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Kamel Akrout : le prochain président doit être calme et posé
20/08/2019 | 14:23
2 min
Kamel Akrout : le prochain président doit être calme et posé

 

L’Amiral Kamel Akrout, premier conseiller à la sécurité nationale auprès du président de la République a précisé que la première priorité de la Commission nationale de lutte contre le terrorisme (CNLCT), en rapport avec les Tunisiens revenus des zones de conflits, était la prévention.

Une procédure qui fait participer plusieurs éléments à l’instar de la société civile, en plus des dispositifs sécuritaire et militaire.  

 

Invité de Midi Show sur Mosaïque FM, ce mardi 20 août 2019, M. Akrout a cependant précisé que cette stratégie était, comme toute autre, « perfectible et rectifiable » et que ce rôle incombait à la CNLCT.

 

M. Akrout a, par ailleurs, souligné que les Tunisiens revenant des zones de tensions passent systématiquement et obligatoirement par la justice, en premier lieu. Ils seront, également, isolés une fois incarcérés en vue de ne pas influer sur les autres prisonniers. Et d’ajouter que ces individus doivent, par la suite, être réhabilités et « déradicalisés » pour leur réinsertion sociale.

 

L’Amiral Kamel Akrout a, de surcroît, relevé que depuis 2012, il a été prévu de mettre en place une agence de renseignement dans le but d’assurer la coordination entre les différents organes de renseignement tunisiens.

Sur un autre plan, Kamel Akrout a décrit les principales qualités que doit avoir le prochain président de la République. Il a ainsi déclaré que le prochain président ne doit pas se précipiter et être calme. Il a également ajouté que le président doit écouter ses conseillers mais décider seul. Enfin, il a souligné la nécessité qu'il y ait de bons rapports de coopération entre Carthage et la Kasbah pour l'intérêt du pays.

 

B.L

 

 

20/08/2019 | 14:23
2 min
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Commentaires (17)

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CESARIOS
| 21-08-2019 13:55
A cette pérode plus précisément, notre grande calamité est économique et sociale, parmi les composantes de la sécurité NATIONALE , la sécurité économique et sociale de notre chére TUNISIE qui doit étre du ressort de parmi les prérogatives du PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, d'où alors on doit primer cette préférence, cette priorité, notre prochain PRESIDENT est impérativement avoir une formation dans ce domaine, collaborer efficacement et consensuellement avec le chef du gouvernement à l'instauration d'une vision et d'un certain programme qui est le proche possible de remédier méme progressivement à notre situation économique et sociale trop désastreuse et qui est sur les bords du dégringolade à la banqueroute , à la faillite, à la gabegie , au désordre et aléatoirement au soulévement populaire

Wednesday
| 21-08-2019 09:45
"Wallahi" le plus important pas calme et posé (et en même temps bête par exemple), mais plutôt "Dmègh" , intelligent, et surtout compétent et efficace; voilà comment doit etre le Président!

Le moineau
| 21-08-2019 09:37
Bourguiba était un beau parleur. Une qualité dont on ne peut se passer. Parler vrai, parler tunisien, c'est le garant de la réussite, la clé de la légitimité. Sinon comment garantir la symbiose avec les citoyens ?

Despote '?clairé d
| 21-08-2019 07:50
Le Président doit être bien entouré. Ce n'est pas évident mais il le faut absolument (Allah yerham BCE).
Toutefois, en temps normal un Président se doit d'être calme et avoir le sens de l'écoute. Mais par les temps qui courent, notre prochain Président doit absolument être exceptionnel. Renverser la table à la gueule des faux jetons. '?pingler les faux démocrates qui ont desservi le pays. Dégager les charlatans du ciel.
Et surtout ne donner la parole qu'à ceux qui ont de valeur à ajouter. En un mot stopper la dégradation et agir en faveur d'une politique déterminée pour la réduction des inégalités.
Rappelons-nous ! Bourguiba a beaucoup donné à la Tunisie, et notamment dans le domaine de l'éducation. De tous les tunisiens de l'époque, il était le seul Non Démocrate. Le livre d'abord, la Culture avant tout. Pour ne pas se faire avoir à nouveau. Il avait cette foi irréfragable dans l'homme averti, cultivé ancré dans son identité. Il n'était pas parfait et il ne pouvait pas l'être mais il a laissé son empreinte.
Notre prochain Président se doit de faire admettre aux tunisiens qu'il est absolument indispensable de re-tricoter tout ce qui a été detricoté depuis 1987. De l'inscrire dans la devise chère à Einstein " Il ne s'agit pour d'être un homme à succès ; essayer plutôt d'être un homme de valeurs".
Il va sans dire que cette vision passe par la lutte contre " la religion du profit " au profit de la Culture. Le reste viendra.

Citoyen_H
| 20-08-2019 22:55
"il a été prévu de mettre en place une agence de renseignement dans le but d'assurer la coordination entre les différents organes de renseignement tunisiens."

Mr Akrout, avez vous mis au courant sihem bensedrine, celle qui, v, disloqua nos services de renseignements en une fraction de seconde.
Je vous préviens, vous allez vous attirer les foudres de cette experte en désinformation et en diffamation.

Les buveurs de pisse de chameaux ne doivent pas être content, non plus.
Là vous jouez avec leur insécurité.
Bon courage



Citoyen_H
| 20-08-2019 22:45
Vous avez bien fait de nous le rappeler.
On pensait élire un illuminé ayant le profil d'un sociopathe traitre, correspondant au plus provisoire des provisoires que l'humanité connu, marzougui, ou un très dangereux psychopathe, issu des recherches fondamentales d'AREVA, à savoir le réacteur nucléaire de haine et de complexe, abbou le prétendant, n'ayant même pas été capable de conserver un petit cahier contenant une toute petite suite d'additions.
Je ne vous dit pas le carnage qu'il générera, si on lui confiait la comptabilité nationale.

jbéli ben "préparatation" et laarayedh mardouma nous avait fait à l'époque une très belle démonstration des tables de soustractions.
Et hop, une pièce dans la poche de droite, deux autres pièces dans la poche de gauche, trois autres pièces dans la poche arrière droite, quatre pièces dans la poche arrière gauche, et zéro pièce dans la petite tirelire affectée l au peuple.

Majorité silencieuse
| 20-08-2019 19:56
La Tunisie, à ma connaissance, n'est en guerre avec aucun autre pays. N'ayant envoyé aucun corps expéditionnaire combattre en Syrie, en Irak ou ailleurs, la Tunisie n'as pas à accueillir ces mercenaires qui, endoctrinés ou non, sont partis, illégalement, livrer combat dans des pays amis. Ce n'est pas des héros qui reviennent dès champs de bataille, qu'il est de nôtre devoir d'honorer, mais bien des hordes de lâches criminels terroristes, partis semer la terreur et la mort parmi les populations civiles et qui, par conséquent, sont, indéniablement dangereux pour notre sécurité. Il est assurément naïf et inconscient de croire que l'on peut réhabiliter et déradicaliser ce genre d'individus, en vue de leur réinsertion sociale. Sachant que notre modèle de société est celui qu'ils combattent, rien ne garantit la sincérité de leur repentir. On ne peut, consciemment et moralement, envisager, sauf cas de légitime défense, devenir tortionnaire ou criminel si l'on n'a pas de prédisposition à la violence, qui, pour beaucoup d'individus l'ayant côtoyé ou exercé, devient une addiction. Et comme pour toute addiction, la récidive n'est pas à exclure. Une surveillance, même accrue , ne peut nous assurer une efficacité sécuritaire sans faille, étant donné que ces individus, sous contrôle judiciaire même équipés de bracelets électroniques peuvent communiquer ensemble par l'intermédiaire de complices (familles, amis ...) qui peuvent, eux par contre, échapper à la vigilance des autorités. Le coût de telles mesures, à supporter encore par le contribuable déjà fortement imposé, ainsi que le temps consacré à la surveillance de ces individus pourraient mieux servir dans la lutte contre le terrorisme (cellules dormantes, nos montagnes et frontières).En s'infiltrant clandestinement et en toute illégalité dans des pays souverains, ce contingent de mercenaires islamistes d'origine tunisienne, en commettant les crimes les plus barbares, ont porté préjudice à l'image de la Tunisie. Ceci devrait être considéré comme un acte de haute trahison et devrait être fermement sanctionné en incitant et en soutenant les autorités des pays victimes de terrorisme en leur laissant le soin de juger et de condamner à des peines les plus sévères allant jusqu'à la peine de mort. Ces monstres, en prenant les armes, étaient conscients des risques auxquels ils devraient faire face et doivent assumer leurs actes.

Mansour Lahyani
| 20-08-2019 19:20
Si cette recommandation de K. Akrout devait avoir force de loi, bien des candidats, trop agités du bocage, seraient automatiquement exclus de la course ! Je vois notamment un ex-très très provisoire et bien trop engagé envers Qatar qui doit avoir les oreilles qui sifflent douloureusement...

Zohra
| 20-08-2019 17:15
Et nous on demande un jeune dynamique, avec diplomatie jeune innovente, pour instaurer un bon dialogue intergénérationnel entre les pays.

On a marre min zir elmteki la ykhalik la ybaki

MFH
| 20-08-2019 16:27
Calme et posé, surtout ne pas provoquer la colère de l'une des parties. Faire en sorte que lorsqu'un oeuil voit, l'autre reste fermé. Tout à fait comme en ce moment avec Ennahdha.... Jusqu'à l'éclatement..
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