La santé appartient à Ghannouchi et lui seul décidera du choix du futur malade sur 10 qu'il faudrait choisir et guérir?
Allaho akbar ? Tu parles Charles!!!
Les médecins de l'enfer Hitlérien sont de retour, ça a laissé des traces génétiques dans le sub-conscient Islamiste cette affaire et compte à guérir un malade, il faut bien choisir un bon muslim de leur secte!
Quoi, C la vengeance perpétuelle contre le Tunisien qui a laissé Bourguiba et Zaba les torturer, Tuer & en voyer en prison! Pour moi, Zaba n'a pas fait le travail correctement quand il était en place car chez nous au NO on dit souvent des cas graves: Koss Errass Tenchef El Arough....
Et maintenant, soyez sur qu'ils soigneront leurs malades soldats de leur futur "'?mirat" et n'ont rien à glander des avaleurs de "leblabi" quoi!!!
Donc, la santé n'est pas 1 bien commun en Tunisie et si vous pensez que ce n'est pas vrai, alors je vous réponds que vous vivez dans 1 monde de "Bisounours Halal" et que vous êtes ensorcelés par Ghannouchi, alors 1 solution très vite pour vous "Hellou El Kteb Aleikoum" . ouella "Alarouahkoum"

Le système de santé en ce pays souffre - c'est le cas de le dire - d'une tare fondamentale. Il est injuste économiquement, car pour être bien soigné il vaut mieux se faire admettre en clinique privée et payer très cher la prestation. Ce qui, de fait, fait le tri entre ceux qui le peuvent et qui recevront des soins dignes de leur état et les autres.
Mais, comme toujours, une institution exprime sa vérité lorsqu'elle rencontre ses limites. Et, c'est vite le cas en temps ordinaires, la pandémie étant une situation extrême qui rend visibles à l'?il nu ses tares et ses faiblesses.
Par ailleurs, le rapport inégalitaire entre le médecin et le patient est structurel. C'est l'autre modalité de cette injustice. Celui qui sait a un pouvoir presque sans bornes dans la relation à l'autre, " ignorant" et en position de faiblesse du fait de son état de malade.
On a parlé de droits des malades et des interrogations sur les effets de cette relation devraient conduire à instaurer des droits aux patients afin de rééquilibrer les rapports.
Cela ne peut naître qu'à la faveur d'une démocratisation générale des relations entre usagers et administrations.

De passage à un marché de gros, j'ete tres choqué!!! c'est terrible!!! les gens se regroupe par une centaine pour faire l'encher une moitié sans masque!
Au lieu de venir nous dire du bla bla fermez ces marchés et ces cafés!

le drole, au passage d'une poste de police, il me fallait faire l'accueil pour 1h30 et aucun fonctionnaire ne porte le masque! Tout le monde doit passer par "Rais Markez" la bureaucratie!!

on est arrivé à ce stade !!!!! QUE DIRE D'AUTRE ?

Monsieur avec vos confrères vous êtes sur le front de bataille contre cet ennemi invisible et tueur de la population tunisienne démunie vous êtes les combattants avec vos personnels sur le front de cette guerre au risque de votre vie vous avez toute la gratitude et le respect de tous les citoyens il faut crier sur tous les toits de l'état et les manques de moyens des hopitaux publics pour qu'ils sachent les messieurs du ministère de lasanté ses cadres et son conseil scientifiques qui se bousculent sur les plateaux des des médias pour taper sur la population sans apporter des solutions quant auxtrois chefs du pouvoir ils s'occupent de leurs guéguerres plutot de la santé de leurs citoyens qui les ont élus directement ouidirectement .

fermez les marchés hebdomadaires,les mosquées ,les écoles ,les facultés les lycées et les cafés durant 6 semaines pour casser la courbe de contaminations.
il faut limiter le nombre de voyageurs sur les transports publics ...il faut tripler les contrôles des lieux publics pour faire respecter le protocole sanitaires et le couvre-feu...dans plusieurs régions le couvre-feu n'est pas respecté...il faut réprimer les contrevenants avec la plus grande fermeté.

Si malgré tout le travail de communication effectué, le message n'est pas passé, c'est qu'il y a un élément du processus de la communication qu'il faut revoir.

Je crois qu'il s'agit du message lui-même et de l'argument sur lequel il faut jouer.

Au stade où on en est le message doit être choquant et laisser le public-cible profondément affecté par ce qu'il a vu ou entendu.

Le même message répété le long de la journée n'attire plus l'attention et perd son efficacité

On peut avoir recours à

- des interviews de jeunes malades (présentant des symptômes observables) avouant qu'ils n'avaient pas accordé de l'importance aux recommandations

- des interviews de personnes agées alités dans un service COVID, avouant leur ignorance du fait que leur enfant pouvait être un porteur sain

- des interviews de jeunes alités faisant porter la responsabilité au patron du café, qui, par sa tolérence a permis au virus de se propager entre les clients.

Vu la noblesse de l'objectif, on pourrait, si nécessaire, avoir recours à la reconstitution de certaines scènes.

Les tunisien tels les gnous lors de leur transhumance, décidés de traverser le fleuve infesté de crocodiles !
Laisser la nature faire son '?uvre. Chez-nous, les "J'menfoutistes", bougres, incultes et ignares, ne méritent aucunement que l'on s'en préoccupe de leur sort. Et, quoique vous fassiez, ils fonceront droit vers le pire en klaxonnant !

J'ai remarqué que dans certains cafés, des groupes de jeunes, attablés autour de petites tables haute sont à moins de 50cm les uns des autres et surtout ne portent pas de masque.

Ils pensent que leur jeunesse va les protéger, ce qui s'est avéré inexact, mais est-ce qu'ils ont pris conscience du risque fatal qu'ils font prendre à leurs parents car on peut être porteur sain et contaminer sa famille, en particulier ses chers parents qui, de par leur âge, sont vulnérables.

En conclusion, en ne prenant pas les précautions recommandées, vous risquez de passer le reste de votre vie avec un problème de conscience ineffaçable

A vous de choisir