Le mariage de la carpe et du lapin

Il lui a dit :
- tu as 48 h pour faire dégager tes rigolos de la vanne du pétrole et de la seka du phosphate après ce delai j'envoie Hercule nettoyer les écuries et je vais leur chier dans les bottes a tes fartass
C'est comme qu'il leur a parle à ces figues

MDRRRRR Méchichi tu négocie avec la véritable gouvernance du pays ? Ceux qui controlent cette république bananière ? les *** et les puissances étrangères ?
Si on pose la question a Méchichi en lui disant 'hey Méchichi t'es qui enfait ? c'est quoi ta fonction ? ' Le gars il va répondre un truc du genre 'Walahi je suis juste chef du gouvernement officielle ya louléd j'ai pas de pouvoir, au dessus de moi y'a le vrai gouvernement non officielle, celui des *** excusez moi svp je dois y aller mon supérieur hiérarchique du gouvernement parallèle m'appelle, tchao !"

Evade fiscal, condamne a 18 mois de prison pour atteinte a la magistrature en 1er instance, s arroge l opportunite de sieger parmi les invites du 1er ministre pour conseiller le chemin de la delivrance du pays

Et comme dit notre fameux proverbe "Chercher du miel au cul du Farzazou" ou l'autre adage "traire un taureau"
Ness bekri 'les anciens) disaient aussi ne te souille pas avec l'avoine au risque d'être picoté par les poules.
D'autres plus méchants diraient "Dis moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es"

Je te conseille de voir d autre réseaux sociaux car a BN tu ne trouvera pas le prince charmant que tu cherche très longtemps.

C'est plutôt "mystère et boule de gomme" mon ami !

A ne plus rien y comprendre !

Normalement, Mechichi doit savoir (il est l'ex. ministre de l'intérieur) que la place de ces mecs est la prison.
Maintenant tapis rouge.
Ahh ces temps de merde. A quand la fin de ces années Ijaf

L'Aigle et le Chat-huant leurs querelles cessèrent,
Et firent tant qu'ils s'embrassèrent.
L'un jura foi de Roi, l'autre foi de Hibou,
Qu'ils ne se goberaient leurs petits peu ni prou.
Connaissez-vous les miens ? dit l'Oiseau de Minerve.
- Non, dit l'Aigle.- Tant pis, reprit le triste Oiseau.
Je crains en ce cas pour leur peau :
C'est hasard si je les conserve.
Comme vous êtes Roi, vous ne considérez
Qui ni quoi : Rois et Dieux mettent, quoi qu'on leur die,
Tout en même catégorie.
Adieu mes nourrissons si vous les rencontrez.
- Peignez-les-moi, dit l'Aigle, ou bien me les montrez.
Je n'y toucherai de ma vie.
Le Hibou repartit : Mes petits sont mignons,
Beaux, bien faits, et jolis sur tous leurs compagnons.
Vous les reconnaîtrez sans peine à cette marque.
N'allez pas l'oublier ; retenez-la si bien
Que chez moi la maudite Parque
N'entre point par votre moyen.
Il advint qu'au Hibou Dieu donna géniture,
De façon qu'un beau soir qu'il était en pâture,
Notre Aigle aperçut d'aventure,
Dans les coins d'une roche dure,
Ou dans les trous d'une masure
(Je ne sais pas lequel des deux),
De petits monstres fort hideux,
Rechignés, un air triste, une voix de Mégère.
Ces enfants ne sont pas, dit l'Aigle, à notre ami.
Croquons-les. Le galant n'en fit pas à demi.
Ses repas ne sont point repas à la légère.
Le Hibou, de retour, ne trouve que les pieds
De ses chers nourrissons, hélas ! Pour toute chose.
Il se plaint, et les Dieux sont par lui suppliés
De punir le brigand qui de son deuil est cause.
Quelqu'un lui dit alors : N'en accuse que toi
Ou plutôt la commune loi
Qui veut qu'on trouve son semblable
Beau, bien fait, et sur tous aimable.
Tu fis de tes enfants à l'Aigle ce portrait ;
En avaient-ils le moindre trait ?
(L'aigle et le hibou-Jean de la Fontaine)