urnes ne peut qu’en témoigner.
Un geste fort en symbolique initié par le cheikh, Rached Ghannouchi pour remercier le bon Dieu pour une victoire de justesse, qui en dit long sur l’idéologie islamiste ancrée d'Ennahdha.
En attendant les résultats définitifs de l’Isie, les Nahdhaouis savourent leurs succès, tout en réfléchissant à la stratégie à adopter dans l’étape venir tenant compte de la complexité de la carte parlementaire qui se présente.
Le vote est un moyen d exprimer sa pensee ds les grandes democraties .chez nous la confiance est rompue et s exprime par la fuite .il y a encore du travail a faire pour prendre conscience de l importance du vote sanction .les electeurs khouanjias sont plus mobilises que les democrates avec des moyens humains et financiers.
Les electeurs ont vote pour des courants et non des programmes.les khouajias wahabites ont utilise tous les moyens de manipulation ds nos mossquees zeitouniennes financees par nos impots
@ Gg
Pour vous éclairer, je vais vous expliquer succinctement la procédure :
1- Nahdha - classée première aux élections sauf si elles aura des listes annulées par l'isie , l'ordre pourrait changer -- ,
Nahdha choisira parmi ses adhérents par exemple Ali Layredh - il est expérimenté comme prisonnier et aussi comme chef de gouvernement et le présenté au Président de la République pour entériner la décision.
Le Président de la République a le droit de refuser cette proposition et Nahdha lui proposera un autre .....
Donc, C'est le parti qui a le plus grand nombre de membres qui a le droit de choisir le candidat au poste de "" chef de gouvernement """.
Que se passe t- il si le Président de la République refuse tous ces candidats proposés Là, je ne sais pas.
Pour le moment , si Nahdha pourrait former un gouvernement, ke chef de gouvernement ca être ::: Ali Layredh ou Chahed.
2- Si Nahdha ne pourrait pas former le gouvernement , C'est à dire même avec les alliances avec d'autres partis , elle n'arrive pas à rassembler au moins 109 membres et plus correctement- environ. 120 membres pour être majoritaire et pouvoir statuer et prendre des décisions au sein de l'ARP, alors après au maximum 1 mois , le Président de la République désigné une personnalité qu'il choisit lui même pour former le futur gouvernement.
Remarque : Vous savez comment les alliances-- en fait très difficiles en Tunisie-- sont faites , car elles sont régies non pas par "" patriotisme , intérêt de l'état,...intérêt général "", mais par "" donnons- donnons "" cad , je m'allie ti me donnes au moins un poste de ministre .
DONC, il y a un risque majeur à courir que Nahdha ne pourrait pas former un gouvernement.......et de nouveau, "" la faucille sera coincée dans la gargoulette "" ,mais là au moins il y a une solution technique , pour Nahdha et formation gouvernement, il y aura aussi d'autres solutions politiques .
Imaginons un instant que le prochain président n'ait pas envie d'un premier ministre nahdaoui.
Est ce que la constitution lui interdit de choisir un PM dans un autre parti, non majoritaire? D'autant que Nahda n'aura pas la majorité absolue...
Vous dites "Bref, la Tunisie est laïque et aucun parti n'a le droit d'utiliser l'islam pour arriver au pouvoir".
Faites attention à vous, ils en ont égorgé pour moins que ça!
Cher monsieur , vous vous placer de l'autre côté de la barrière pour faire part de cette confusion importante que vous portez entre l'islam et musulman .
L'islam.est un.ensemble de préceptes qui décrit des situations très importantes et les qualités que devraient imprégner un musulman. Interdit de voler , de causer de dégâts aux autres quelsque supérieur degré et leurs natures, interdit de torturer, de mentir, de faire des agressions, ..
....
Bref, de faire du mal à n"importe qui .
Malheureusement, votre liste énumère des défauts inconcevable pour des "" faux musulmans "" , heureusement sont très peu nombreux.
Ces actions décrites que les musulmans dénoncent, malheureusement qu'elles persistent chez quelques musulmans bien que ce sont interdites par l'islam.
Un musulman non appliqué continue à faire des bêtises de ce genre .
Bref, vous parlez de la communauté internationale, pourtant moi j'agis localement à travers un conseil de ne pas se moquer de quelqu'un qui fait la prière --- attention ma remarque concerne des partis politiques en Tunisie tous des musulmans les uns appliqués et les autres non , car ceci augmente les sympathisants de Nahdha que les gens croyaient qu'ils appartiennent à cette catégorie de musulmans appliqués et ces actes pourraient réduire le nombre de sympathisants des partis concurrents .
Je veux dire que l'islam en Tunisie est pour nous tous et Nahdha n'est pas responsable de l'islam.
Bref, la Tunisie est laïque et aucun parti n'a le droit d'utiliser l'islam pour arriver au pouvoir .
Les Nahdhaoui auraient, dans le meilleur des cas, l'équivalent de 8% des inscrits. Deux électeurs sur 5 ont participé au scrutin, ce qui en dit long sur la défiance ou le rejet. Y compris de Ennahdha qui ne retrouve pas le plein de ses troupes, réputés disciplinées.
Défaite de l'expérience démocratique et preuve que la proportionnelle intégrale est un mode de scrutin peu efficient. Il favorise la segmentation qui est amplifiée par l'effet de nombre de pseudo partis.
Voilà le pays ingouvernable, et en danger. Car, les islamistes sont les ennemis du pluralisme, et ne s'y résolvent que faute de tenir une majorité à eux seuls. Et, même dans un tel cas, leur hégémonisme les pousse à vouloir tout infiltrer et mettre sous contrôle.
Pourtant, il y aurait une majorité alternative compte tenu des projections anancées. Sans doute aussi chamarrée que celle possible pour les islamistes, et tout autant compliquée à rassembler.
Il suffit que le Président nomme un futur Premier autre que Nahdhaoui.
Sinon, la Tunisie peut dire adieu à ses rêves.
