Le député d’Attayar, Hichem Ajbouni, est intervenu dans la Matinale du vendredi 30 octobre 2020, sur les ondes de Shems FM. Il est, entre autres, revenu sur l’attaque au couteau qui a eu lieu à Nice en France et dont l’auteur était un jeune tunisien.
Le député a condamné cet acte odieux et a dénoncé, dans ce sens, le rôle de certains députés dans le blanchiment du terrorisme. Sans citer de noms, Hichem Ajbouni a assuré qu’il avait honte d’avoir parmi ses collègues à l’Assemblée des représentants du peuple, “des gens qui justifient le terrorisme”.
“Ce que nous voyons est une atteinte à l’image de l’Islam. Cette personne, que je ne peux d’ailleurs qualifier de député, a publié une liste contenant des noms de journalistes, de députés… les qualifiant d’agents. Ce qui constitue une incitation contre ces personnes”, a-t-il déclaré au micro de Hamza Belloumi soulignant que le Parquet doit assumer ses responsabilités et agir avec rigueur.
Hichem Ajbouni est, également, revenu sur le projet de la loi de Finances complémentaire de 2020 dont le Parlement a demandé le retrait. “La situation est grave de par le cumul des échecs des réformes nécessaires enregistrés ces dernières années. Nous sommes dans l’impasse”.
Il a évoqué, dans ce sens, l’initiative législative du bloc Démocrate, laquelle vise à permettre, exceptionnellement, à la Banque centrale de Tunisie de prêter à l'État directement et financer sa trésorerie, sans passer par les banques commerciales.
Il a ajouté que la loi de Finances complémentaire de 2020 faisait mention de quatre milliards de dinars en subventions, ce qui prouve que le gouvernement de Youssef Chahed, avait manipulé les chiffres.
“Ces quatre milliards de dinars n’avaient été comptabilisés que dans ce projet de loi complémentaire. C’est pourquoi nous avons pensé à un rééchelonnement sur deux ou trois ans”, a indiqué M. Ajbouni.
Le député a fait savoir, également, que l’Etat souhaitait emprunter alors qu’il disposait de ressources financières. “Les dettes fiscales et douanières représentent près de quinze milliards de dinars dont cinq milliards que nous pouvons récupérer”.
Rappel : un des génies dirigeants de nahdha avait dit en substance, il y a 1 an ou plus, que ceux qui se frottent à nahdha ( s'allient avec lui, collaborent avec lui...) se crament. " Qui s'y frotte s'y brûle", dit le proverbe. CQFD. Mais Abjouni en est-il conscient? manifestement non. Il pourrait toujours consulter, pour comprendre, un certain Mohamed Abbou, un brûlé de nahdha au 5ème degré...
Le nombre de morts a atteint 100/jour, nos jeunes désespérés se jettent à la mère pour commettre après l'irréparable, de plus en plus de chômeurs, de la pauvreté ascendante, des crises, un peuple désorienté au milieu de ce triangle de pouvoirs déconnectés les uns des autres Le Bardo, Carthage et La Kasbah.
Au fond nos problèmes sont des problèmes de simples formes, demain vous aurez à la une qu'un débuté se plaidera de l'horrible décors du parlement qui n'est pas aux goûts de sa femme et saisir le parquet pour ça. Ces débutés sont de pauvres incompris, ils manquent de moyens et plus de logistiques : plus d'indemnités, plus de voitures donc plus de carburant, plus de secrétaires et valets, remplacer le décret 116 par bis plus juste: pour chaque parmentière une chaîne radio une chaîne télé un journal et un site internet, un avion privé pour chacun , et pour couronner le tout transférer le parlement à Palm Bitc loin des agitations nuisibles du Bardo et là ils vont commencer sérieusement à travailler et s'occuper de nos problèmes et trouver les meilleurs salutations dans les plus brefs délais.
De même pour notre gouvernement il faut penser au cadre désolant de La Kasbah et avoir de bon conseillers en communication et voilà tout sera résolu.
Au fond nos problèmes sont liés aux formes qu'il fallait soigner , avez-vous saisi quelque chose ? Moi non plus.
La solution est toute simple : arrêter Ghannouchi et la mort s'arrêtera.
