Le député d’Ennahdha, Habib Khedher est intervenu ce lundi 22 juillet 2019, sur les ondes d’Express Fm, pour revenir sur le refus du président de la République de promulguer les amendements de la loi électorale.
Habib Khedher a estimé que le chef de l’Etat a violé la constitution en dépassant les délais impartis, alors qu’il avait la possibilité de renvoyer le texte de loi au parlement pour examen ou d’appeler à un référendum.
L’invité de Wassim Ben Larbi a estimé que c’est le devoir de Béji Caïd Essebsi de promulguer la loi : « Si le président de la République se mettait à rejeter tout ce qui ne lui plait pas, ça serait le chaos. Je suis très étonné qu’un homme de loi aussi expérimenté que le chef de l’Etat agisse ainsi en toute conscience ».
I.L.
Commentaires (23)
Commenter===== petit bouffon ! (( le MKASS )) de bajbouj ====
LE COUP DU MAITRE :ECHEC ET MAT
Reconnaître la vérité
Si le sommet de l'Etat transgresse la loi organique, celle qui est censée mettre d'accord tous les citoyens sur "un minimum syndical" commun, ce sera la gabegie au pouvoir, celle qui a cours dans les pays arriérés, du tiers comme du quart monde !
Maxula.
@zorba52
Ils savent ce qui les attend et ils en sont pleinement conscients. C'est pour cela qu'un retour aux sources, pour ces délinquants qui s'étaient javellisés en 2011 aussitôt qu'ils s'étaient accaparés d'un pouvoir sans partage, est de + en + probable.
Rabi youstérna.
Salutations
BRAVO MONSIEUR LE PRESIDENT.
On verra ce qu'il va leurs arriver aux prochaines élections.
c'est très minable d'accuser BCE d'avoir violé la constitution alors que eux la viole en longueur d'année et certains depuis 2011!!!
Le proverbe dit ( le chien aboie et la caravane passe)
La constitution lui permet le veto comme c'est le cas à la maison blanche
Loi
Khedr parle de conscience...c'est le comble ...
BCE a protégé la constitution
En refusant ces amendements, le Président aura respecté à la lettre les fondements mêmes sur lesquels repose cette constitution. Khedher et ses semblables, par ces amendements, n'ont non seulement violé la constitution, mais en ont carrément sapé les fondements. En ne signant pas, le Président a refusé d'en être complice. Bien au contraire, il est dans son rôle de garant de la constitution.