SUR LE FIL
Hechmi Louzir : Aucune certitude que le décès du patient âgé soit directement lié à la nouvelle souche du virus du Covid-19
Le directeur de l’Institut pasteur, Hechmi Louzir, a annoncé, dans une déclaration accordée ce samedi 20 février 2021, à la TAP, le décès d’un patient de 70 ans, des suites du Covid-19, à l’hôpital Mongi Slim de la Marsa.
Hechmi Louzir a toutefois souligné que rien ne prouve pour le moment que le patient, infecté par la nouvelle souche du SARS-CoV-2 récemment observée en Tunisie, est décédé de cette nouvelle souche particulièrement.
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Il a précisé que le patient souffrait de maladies chroniques dont le diabète, une tension artérielle élevée et une maladie du coeur, ajoutant qu’une autre personne, un jeune de 17 ans, infecté par le même virus, en est guéri.
M.B.Z
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Commentaires
retraité
il est mort de quoi le malade ?
a posté le 21-02-2021 à 09:00
Monsieur le directeur général de l'Institut Pasteur dites nous vite quel variant du covid -19 ou autre qui a causé le décès de ce patient
Forza
La souche sud-africaine parait pour le moment la plus dangereuse
a posté le 21-02-2021 à 08:40
Il parait que les vaccins sont moins efficaces contre la variante sud-africaine que contre celle britannique et brésilienne. '?a serait intéressant cette souche apparue en Tunisie avec la britannique et la sud-africaine. Espérons qu'elle ressemble plus à la variante britannique.
Les vaccins sont moins efficaces contre la variante d'Afrique du sud mais ils protègent contre elle aussi. Les études de Johnson & Johnson de phase 3 montre 9% moins d'efficacité en Afrique du Sud qu'ailleurs mais ils ont quand même réalisé 57% d'efficacité en Afrique du sud.
Il faut aussi contrôler les arrivés en Tunisie d'Afrique sub-saharienne car la variante sud-africaine va probablement se propager en Afrique australe et se propager peu a peu au nord. Les pays voisins de l'Afrique du sud ont maintenant cette souche comme la souche principale d'infections.
Les vaccins sont moins efficaces contre la variante d'Afrique du sud mais ils protègent contre elle aussi. Les études de Johnson & Johnson de phase 3 montre 9% moins d'efficacité en Afrique du Sud qu'ailleurs mais ils ont quand même réalisé 57% d'efficacité en Afrique du sud.
Il faut aussi contrôler les arrivés en Tunisie d'Afrique sub-saharienne car la variante sud-africaine va probablement se propager en Afrique australe et se propager peu a peu au nord. Les pays voisins de l'Afrique du sud ont maintenant cette souche comme la souche principale d'infections.
Forza
Nouvelles des vaccins
a posté le 21-02-2021 à 08:30
Malgré tout, il y'a de bonnes nouvelles du côté des vaccins :
1- L'efficacité du vaccin d'AstraZeneca est meilleure si la deuxième dose s'injecte 3 mois après la première. C'est ce qu'a trouvé une dernière étude de l'université d'Oxford. Avec cette distanciation des deux doses, l'efficacité s'élève à plus de 80%. L'autre avantage c'est de pouvoir vacciner un plus grand nombre de citoyens dès le début car les capacités de production vont augmenter au deuxième et troisième trimestre
2- Des améliorations apportées pour plus de stabilisation du vaccin de BionTech/Pfizer va permettre de stocker le vaccin plus facilement (-15% à -25%) au lieu de -70%
3- Une récente étude israélienne montre que les personnes vaccinées avec BionTech ne transmettent pas le virus (90% moins de transmission) c.à.d. le vaccin protège contre la maladie et protège aussi contre la propagation du virus. C'est une bonne nouvelle pour atteindre l'immunité de la société et aussi c'est une bonne nouvelle pour le tourisme. Un résultat comparable a été aussi trouvee pour AstraZeneca. Donc ce n'est pas nécessaire de demander à des touristes ou des TRE vaccinés en visite en Tunisie de faire la quarantaine.
4- L'efficacité de BionTech/Pfizer est confirmée supérieur à 94% sur plus que 1.2 million de personnes en Israël malgré la présence majoritaire de la souche britannique.
Il faut maintenant augmenter l'effort des médias pour inciter les tunisiens à se vacciner. 500000 personnes inscrites, c'est très peu.
1- L'efficacité du vaccin d'AstraZeneca est meilleure si la deuxième dose s'injecte 3 mois après la première. C'est ce qu'a trouvé une dernière étude de l'université d'Oxford. Avec cette distanciation des deux doses, l'efficacité s'élève à plus de 80%. L'autre avantage c'est de pouvoir vacciner un plus grand nombre de citoyens dès le début car les capacités de production vont augmenter au deuxième et troisième trimestre
2- Des améliorations apportées pour plus de stabilisation du vaccin de BionTech/Pfizer va permettre de stocker le vaccin plus facilement (-15% à -25%) au lieu de -70%
3- Une récente étude israélienne montre que les personnes vaccinées avec BionTech ne transmettent pas le virus (90% moins de transmission) c.à.d. le vaccin protège contre la maladie et protège aussi contre la propagation du virus. C'est une bonne nouvelle pour atteindre l'immunité de la société et aussi c'est une bonne nouvelle pour le tourisme. Un résultat comparable a été aussi trouvee pour AstraZeneca. Donc ce n'est pas nécessaire de demander à des touristes ou des TRE vaccinés en visite en Tunisie de faire la quarantaine.
4- L'efficacité de BionTech/Pfizer est confirmée supérieur à 94% sur plus que 1.2 million de personnes en Israël malgré la présence majoritaire de la souche britannique.
Il faut maintenant augmenter l'effort des médias pour inciter les tunisiens à se vacciner. 500000 personnes inscrites, c'est très peu.
Microbio
Critères de (RKI) pour la sélection des échantillons pour le séquençage de Corona.
a posté le 20-02-2021 à 19:39
L'Institut Robert Koch (RKI) en Allemagne a formulé des critères permettant aux laboratoires et aux autorités de santé publique de sélectionner les échantillons de SARS-CoV-2 pour le séquençage. Un décret publié par le ministère fédéral de la santé (BMG) a récemment spécifié la quantité d'échantillons de CoV-2 du SRAS à séquencer. A l'avenir, jusqu'à cinq pour cent de tous les échantillons positifs à la PCR devront être analysés pour leur séquence d'ARN.
L'objectif est d'obtenir un large aperçu des variantes du coronavirus circulant actuellement en Allemagne et de prendre conscience des nouvelles mutations émergentes par le séquençage du génome entier d'un échantillon approprié. Cette observation étroite des changements génétiques est connue sous le nom de surveillance moléculaire.
L'institut s'appuie sur un processus de sélection à deux volets : D'une part, les laboratoires doivent séquencer des échantillons aléatoires pour obtenir une vue d'ensemble représentative et à l'échelle de la région.
Le RKI recommande aux laboratoires de conserver une liste de tous les échantillons PCR positifs de la semaine en question dont la valeur Ct est inférieure à 25 (valeur Ct : nombre de cycles PCR nécessaires pour détecter le virus). A partir de ce pool, les échantillons seront ensuite séquencés de manière aléatoire ou envoyés à des laboratoires spécialisés appropriés.
Le deuxième volet de la surveillance moléculaire prévoit le séquençage lié aux événements. Selon le RKI, les autorités sanitaires doivent commander le séquençage en cas d'indications épidémiologiques ou de diagnostic en laboratoire d'une variante virale.
Une telle suspicion d'infection par un virus muté existe, par exemple, dans le cas d'une seconde infection d'une personne qui s'est déjà rétablie ou qui a été vaccinée, dans le cas d'une gravité inattendue de la maladie ou d'une évolution clinique surprenante ou dans le cas de voyageurs en provenance de pays où les variantes sont déjà connues.
L'objectif est d'obtenir un large aperçu des variantes du coronavirus circulant actuellement en Allemagne et de prendre conscience des nouvelles mutations émergentes par le séquençage du génome entier d'un échantillon approprié. Cette observation étroite des changements génétiques est connue sous le nom de surveillance moléculaire.
L'institut s'appuie sur un processus de sélection à deux volets : D'une part, les laboratoires doivent séquencer des échantillons aléatoires pour obtenir une vue d'ensemble représentative et à l'échelle de la région.
Le RKI recommande aux laboratoires de conserver une liste de tous les échantillons PCR positifs de la semaine en question dont la valeur Ct est inférieure à 25 (valeur Ct : nombre de cycles PCR nécessaires pour détecter le virus). A partir de ce pool, les échantillons seront ensuite séquencés de manière aléatoire ou envoyés à des laboratoires spécialisés appropriés.
Le deuxième volet de la surveillance moléculaire prévoit le séquençage lié aux événements. Selon le RKI, les autorités sanitaires doivent commander le séquençage en cas d'indications épidémiologiques ou de diagnostic en laboratoire d'une variante virale.
Une telle suspicion d'infection par un virus muté existe, par exemple, dans le cas d'une seconde infection d'une personne qui s'est déjà rétablie ou qui a été vaccinée, dans le cas d'une gravité inattendue de la maladie ou d'une évolution clinique surprenante ou dans le cas de voyageurs en provenance de pays où les variantes sont déjà connues.
Alya
Ce qu il faut retenir
a posté le 20-02-2021 à 18:42
Cette nouvelle mutation a été identifiée par des études très complexEs néanmoins les 2 patients ont été diagnostiqués par la pcr classique
