Ils ont aussi la culture de la discipline et de l'impartialité.
Mais, nous attendons davantage de ce parti civil: leadership, vision, programme, ouverture sur la société etc.
Le nouveau mouvement « Halloumou Tounes » (Agissons pour la Tunisie) a présenté, lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi 10 juillet 2019, ses programmes politique et économique.
Le parti, qui vient de voir le jour, se caractérise par la qualité de ses fondateurs qui sont tous des militaires à la retraite. Son président, Mustapha Saheb-Ettabaâ était commandant.
A l’échelle politique, « Halloumou Tounes », qui s’intéresse essentiellement aux législatives, vise à lutter contre « l’ignorance, la pauvreté, le chaos, le crime organisé et le terrorisme ainsi que la faillite économique ».
Economiquement, le mouvement propose un « New Deal » portant sur le redressement, la relance et la réforme de l’économie.
Mustapha Saheb-Ettabaâ était président du parti Al Wifak Al Joumhouri (Alliance républicaine). Un parti issu de la fusion, en avril 2011, des 2 partis nés après la Révolution à savoir Al Wifak dont il a été le président et le « Parti républicain » présidé par Abdelaziz Belkhodja.
B.L
Le nouveau mouvement « Halloumou Tounes » (Agissons pour la Tunisie) a présenté, lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi 10 juillet 2019, ses programmes politique et économique.
Le parti, qui vient de voir le jour, se caractérise par la qualité de ses fondateurs qui sont tous des militaires à la retraite. Son président, Mustapha Saheb-Ettabaâ était commandant.
A l’échelle politique, « Halloumou Tounes », qui s’intéresse essentiellement aux législatives, vise à lutter contre « l’ignorance, la pauvreté, le chaos, le crime organisé et le terrorisme ainsi que la faillite économique ».
Economiquement, le mouvement propose un « New Deal » portant sur le redressement, la relance et la réforme de l’économie.
Mustapha Saheb-Ettabaâ était président du parti Al Wifak Al Joumhouri (Alliance républicaine). Un parti issu de la fusion, en avril 2011, des 2 partis nés après la Révolution à savoir Al Wifak dont il a été le président et le « Parti républicain » présidé par Abdelaziz Belkhodja.
B.L